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Wednesday, March 31, 2021

Covid : une entreprise sur six n'a pas recours au télétravail alors qu'elle le pourrait - Europe 1

Fermeture des écoles pour trois semaines précédée d'une semaine d'enseignement à distance, extension des restrictions déjà en vigueur dans 19 départements à toute la métropole, déplacements limités en particulier après le week-end de Pâques... Le président de la République Emmanuel Macron a annoncé mercredi soir un nouveau tour de vis face à l'épidémie de Covid-19. Certes, le chef de l'Etat n'a pas tranché en faveur d'un confinement strict mais il a exigé un effort supplémentaire de la part des Français, en particulier sur le télétravail. Mais selon les chiffres de la Direction générale du travail, une entreprise sur six n'a pas recours au télétravail alors qu'elle le pourrait. Une marge de progression sur laquelle compte l'exécutif pour endiguer l'épidémie. 

Une vraie marge de manœuvre 

"Le télétravail, qui est sans doute la mesure la plus efficace, sera systématisé, et j'appelle tous les travailleurs et tous les employeurs à y avoir recours chaque fois qu'ils le peuvent", a insisté Emmanuel Macron. Selon une étude de l'Institut Pasteur dévoilée début mars, cette pratique limiterait les risques de contamination de 20 à 30% par rapport au présentiel, en fonction d'une application partielle ou totale.

Pourtant donc, une entreprise sur six n'avait jusqu'alors pas mis en place un télétravail. Et parmi les entreprises qui respectent déjà les règles, un peu plus de 30% ont encore une marge de manœuvre pour aller plus loin. Celles-ci aussi sont visées par le gouvernement.

La fermeture des écoles, mesure redoutée par les entreprises 

La dernière étude Harris Interactive pour le ministère du Travail indique par ailleurs que les Français en mesure de télétravailler sont à distance en moyenne trois ou quatre jours par semaine. Grâce aux nouvelles mesures annoncées mercredi soir, l'exécutif espère se rapprocher d'une moyenne de cinq jours, qui avait été atteinte lors du premier confinement. C'est pour cela qu'Emmanuel Macron a annoncé la fermeture des écoles, une mesure redoutée par toutes les directions des ressources humaines dans les entreprises.

Selon elles, avec cette mesure Emmanuel Macron met en place un confinement strict sans avoir à prononcer ces termes. Mais à l'Association nationale des DRH, on le confie : "C'est bien la seule et unique mesure pouvant permettre de dépasser le plafond de verre actuel en matière de télétravail."

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« Bonjour, vous voulez être vacciné ? Alors suivez-moi… » : à Paris, le recrutement de patients dans la rue - Le Monde

Il faut un début à tout. Ce mardi 30 mars, c’est dans la rue que Lucie Bommenel, médecin généraliste parisienne, recrute ses patients. Faubourg-du-Temple, dans le 11e arrondissement, elle aborde les passants. « Bonjour, je suis médecin, est-ce que vous êtes vacciné ? » L’homme aux cheveux blancs dit non. « Vous voulez l’être ? Alors, suivez-moi… » A petits pas, elle l’accompagne jusqu’au centre éphémère installé par la Mairie juste à côté, rue Robert-Houdin.

Une demi-heure plus tard, Jean-Paul a dans le bras une première dose de sérum AstraZeneca contre le Covid-19, et n’en revient toujours pas. « J’allais chez mon dentiste, je me suis perdu dans le quartier, et soudain, cette dame m’intercepte », raconte-t-il dans la salle de repos, tandis que le personnel surveille qu’aucun effet secondaire n’apparaît. Il est à la fois content et surpris : « Alors que la moitié des gens de plus de 75 ans cherche désespérément à se faire vacciner, ici, on m’a fait une injection sans que j’aie rien demandé. Pourtant, je n’ai que 72 ans, je n’étais pas prioritaire jusqu’à ces derniers jours. Manifestement, ce centre a des doses et ne veut pas les perdre… » Un vieux plan en main, l’homme se demande comment rentrer chez lui, à l’autre bout de Paris, lui qui ne prend plus le métro depuis le premier confinement. Mais il rêve déjà à la suite : « Cette injection me sera utile quand je partirai en vacances à l’étranger, et que j’aurai besoin d’un passeport vaccinal. »

En pleine pénurie mondiale de vaccins anti-Covid-19, la situation paraît paradoxale. Tandis que certains s’épuisent à chercher d’introuvables créneaux sur Doctolib, les équipes de la Mairie de Paris, elles, peinent parfois à trouver des habitants prêts à se faire piquer. Au point d’aller les chercher dans la rue.

Accueillir ceux qui passent

Depuis quelques semaines, la maire Anne Hidalgo a décidé d’ouvrir des centres de vaccination provisoires, sans rendez-vous, « au pied des logements sociaux, là où il n’y a pas beaucoup de médecins traitants », a-t-elle résumé, mercredi 31 mars sur BFM-TV. Objectif : « Vacciner là où le virus circule beaucoup, et toucher un public parfois précaire, qui ne prendra pas rendez-vous sur Internet », complète son adjointe Anne-Claire Boux, chargée de la politique de la ville.

Quelques opérations ont déjà eu lieu dans les 10e, 11e et 18e arrondissements. Les suivantes sont prévues dans d’autres quartiers populaires, comme à Saint-Blaise (20e), la Goutte-d’Or (18e), ou boulevard Kellermann (13e). A chaque fois, la Mairie aménage un local pour quelques jours, installe un frigo, mobilise quelques agents, des médecins libéraux, des infirmiers, et accueille ceux qui passent. Parfois, le public arrive en masse. Notamment quand l’Assurance-maladie a prévenu par écrit les personnes du quartier ayant déjà une affection de longue durée. Ou quand le bouche-à-oreille attire des enseignants, des informaticiens, des consultants venus parfois de loin pour profiter du filon.

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Au Brésil, Bolsonaro et Lula affûtent leurs armes alors que la pauvreté explose - Journal La Croix

Parmi une centaine d’autres personnes, Célia attend son repas du jour, distribué par l’association des habitants de la favela de Paraisopolis. Pour cette mère de 11 enfants, la faim est redevenue une réalité. « Avec l’aide d’urgence qui s’est arrêtée en décembre, je n’ai plus rien pour nourrir ma famille », martèle la quadragénaire qui vit du recyclage de canettes.

Célia fait partie des 15 millions de Brésiliens qui, selon l’Institut Brésilien des Statistiques (IBGE), souffrent de la faim, aggravée par le chômage, la précarisation du travail et la pandémie. Elle soupire d’avance en évoquant les « aides d’urgence » aux plus fragiles, qui reprennent en avril, certes, mais ne lui permettront de tenir qu’une semaine, tout au plus. Ces aides, de 600 réais (environ 90 €) jusqu’en septembre, avaient été réduites de moitié avant leurs suppressions à la fin de 2020.

« À part Dieu, seul Lula peut nous aider en 2022 »

À partir d’avril, l’aide sera de 375 réais par famille (55 €) ou 150 réais (22 €) pour les personnes seules. Célia repense à la bolsa familia (« bourse familiale »), ce programme social créé sous les gouvernements Lula, entre 2002 et 2010, et destiné aux familles les plus modestes. À 74 ans, le leader du Parti des Travailleurs (PT) a été blanchi le 8 mars dernier, par la Cour suprême, des accusations de corruption qui l’avaient jeté en prison en 2018. À un an et demi de la présidentielle de 2022, Luiz Inacio Lula da Silva se pose désormais en principal adversaire de Jair Bolsonaro. Pour Célia, « à part Dieu, seul Lula peut nous aider en 2022 ».

Déjà, le chantre de la gauche brésilienne a son angle d’attaque face au président actuel : la faim. « J’étais heureux, déclarait-il le 10 mars dernier, quand un travailleur me disait : je vais manger de la bonne viande et boire une bière ». Un sujet d’autant plus sensible qu’au cours des 12 derniers mois, le prix de la viande a augmenté de plus de 25 %. Et même presque 50 % depuis le début du mandat de Jair Bolsonaro en janvier 2019. Pour le riz, c’est 20 % de plus, et jusqu’à 30 % pour le haricot, aliment de base des Brésiliens, selon les régions. « Nous n’avons même plus de quoi en proposer tous les jours », déplore Juliana, responsable du centre social de la favela devant lequel patiente Célia.

→ REPORTAGE. Covid-19 : « Arrêtez de geindre », lance Jair Bolsonaro aux Brésiliens

Le retour en politique du leader du PT a surpris l’actuel président d’extrême droite. Lui qui affiche d’ordinaire son « coronascepticisme » s’est résolu à porter son masque en public lors d’une messe, avant de s’adonner de nouveau à des bains de foules. Déjà en campagne, il condamne les décisions des gouverneurs et des maires qui décrètent des confinements pour tenter d’endiguer les contaminations. « Le chômage et la faillite des entreprises sont le résultat des lockdowns », affirme-t-il.

Une forte pression politique

Tentant de redresser la barre, il a nommé un quatrième ministre de la santé, le 17 mars dernier. Et le 24, jour où le pays dépassait officiellement les 300 000 morts du Covid-19, il affirmait « que le Brésil est le 5e pays qui a le plus vacciné sa population, soit 14 millions de personnes », alors que le pays occupe en réalité la 60e place.

Les derniers rebondissements attestent de la forte pression politique actuelle : Jair Bolsonaro, dont le socle électoral s’effrite (54 % de la population juge mauvaise sa gestion de la pandémie) a remplacé, cette semaine, six de ses ministres, y compris ceux de la justice, des affaires étrangères et de la défense Fernando Azevedo e Silva. Suite au départ de ce dernier, les chefs des armées de l’air, de terre et de la marine ont tous trois démissionné, mardi 30 mars.

→ LES FAITS. Brésil : sous pression, Jair Bolsonaro remanie son gouvernement

« C’est comme si Bolsonaro était responsable de tout en ce moment ! », peste Maria Teresa, une infirmière à la retraite qui vit à São Paulo. Ses deux fils ont été testés positifs au coronavirus, sa sœur est intubée mais ne peut être admise dans un service de soins intensifs, faute de place. En cette Semaine sainte, elle est persuadée que « ce virus nous montre que nous ne sommes pas immortels ». En 2022, elle votera à nouveau pour Jair Bolsonaro.

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Un tiers des Brésiliens en insécurité alimentaire

Le coronavirus a fait en un an plus de 317 000 morts au Brésil, mais la crise sanitaire a aussi fait monter en flèche le chômage, avec son lot de nouveaux pauvres.

Selon une étude de la Fondation Getulio Vargas datant de novembre, près d’un tiers de la population brésilienne souffre d’insécurité alimentaire.

En 2020, le directeur du Programme alimentaire mondial de l’ONU au Brésil a averti que le pays avançait « à grands pas » vers un retour dans la Carte de la faim, dont il était sorti en 2014. Les pays qui y figurent ont plus de 5 % de leur population dans un état de pauvreté extrême.

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Tuesday, March 30, 2021

Covid-19 : pourquoi la situation inquiète-t-elle autant alors que le pic de la première vague reste loin ? - Le Télégramme

Les patients covid-19 occupent désormais plus de 5 000 lits de réanimation, soins intensifs ou soins continus en France. Depuis lundi, c’est davantage que le pic enregistré en novembre dernier, lors de la « deuxième vague » qui semble ne jamais s’être interrompue. Mais ce sont toujours 2 000 lits occupés de moins qu’en avril 2020, au plus fort de la première vague. Comment expliquer l’inquiétude grandissante, à l’heure d’un nouveau conseil de défense sanitaire ? Plusieurs aspects soulignés par les scientifiques permettent de le comprendre.

  • 1 La durée du pic
  • L’épidémie, comme le confinement total, avaient surpris l’Europe en mars 2020. La hausse brutale des hospitalisations, dans un contexte de contaminations non dépistées à l’époque, n’a jamais été réitérée depuis. En réanimation, plus de 700 entrées quotidiennes avaient été enregistrées sur les derniers jours de ce mois-là. Au mois de novembre, ce nombre d’admissions quotidiennes avait dépassé les 500, un niveau proche actuellement, mais n’avait pas atteint le précédent seuil.

    Problème : la hauteur du pic n’est pas l’unique indicateur de gravité. « On ne regarde que l’effet pic, mais si vous regardez l’aire sous la courbe, c’est-à-dire tout ce qu’il s’est passé, il n’y a pas photo, la deuxième vague est beaucoup plus grave », soulignait mardi l’infectiologue Gilles Pialoux au micro de France Inter. De fait, la durée sur laquelle un nombre important d’entrées quotidiennes à l’hôpital ont été enregistrées s’est élargie lors de la deuxième vague. Et, actuellement, ce nombre progresse toujours.

  • 2 Le nombre de décès en plus
  • Conséquence directe de cet effet « aire sous la courbe » : la mortalité enregistrée au cours des derniers mois est beaucoup plus importante que lors de la première vague. On a déjà « dépassé la deuxième vague », qui fut elle-même « plus mortelle, plus morbide, plus insupportable même si elle n’est pas montée si haut que la première vague », complète l’infectiologue Gilles Palioux.

    Les décès comptabilisés de la covid-19 permettent d’observer la tendance, mais pour prendre davantage de recul, les décès toutes causes recensés par l’Insee permettent d’observer les écarts importants de mortalité entre une année habituelle et celle que nous venons de vivre. « Cet excès de mortalité, pendant la première vague ça, a duré sept semaines. On en est à plus de vingt semaines consécutives », pointe à ce sujet l’infectiologue.

  • 3 Le contexte du pic : confinés ou non
  • Autre différence majeure : en avril 2020, l’ensemble de la France était strictement confiné depuis plus de deux semaines lorsque l’occupation maximale a été atteinte. Logique : le temps de déclenchement des symptômes et des situations nécessitant une hospitalisation prend dix à quinze jours après les contaminations. Les restrictions restent fortes actuellement, avec un couvre-feu partout et un confinement allégé dans les territoires les plus dans le rouge, mais la situation diffère malgré tout.

    (FILES) In this file photo taken on March 17, 2020 French police officers patrol in the streets of Montmartre, next to the Sacre Coeur Basilica, in Paris, on March on 17, 2020 during an evacuation whi
    Il y a plus d’un an, le 17 mars 2020, des policiers patrouillent dans les rues du quartier de Montmartre, à Paris, au premier jour du confinement strict du printemps 2020. Les rues de la capitale, comme de toutes les villes de France, s’étaient alors vidées. (AFP/JOEL SAGET)

    En parallèle, le fameux haut de la courbe n’est toujours pas là. Quand bien même les restrictions supplémentaires montreraient leurs effets, « on ne peut pas espérer voir ce pic avant encore une dizaine de jours, malheureusement », souligne auprès de France 2 l’épidémiologiste Pascal Crépey. Et d’ajouter : « Ce n’est pas tout d’arriver jusqu’au pic, il faut aussi le redescendre. » Or, la décrue peut être longue. « On a pris tellement de retard que toute mesure sera plus dure et plus durable », estime d’ailleurs l’infectiologue Gilles Pialoux.

  • 4 L’épuisement des soignants dans une vague qui dure
  • Avec une troisième vague qui semble n’être que le prolongement de la seconde, la sollicitation des services hospitaliers et des soignants qui y travaillent est restée continue. « Les gens sont épuisés et le syndrome de stress post-traumatique de la première vague est loin d’être réglé », confiait lundi à l’AFP Daniel da Silva, chef de service de l’hôpital de Saint-Denis. « Quand les malades Covid ont réapparu, des soignants se sont mis en arrêt maladie, d’autres ont fait des crises d’angoisse. »

  • 5 Transferts difficiles
  • Autre difficulté qui s’ajoute, s’il en fallait d’autres : le recours aux transferts de patients vers des services moins surchargés se révèle beaucoup plus difficile. « Le problème, c’est qu’il n’y a aucune possibilité de transferts sanitaires de malades vers d’autres régions. Ils sont systématiquement refusés par les familles », expliquait dès le 22 mars le pneumologue Jean-François Timsit, qui dirige à l’hôpital parisien Bichat, au Parisien. Sans compter l’inquiétude liée aux variants, avec la crainte que la situation puisse s’aggraver dans des territoires a priori plus préservés, malgré les effets bénéfiques de la campagne vaccinale.

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La France dans l’attente alors que la tension monte - la Nouvelle République

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La France dans l’attente alors que la tension monte  la Nouvelle République
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Un permis de construire annulé… alors que l’immeuble est déjà habité - Capital.fr

C’est une victoire au goût amer pour le Collectif de sauvegarde du 7, rue Méchain et l'association Monts 14. Comme le relate Le Parisien, la justice leur a pourtant donné raison en annulant le permis de construire d’un bâtiment du promoteur Covéa-Immobilier, adossé à un immeuble de logements collectifs conçu par Robert Mallet-Stevens, architecte emblématique du mouvement moderne. Le problème, c’est que le bâtiment en question, situé rue Méchain dans le 14ème arrondissement de Paris… a déjà été construit et est même déjà habité.

Le permis de construire en question a été accordé fin 2018, tandis que la mobilisation contre ce projet a débuté en août 2019. Malgré une pétition (qui compte plus de 1.800 signatures) adressée notamment au ministère de la Culture et à la mairie de Paris, ainsi qu'un recours au tribunal administratif de Paris, l’immeuble a été construit en 2020. Après ce succès quelque peu particulier, les opposants à ce projet, jugé "trop banal" et "dégradant" pour l'oeuvre de Robert Mallet-Stevens, ne veulent pas s’arrêter là. “Ce n'est pas le tout d'avoir contré ce permis avec succès, ni d'avoir obtenu le classement en Monument historique (pour l’immeuble construit par Robert Mallet-Stevens, ndlr), beaucoup plus protecteur. Nous allons devoir attaquer au civil et donc mener un nouveau procès pour obtenir la démolition”, assure au Parisien Patrice Maire, président de Monts 14.

>> A lire aussi - Obtenir votre permis de construire sans difficultés : voici les démarches à suivre

Il reconnaît toutefois que parvenir à faire détruire le nouvel immeuble “sera compliqué, d'autant que l'immeuble est désormais habité”. Il n’est pas précisé combien d’habitants sont concernés par cette “menace” de destruction d’un immeuble où ils ont emménagé depuis quelques mois seulement… Covéa assure de son côté avoir pris en compte “le caractère exceptionnel de l'immeuble” Robert Mallet-Stevens et avoir “obtenu un avis favorable de l'Architecte des Bâtiments de France”, tout en ayant “construit conformément à un permis de construire délivré en bonne et due forme par la Ville de Paris”. Le promoteur compte se battre contre cette décision de justice du tribunal administratif : il faudra pour cela saisir la Cour de cassation désormais.

>> A lire aussi - Recul des permis de construire : votre maire est-il vraiment le seul responsable ?

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Alors, on pense! du mardi 30 mars 2021 - Franceinfo

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Alors, on pense! du mardi 30 mars 2021  Franceinfo
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Chat (et chien) alors! - Le Temps

Les regarder se prélasser au soleil ou traverser un champ en se déhanchant fait partie des plaisirs du printemps naissant. Pourtant, les chats ne sont pas que charmants. Ils aiment chasser les oiseaux, c’est leur nature, et leur surnombre rend cet instinct menaçant. Le million et demi de félins présents en Suisse joue un rôle dans le déclin avien, confirme François Turrian, directeur romand de l’association BirdLife.

Carnage aviaire

Et ce qui est vrai pour la Suisse l’est encore plus pour le reste du monde. La revue scientifique Nature évalue que les chats en liberté tuent chaque année «entre 1,3 et 4 milliards d’oiseaux rien qu’aux Etats-Unis». En France, la Ligue de protection des oiseaux estime qu’un chat domestique en liberté attaque «entre cinq et dix oiseaux par an». Rapporté aux 13 millions de spécimens présents dans l’Hexagone, le carnage serait de 75 millions, note le site Franceinfo. Du coup, on regarde les chats autrement. Leur démarche chaloupée, si douce sous le soleil, ne parvient pas à effacer le prédateur qui sommeille et nuit à l’environnement.

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Nancy : le casse-tête de la librairie "Plus belles les bulles", obligée à fermer alors qu’elle est essentielle - France 3 Régions

Son tort : être située dans un centre commercial de plus de 20.000 mètres carrés, fermé depuis fin janvier. La boutique BD "Plus belles les bulles", installée à l'étage du centre Saint-Sébastien à Nancy, doit garder son rideau baissé. Les librairies sont pourtant considérées essentielles.

"Nous sommes toujours là, coincés dans notre grotte, avec des barrières qui interdisent de venir jusqu'à nous", explique-t-il à ses clients sur les réseaux sociaux.

Le 30 janvier 2021, les centres commerciaux de plus de 20.000 mètres carrés sont contraints de fermer leurs portes pour éviter les brassages de population. Victime collatérale de la situation, la librairie "Plus belles les bulles", spécialisée dans les BD, mangas et comics. Elle est considérée comme commerce essentiel mais doit rester fermée car elle occupe une boutique au premier étage de la galerie commerciale Saint-Sébastien (38.000 mètres carrés au cœur de Nancy). Le cordonnier du centre est dans le même cas.
Une situation d’autant plus ubuesque que quelques commerces alimentaires restent accessibles au rez-de-chaussée (le supermarché Monoprix, un caviste, un torréfacteur et un magasin de bonbons qui a choisi de n'ouvrir que le samedi faute d'affluence).

"Je deale des livres sur le trottoir", explique Pascal.

"Je deale des livres sur le trottoir", explique Pascal. © Bruno Courtaux/Francetv

Pascal Manteau, le fondateur, essaie de survivre en livrant les clients restés fidèles à l’extérieur. "Je deale des livres sur le trottoir", explique-t-il avec humour. Pas possible d’obtenir le maintien du click-and-collect au motif qu’il faudrait organiser un "cordon sanitaire" pour arriver jusqu’à lui à l’étage. Il ajoute avoir demandé à la mairie de pouvoir installer un stand au marché central, sans succès car il n’est pas un commerce alimentaire.

"J’ai calculé que je faisais en moyenne 25.000 pas par jour. Avec en plus les deux ou trois clients que je vais livrer chez eux chaque soir." Le libraire est désormais plus résigné qu’en colère. "On est dans une situation où on a plus à réfléchir, on subit. Qui n’a pas eu un décès du Covid dans la famille ou un enfant malade. Ça, je le comprends. On essaie juste d’avancer et de tenir avec ça."

Ses cinq collaborateurs reviennent aider en cas de besoin. "On ne voit que le côté immergé de l’iceberg mais il faut recevoir les livraisons tous les matins, continuer à mettre en place les produits dérivés, faire la paperasse, conserver les rendez-vous avec les commerciaux. On travaille deux fois plus pour 80 % de perte de chiffre d’affaire."

Il faut tout de même continuer à remplir les rayons.

Il faut tout de même continuer à remplir les rayons. © Bruno Courtaux/francetv

Soutien des clients

Dans son malheur, le libraire compte sur le noyau dur de ses fidèles clients. "On a des clients exceptionnels. On arrive à faire 20% de notre chiffre d’affaire avec seulement 10 à 15% des clients qui ne nous ont pas laissés tomber. On est dépendants d’eux et ils ne nous le rendent bien. C’est de l’assistance à commerce en danger".

Sur les réseaux sociaux, les messages de soutien se multiplient : "On est de tout cœur avec vous. Ça nous manque aussi de ne pas pouvoir venir à la boutique. Tenez bon, les Belles Bulles sont un moment de bonheur", "Kyllian veut des mangas, alors je lui dis de vous faire une commande mais il me dit : non je préfère attendre qu'on puisse aller à la boutique, regarder dans les rayons, voir du monde... donc il patiente."

Avant on recevait les clients, on échangeait avec eux, on savait que le petit dernier avait choppé la grippe, on leur offrait des cadeaux de naissance. C'est pour ça que j'ai fait ce métier

Pascal Manteau, libraire


Lui qui a changé de vie pour le contact avec les gens se vante même d’être à l'origine de deux mariages en ayant présenté des habitués célibataires.

Pascal Manteau n’a pas de date pour voir le bout du tunnel. Il espère seulement que, quand il pourra rouvrir, le gros de la clientèle, les 80% de collégiens et lycéens qui flânent dans le centre commercial, n’aura pas oublié ses habitudes et reviendra.

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Coronavirus en Paca : De nouveaux lits encore ouverts en réa alors que la troisième vague continue à monter - 20 Minutes

Dans l'unité de soins Covid-19 de la clinique Saint-Jean, à Cagnes-sur-Mer — SYSPEO/SIPA

Les établissements hospitaliers de Paca vont encore devoir s’adapter à la montée en puissance de la troisième vague. Activé la semaine dernière, le cinquième palier de gestion de crise a été « renforcé » ce mardi pour faire face à l’intensification de la circulation virale du Covid-19, annonce l’Agence régionale de santé (ARS).

Cette procédure va permettre d’augmenter à nouveau la capacité d’accueil dans les services de réanimations. Le nombre de lits va ainsi passer de 800 à 850, indique l’organisme. « Prélèvements et greffes, cancérologie et chirurgie ciblée urgente » restent garantis tout comme l’activité d’IVG et le suivi rapproché des malades chroniques, précise-t-il, mais certaines opérations vont donc être encore reportées.

Pour limiter ces déprogrammations, les transferts de malades du Covid-19 se poursuivent, « prioritairement vers la région Occitanie », fait également savoir l’ARS. Depuis le 24 février, 52 évacuations sanitaires ont été organisées, principalement depuis les départements des Bouches-du-Rhône, du Var et des Alpes-Maritimes.

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Montrond-les-Bains | Casino Joa : dans les coulisses alors que la fermeture s’éternise - Le Progrès

Quel est le quotidien du casino aujourd’hui ?

Nous sommes fermés depuis le 30 octobre dernier… Notre personnel est quasi totalement au chômage partiel. depuis cette date.

Mais le site n’est pas laissé à l’abandon. Tout d’abord nous avons l’équipe de sécurité qui assure la surveillance du site 24 heures sur 24, et ce malgré le fait que nous ne détenions pas de fonds.

Nous avons également une activité administrative soutenue avec les différentes déclarations et formalités à accomplir. Nous devons assurer par ailleurs la maintenance technique de nos équipements : machines à sous, cuve à bière, système d’aspiration en cuisine etc.. Cette maintenance régulière est indispensable pour éviter les dysfonctionnements (les machines ne sont pas faites pour être à l’arrêt de façon prolongée) et aussi rester rapidement opérationnel.

Comment le personnel vit cette fermeture ?

C’est une période difficile à traverser pour la plupart de nos collaborateurs, en particulier les plus jeunes qui se retrouvent souvent sans aucun lien social.

C’est pourquoi nous veillons à maintenir un contact régulier par mail ou Whatsapp avec l’ensemble de nos effectifs. Ce lien a pour objectif de mettre à jour les éventuelles difficultés en particulier psychologiques.

Force est de constater une grande inquiétude face au manque de perspective. Le rôle des responsables d’équipe est de rester à leur écoute et les rassurer au mieux

Et la direction ?

Nous avons la chance d’être porté par un grand groupe qui est capable de débloquer des fonds de soutien. C’est une réelle chance car nous ne percevons absolument aucune aide de l’État. Notre secteur d’activité est totalement exclu des aides existantes, alors que nos charges fixes continuent de courir à hauteur de 70 000 euros par mois.

La seule contribution est celle de la municipalité, qui a accepté notre demande d’exonération de loyer (environ 15 000 euros). L’incompréhension reste totale quant au maintien de notre fermeture totale, alors que de nombreux commerces sont ouverts et que nous avons fait la preuve à l’automne dernier de notre capacité à appliquer un protocole sanitaire strict et efficace.

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« Je cherche à manger dans les poubelles, alors le Covid ne me fait pas peur » : dans Paris sous couvre-feu, la survie passe avant le virus pour les sans-abri - Le Monde

La voiture de la Croix-Rouge roule au pas dans les rues du 7e arrondissement de Paris. Il est 20 h 30, il fait nuit noire. A l’intérieur du véhicule, Gwenaëlle, Grégory et Raphaël, trois bénévoles de l’association, scrutent les porches, les renfoncements, les Abribus, les tunnels à la recherche de sacs, de carton, ou de matelas qui leur indiqueraient la présence d’un sans-abri. En ces temps de confinement et de couvre-feu, où les rues se vident à 19 heures, ils ne sont pas difficiles à repérer, encore moins pour les bénévoles qui connaissent leurs habitudes.

Patrick vit dans la rue depuis douze ans.

Patrick, la soixantaine, sans domicile depuis douze ans, est à sa place habituelle, devant la porte close d’une banque du boulevard Raspail, assis au milieu de ses sacs. Il n’a pas mangé ce soir, et il n’est pas contre un café chaud. « Ce n’est pas trop dur pour toi, avec les nouvelles mesures de confinement ? », lui demande Grégory. « Ça va, on est un peu seul le soir, mais ils [la police] n’embêtent pas les gens qui vivent dehors », répond Patrick. Il commente aussi d’un laconique « c’est chiant » la fermeture des bars et des restaurants qui le prive de lieux où il avait l’habitude de rencontrer des gens, et d’un accès aux sanitaires. Puis il change rapidement de sujet pour évoquer ses pieds, qui le font souffrir des suites d’une blessure et qu’il voudrait soigner pour pouvoir marcher sans ressentir de douleur.

L’équipe de la Croix-Rouge discute avec Patrick, qui vit dans la rue depuis 2009, lors d’une maraude dans le 7e arrondissement de Paris, le 24 mars.

Un kilomètre plus loin, affairé à ranger son installation avant de se coucher, « J-P », qui a établi sa « cabane » depuis 2012 sous les Invalides, hausse aussi les épaules quand on lui parle de la pandémie et des mesures de confinement.

« Ça ne change pas grand-chose pour moi. De toute façon je vis dehors, alors si j’ai envie de me promener à 3 heures du matin, je le fais. Je risque quoi ? »

« Le Covid-19 ne les inquiète plus, comme lors du premier confinement », remarque Gwenaëlle Rémi, bénévole et chef d’équipe de la maraude mercredi soir. Ceux qu’elle rencontre et qui vivent dans la rue – presque tous des hommes – ont toujours les mêmes priorités : trouver de quoi se nourrir, se vêtir, un endroit où dormir, où se laver. Eviter d’attraper le Covid-19 ne fait pas forcément partie des urgences.

« Nous savons que les sans-abri sont plus à risque »

Pas même pour Roberto, 53 ans, qui vit au milieu de matériel de chantier aux Invalides. Son diabète fait de sa vie « un enfer », il souffre d’obésité, et il se sait fragile. « Chaque hiver je fais de grosses bronchites », précise cet homme sans domicile depuis plusieurs années. « Mais je m’en fous du Covid », lâche-t-il, amer, à l’évocation des policiers qui lui ont fait remarquer qu’il ne portait pas de masque.

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« Je cherche à manger dans les poubelles, alors le Covid ne me fait pas peur » : dans Paris sous couvre-feu, la survie passe avant le virus pour les sans-abri - Le Monde
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Monday, March 29, 2021

Ça commence aujourd'hui Kévin et Sophie : assassinés alors qu'ils avaient la vie devant eux - france.tv

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Drôme | Montélimar : il insulte les policiers alors qu’il joue au football après le couvre-feu - Le Dauphiné Libéré

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Pourquoi alors que Pâques, c’est dimanche, c’est lundi qui est férié? - La Voix du Nord

Pâque ou Pâques ?

En fait, les deux orthographes sont correctes, mais elles ne signifient pas la même chose. Pâque au singulier fait référence à la fête juive, et Pâques au pluriel à la fête chrétienne mais aussi à la fête païenne et populaire avec ses œufs et ses lapins en chocolat.

Chez les juifs, la Pâque (au singulier et toujours avec l’article « la », devant) fait référence à « Pessah » (en hébreu le passage), qui commémore le passage de la Mer rouge.

Avec un s, il s’agit de la fête chrétienne. Elle tire son origine de la fête juive, mais est différenciée depuis le XVIe siècle et a gagné son « s » au passage. Chez les Chrétiens, elle évoque la résurrection de Jésus et est la fête la plus importante du calendrier religieux.

La fête païenne de Pâques, avec ses lapins et ses poules au chocolat est dérivée de la fête chrétienne et s’écrit aussi avec un S.

D’où viennent cloches, lapins et chasse aux œufs ?

La tradition des cloches est directement puisée dans la religion catholique : le jeudi soir précédant Pâques, les cloches cessent de sonner pour commémorer la mort du Christ le vendredi. On disait alors aux enfants que les cloches partaient à Rome, leur retour le dimanche marquant la célébration de sa résurrection (et l’arrivée des œufs et poules en chocolat dans les jardins). Les œufs viennent de la tradition chrétienne du Carême : l’Église interdisant de consommer des œufs durant le Carême, ceux-ci étaient été conservés pour être décorés et offerts à Pâques ! Enfin, les lapins nous arrivent d’Allemagne et symbolisent le printemps et le renouveau.

Mais pourquoi le lundi de Pâques est férié ?

Pâques chrétien se fête le dimanche. C’est aussi ce jour-là que se déroule la traditionnelle chasse aux œufs. À l’origine, Pâques était tellement important que Rome avait institué « l’octave de Pâques », huit jours fériés consécutifs ! En 1802, quand Napoléon décide de faire le ménage dans les cinquante (!) jours fériés de l’époque, il décide de ne garder pour Pâques que le lundi férié !

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Cette clinique du Cher retrouve son numéro d'appel surtaxé alors que l'Etat lui avait demandé de raccrocher - actu.fr

La clinique s'était vu sommée d'arrêter son numéro surtaxé et son forfait administratif
La clinique s’était vu sommée d’arrêter son numéro surtaxé et son forfait administratif (©Illustration – Adobestock)

La Cour administrative d’appel de Nantes (Loire Atlantique) a donné raison à l’Hôpital privé Guillaume-de-Varye de Saint-Doulchard (Cher).

Elle a en effet annulé l’injonction qui lui avait été faite par les services de l’Etat de mettre fin au numéro d’appel surtaxé destiné aux patients qui veulent le joindre.

Suppression du numéro et du forfait administratif

Cette clinique avait été épinglée par la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) du Cher en décembre 2017.

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Elle avait été sommée de supprimer ce numéro surtaxé, mais aussi son « forfait administratif » de 10 € « correspondant à des frais ne répondant pas à des exigences particulières des patients », sous peine de se voir infliger une amende de 7 500 €.

En première instance, en février 2019, le tribunal administratif d’Orléans avait ainsi rejeté la requête de la clinique de Saint-Doulchard. Mais, en appel, les juges nantais ont annulé cette injonction pour « vice de forme« .

Les juges de la Cour administrative d’appel reviennent sur l’historique :

Le 9 janvier 2018, l'Hôpital privé Guillaume-de-Varye a présenté par écrit ses observations à l'administration, tout en exprimant le souhait de pouvoir présenter des observations orales. Toutefois, l'injonction du 17 juillet 2018 a été prise sans qu'il ait été fait droit à cette demande.

Juges de la Cour administrative d'appel de Nantes

Or, il n’est « pas établi » que cette demande de pouvoir présenter des « observations orales » présentait un « caractère abusif », estiment les juges.

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« Ce vice de procédure a privé cet établissement d’une garantie et entache donc d’illégalité la décision attaquée », conclut la cour administrative d’appel de Nantes.

L’Etat devra verser en conséquence 1 500 € de frais de justice à la clinique de Saint-Doulchard.

G.F. (PressPepper pour Actu Chartres)

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Sunday, March 28, 2021

Ça Alors !? - Drôle de planète - SUN | LeSonUnique

On pense la connaître par cœur, on la foule quotidiennement, on la maltraite régulièrement mais connaît-on réellement si bien que cela notre Terre et quelques-unes de ses caractéristiques les moins connues. Je vous en fais découvrir plusieurs assez inattendues à l'occasion de ce nouvel épisode de "Ca Alors !?".

"Ca Alors !?" se poursuit quotidiennement sur Facebook, rejoignez moi.
 

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Vaccins AstraZeneca : « Le rapport bénéfice risque reste favorable, car il s'agit d'évènements exceptionnels, alors que le bénéfice est avéré et majeur » - Le Monde

Annie-Pierre Jonville-Béra, présidente du réseau français des centres régionaux de pharmacovigilance.

La docteure Annie-Pierre Jonville-Béra est présidente du réseau français des centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV), au nombre de 31 sur le territoire. Elle est aussi responsable du CRPV Centre-Val de Loire (CHU de Tours).

Après l’annonce, vendredi 26 mars au soir, de la confirmation du risque de thromboses veineuses atypiques, dans de très rares cas, chez des personnes vaccinées en France par le vaccin AstraZeneca, elle fait le point sur la surveillance des vaccins anti-Covid. La docteure évoque aussi la difficulté des centres à gérer l’afflux de déclarations d’effets indésirables, alors que plus de 10 millions d’injections des trois vaccins actuellement utilisés – les deux autres sont Moderna, Pfizer-BioNTech, Johnson & Johnson a été autorisé le 12 mars, les premières doses devraient arriver après la mi-avril – ont été réalisées dans le pays.

Dans son dernier point de situation, l’Agence nationale de sécurité sanitaire du médicament évoque neuf cas de thromboses (caillots sanguins) atypiques après vaccination par le produit AstraZeneca, avec deux décès. De quoi s’agit-il exactement ?

Cette problématique, en cours d’examen à l’Europe, concerne des thromboses veineuses très particulières, à la fois par leur localisation, au niveau des veines cérébrales notamment, et par leur association à une thrombopénie (faible taux de plaquettes dans le sang) ou une coagulation intravasculaire disséminée, qui est un trouble de coagulation. Spontanément, cette association n’est pas classique.

En revanche, le risque de thromboses veineuses habituelles – au niveau des membres inférieurs – et d’embolies pulmonaires n’est pas augmenté par le vaccin AstraZeneca, selon l’évaluation de l’Agence européenne du médicament [EMA]. C’est également ce que nous constatons en France. Toutes les observations rapportées concernent des personnes qui avaient des facteurs de risque classiques de thrombose veineuse : obésité, contraception…

S’agissant des neuf cas de thromboses atypiques déclarés en France, leur profil est comparable à ceux décrits auparavant dans d’autres pays d’Europe. Ce sont des personnes plutôt jeunes (43 ans en moyenne), qui ont déclaré des symptômes dans les huit à quinze jours suivant la vaccination. Nous commençons à voir ces tableaux cliniques après d’autres pays car nous n’avions pas auparavant une volumétrie suffisante de sujets vaccinés pour voir apparaître des évènements aussi rares.

Après des cas suspects dans d’autres pays européens, qui avaient conduit à une suspension temporaire du vaccin AstraZeneca, peut-on désormais affirmer qu’il s’agit d’une complication de cette vaccination ?

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Alors, cette gaufre, elle a quel goût ? - LePetitBleu

Faits du match, statistiques : on refait ce France – Ecosse en questions-réponses.

Quel goût avait la gaufre servie par les Ecossais ?

Plutôt désagréable… La question est volontairement provocatrice, à l’image du manque d’humilité affiché dans la semaine sur la toile. Les joueurs du XV de France n’y sont pour rien mais franchement, le community manager de la FFR (ou la personne qui lui a dicté le texte) aurait mieux fait de s’abstenir au moment de publier son tweet de très mauvais goût lors de la journée mondiale de la gaufre. Compte tenu des événements et du manque de sérieux dans le respect des règles sanitaires ayant entraîné une vague de contamination, il aurait mieux valu faire profil bas plutôt que d’ironiser sur l’épisode romain. La mission (succès de 21 points au moins avec le bonus offensif) était suffisamment ardue pour ne pas offrir aux Ecossais un levier sur lequel appuyer…

Qu’est-il passé par la tête de Brice Dulin ?

Sauveur des Bleus face aux Gallois, l’arrière rochelais les a précipités vers la défaite hier soir en offrant une dernière possession aux Ecossais dans les arrêts de jeu (pénalité pour ballon gardé). Alors que Charles Ollivon venait de récupérer un ballon devant son en-but, Dulin n’avait qu’à dégager le ballon en touche pour assurer la victoire plutôt que de tenter une relance afin d’aller chercher un bonus offensif qui n’aurait servi à rien. Une bourde qui coûte une victoire mais qui ne change finalement rien au résultat final dans le Tournoi, bouclé comme l’an passé à la deuxième place.

Le premier essai de Duhan van der Merwe était-il valable ?

Venu prêter main-forte à ses avants sur une séance de pick and go, l’ailier écossais a quelque peu douché l’enthousiasme français (15). Seulement, et même à vitesse réelle, il semblerait qu’il a aplati en deux temps. Après avoir fait pas mal de misères aux Bleus le week-end précédent, Wayne Barnes n’a toutefois pas jugé bon de faire appel à la vidéo pour confirmer sa première décision.

Combien de temps les Français ont-ils dû attendre pour voir Wayne Barnes sortir un carton jaune ?

Un quart d’heure. Dominés à partir de la 25e minute, les Ecossais ont multiplié les fautes (9 jusqu’à la pause). Ce qui porte à 11 le nombre de pénalités concédées avant que l’arbitre ne sévisse. Vu le plongeon de Stuart Hogg proche de son en-but, il était difficile de retarder encore un peu plus l’échéance… Une supériorité numérique qui aura permis aux Français d’inscrire un essai (46), Penaud profitant de l’absence de couverture pour réaliser un joli numéro après un off-load de Vakatawa. En seconde période, l’arbitre s’est montré parfaitement cohérent, adressant un carton jaune à Baptiste Serin (74) après huit pénalités en demi-heure.

Quelles actions ont coûté le Tournoi aux Bleus ?

Le temps n’a pas joué en leur faveur et les Français n’ont pas eu tant d’occasions que ça d’aller chercher le bonus offensif. On pense néanmoins à cette pénaltouche contrée en fond par Haining (40+1), à cette action d’envergure menée à toute vitesse avec alternance de jeu au près et sur la largeur avortée par un déblayage au cou de Gaël Fickou (44) ou encore à ce ballon joué hâtivement au pied par Antoine Dupont dans les "22" adverses (54). Sans oublier l’essai de pénalité qu’aurait pu accorder M. Barnes sur l’essai en coin de Penaud (les 2 points de la transformation, ça compte ! ; Ntamack a échoué à deux reprises hier). Mais plus globalement, hier soir, ce sont surtout l’indiscipline (14 pénalités concédées), le manque de fraîcheur et une certaine porosité défensive qui ont pesé très lourd dans la balance.

Comment s’est comportée la mêlée des Bleus ?

En l’absence des deux tracteurs du pack – Romain Taofifenua (remplaçant au coup d’envoi) et Paul Willemse (suspendu) –, des doutes avaient été émis quant à la bonne tenue de la mêlée bleue. Avec Swan Rebbadj en N.5 (avant de glisser à gauche à la 50e à l’entrée de son coéquipier toulonnais), elle a plutôt bien tenu son rang, obtenant trois pénalités (8, 26, 76) contre une seule concédée (45).

Le carton rouge de Finn Russell était-il justifié ?

Totalement. En raffûtant avec son coude dans la gorge de Dulin, l’ouvreur du Racing 92 ne pouvait pas espérer la clémence du corps arbitral. Une absence qui n’a pas empêché ses coéquipiers de renverser les Français mais qui va sacrément contrarier son club à l’aube des phases finales européennes…

Combien de ballons Grant Gilchrist a-t-il gagnés en touche ?

Avec son casque rouge, on n’a vu que lui. Au total, le deuxième ligne du XV du Chardon aura réalisé une véritable moisson dans l’alignement avec 12 prises (sur 17), dont une à l’origine de la combinaison magnifique sur l’essai un peu chanceux (arrachage malheureux de Rebbadj) de David Cherry (61).

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Saturday, March 27, 2021

À Toul, des gardiens filmés alors qu'ils font la fête avec… des détenus - Le Point

Les gardiens du centre pénitentiaire de Toul (Meurthe-et-Moselle) ne s'attendaient sans doute pas à faire une telle découverte en inspectant le téléphone portable d'un prisonnier saisi le 17 mars. Comme le rapporte L'Est républicain, ils sont en effet tombés sur trois vidéos et quatre photos où plusieurs détenus sont en train de manger et de boire de l'alcool. Le problème ? Ils étaient accompagnés par quatre surveillants et une secrétaire administrative.

La scène s'était déroulée quelques semaines plus tôt, au sein de l'économat du centre de détention. C'est là que sont gérés le budget, les achats ou encore les finances de l'établissement. L'événement semble très arrosé et surtout beaucoup trop convivial, pointe le quotidien régional. Placé en garde à vue et interrogé par la police de Toul, le propriétaire du smartphone a reconnu les faits, expliquant avoir eu l'idée lui-même de filmer la scène. Ce sont, selon lui, les gardiens qui auraient introduit la nourriture et l'alcool dans l'établissement. Ils auraient fait cela pour remercier les détenus qui les avaient aidés à l'occasion de l'inventaire de l'économat. Face aux forces de l'ordre, trois des quatre gardiens ont reconnu avoir apporté les bouteilles d'alcool. Ils seront convoqués début mai, à Nancy, dans le cadre d'une procédure de plaider-coupable.

Vers des sanctions disciplinaires

L'autre gardien et la secrétaire, qui n'ont pas fait entrer d'alcool dans l'établissement pénitentiaire, ne sont pas poursuivis par la justice. Mais, pour avoir participé à ces agapes plutôt particulières, les cinq membres de l'administration vont désormais faire l'objet d'une procédure disciplinaire. Ils pourraient ainsi perdre leur travail.

Du côté des prisonniers qui ont pris part aux festivités, la situation est différente. Le propriétaire du smartphone a déjà accepté une extension de sa peine de trois mois ferme pour avoir fait entrer un téléphone en prison. Les autres détenus pourraient aussi faire l'objet de sanctions disciplinaires. Ils pourraient aussi perdre leur crédit de réduction de peine. Une fin de soirée au goût amer pour les participants.

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À Toul, des gardiens filmés alors qu'ils font la fête avec… des détenus - Le Point
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Sidaction : alors que l'épidémie du VIH continue, où se faire dépister dans les Alpes-Maritimes - France 3 Régions

Le sida est loin d'avoir disparu en France. Il y a en moyenne 6.000 nouveaux diagnostics tous les ans, dont 13% de jeunes. Et les dépistages sont en baisse à cause de l'épidémie du Covid. La PrEP, traitement préventif, reste méconnu.

Attention, un virus peut en cacher un autre ! Avec le Covid 19, le virus du sida est en train de passer sous les radars. D'abord, les personnes se font beaucoup moins testées. Depuis mars 2020, 650 000 dépistages de moins ont été effectués en France par rapport à l'année 2019. Les associations de lutte contre le sida s'inquiètent. D'après le Sidaction, la pandémie de Covid-19 et les restrictions sanitaires ont considérablement perturbé les campagnes de dépistage du VIH (Virus d'Immunodéficience Humaine). 

La prévention reste la meilleure parade contre le sida. A Nice, le médecin Pascal Pugliese, coordinateur du comité de lutte contre le VIH Paca-est, confirme ce retard dans le dépistage :

On peut craindre qu'il y ait un retard entre l'infection et le dépistage. Or, on sait qu'une personne détectée tôt et traitée ne va pas transmettre le virus.

Pascal Pugliese, médecin coordinateur du comité de lutte contre le VIH

Lettres d'insultes

L'année dernière, le Sidaction n'a pas pu avoir lieu. Et pourtant, on meurt toujours du sida en France. Pour faire un don au Sidaction, c'est ici. Ce samedi 27 mars est une grande soirée est consacrée au Sidaction, une initiative caritative toujours portée par Line Renaud depuis maintenant 35 ans. L'ancienne chanteuse et meneuse de revue âgée de 92 ans, affirme qu'elle a reçu des lettres d'insultes lorsqu'elle a commencé à s'emparer de cette cause dans les années 90. Lutter contre la discrimination et la sérophobie est toujours d'actualité. 

Le sida, apparu en Californie dans les années 80, donc plus ancien que le Covid, reste meurtrier et surtout peu connu des jeunes. Aujourd'hui, les associations constatent un relâchement pour se protéger pendant les rapports sexuels. Selon un sondage Ifop mené sur des 15-24 ans, trois jeunes sur dix s'estiment mal informés sur le sida et le VIH. Pourtant, en France, 170 000 personnes vivent avec le virus. Si les progrès de la médecine, notamment avec les trithérapies, permettent de contenir le virus, ce dernier continue à tuer et à se transmettre.

150.000 décès supplémentaires durant la pandémie

Alors que 1,7 million de contaminations au VIH ont été enregistrées en 2019, "le programme Onusida projette en moyenne 100 000 infections supplémentaires, chaque année entre 2020 et 2022", alerte Sandrine Fournier, directrice du pôle financements recherche et associations au sein du Sidaction. Et, d'après la professeure Françoise Barré-Sinoussi, qui a participé à la découverte du VIH, le sida pourrait causer 150 000 décès supplémentaires durant la pandémie.

Où se faire tester dans les Alpes-Maritimes ?

Pourtant, il n'a jamais été aussi simple de se faire tester. Vous trouverez dans ce post Facebook les adresses des centres qui permettent de se faire dépister dans les Alpes-Maritimes, sans avance de frais et même sans ordonnance.

Face à la crise sanitaire, la lutte contre le sida a changé de forme. "Les associations ont fait un travail remarquable, se félicite Sandrine Fournier, elles sont allées jusqu'à apporter des paniers repas directement chez les gens, remplir des attestations, distribuer des kits d'hygiène..." La responsable du Sidaction insiste : les centres de dépistage sont restés ouverts durant toute la crise sanitaire, proposant souvent des tests "dont le résultat est connu en quinze minutes".

Autotest en pharmacie

"C'est très simple aujourd'hui, il y a toutes sortes de méthodes et de lieux pour se faire dépister en France. Vous pouvez vous rendre dans un laboratoire d'analyses, un Centre gratuit d'information, de dépistage et de diagnostic (CeGIDD) voire même acheter un auto-test en pharmacie." Dans les Alpes-Maritimes, il est possible de se faire tester dans les laboratoires sans ordonnance. Malgré ces possibilités, le Dr Puglieses redoute qu'il y ait un retards dans les diagnostics. 

Le développement de la PrEP

Pourtant, un traitement préventif existe : la PrEP. Ce développement de ce traitement préventif avait permis de faire chuter de 30 % les nouvelles contaminations entre 2017 et 2018. Un traitement préventif désormais remboursé par la sécurité sociale.

6.000 nouveaux diagnostics tous les ans, dont 13% de jeunes

Les jeunes et les moins jeunes sont toujours victimes du VIH. Sandrine Fournier, responsable du Sidaction précise : "On est toujours à plus de 6.000 nouveaux diagnostics tous les ans, dont 13% de jeunes. C'est plus de 700 jeunes de moins de 25 ans qui, tous les ans, sont diagnostiqués séropositifs."

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Société | Changement d’heure : alors on recule ou on avance ? - L'Alsace.fr

Vous pensiez ne plus jamais avoir à changer d'heure ? C'est raté ! Dans la nuit de samedi à dimanche, il faudra mettre à l'heure vos montres et horloges. Concrètement, à 2 heures du matin, il sera en fait 3 heures.

On va donc perdre une heure de sommeil. C'est d'ailleurs pour cette raison que le gouvernement a officiellement décidé de décaler le couvre-feu d'une heure.

Les français veulent supprimer le changement d'heure

Le changement d'heure, qui a été institué en 1976 pour faire des économies d’énergie, est contesté depuis plusieurs années. D'ailleurs, il était question d'y mettre fin. En 2018, la Commission européenne avait proposé sa suppression l'année suivante. Le Parlement européen avait ensuite reporté la décision à 2021. Et finalement, la pandémie de Covid-19 a changé les plans.

Les décisions ont été repoussées, sine die.

Les Français sont pourtant en grande majorité pour la suppression du changement d'heure. En 2019, sur deux millions de répondants à un sondage de l'Assemblée nationale, 83,74% des gens avaient souhaité arrêter de toucher aux aiguilles de leur montre. Mais les avis étaient moins tranché pour savoir quel créneau favoriser : l'heure d'été ayant reçu une courte avance des votes (59%).

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Société | Changement d’heure : alors on recule ou on avance ? - Le JSL

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Comment Julien Courbet a pu se faire vacciner contre le Covid-19 alors qu’il n’est pas prioritaire - LaDepeche.fr

l'essentiel L’animateur de M6 et RTL Julien Courbet s’est fait vacciner contre le Covid-19. Il ne présente pourtant aucun signe de comorbidité. Il a été vivement critiqué sur les réseaux sociaux.

Julien Courbet est en partie vacciné contre le Covid-19. Le présentateur de "Ça peut vous arriver" chaque matin sur RTL et M6 a déclaré qu’il avait pu se faire vacciner contre le Covid-19. Il a reçu une première dose du vaccin AstraZeneca.

Je me suis fait vacciner par astrazeneca, mon généraliste appel ceux qui doivent se faire vacciner en avril car il a des tas de désistements suite à la suspension du vaccin . Et je vais très bien. Je suis protégé et je protège les autres . #AstraZeneca #VaccinationCovid pic.twitter.com/WwLIvfSFNz

— Julien Courbet (@courbet_julien) March 22, 2021

Julien Courbet ne fait pourtant pas partie des catégories de population prioritaire. L’accès au vaccin est uniquement élargi aux plus de 70 ans à partir de ce samedi. Or Julien Courbet est âgé de 56 ans. Alors a-t-il bénéficié d’un accès privilégié en raison de sa notoriété ?

Julien Courbet a joué la transparence sur son compte Twitter et s’est expliqué dans "C à vous" sur France 5. "J’ai un généraliste qui est très intelligent et qui a eu près de onze personnes qui ont annulé, suite à la campagne sur l’AstraZeneca, le rendez-vous. Donc il s’est retrouvé, le soir, à 19 heures, et il a pris une liste de gens, parce que je crois que ça dure six heures ou quelque chose comme ça, moi j’ai été appelé à 19 heures, si vous voulez ça part à la poubelle vous venez en courant et je vous vaccine. Je peux vous dire que j’y ai été immédiatement". Le médecin généraliste a ainsi appelé une partie de ses patients pour utiliser les doses qu’il possédait et ne pas les jeter à la poubelle.

Sur Twitter, Julien Courbet a reçu plusieurs messages virulents. "C’est marrant ça, toutes ces "pseudo-célébrités" chanceuses qui reçoivent un appel de leur généraliste pour une vaccination", "lorsqu’on vole le vaccin d’une personne fragile, on reste discret", "les passe-droits avant les autres, normal, comme toujours", "vous me décevez Monsieur Courbet", "il l’a pas fait, c’est de la propagande pour inciter les gens au vaccin", "je n’approuve pas mais je respecte le choix de chacun".

Julien Courbet a expliqué dans "C à vous" qu’il se sentait bien après la vaccination : "Ça s’est bien passé, regardez, je n’ai jamais été aussi excité de ma vie !"

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Société | Changement d’heure : alors on recule ou on avance ? - Le Progrès

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Les français veulent supprimer le changement d'heure

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Friday, March 26, 2021

Covid-19. En Mayenne, le taux d’incidence en hausse alors que la positivité est en baisse - Ouest-France

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Covid-19. En Mayenne, le taux d’incidence en hausse alors que la positivité est en baisse  Ouest-France
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Drôme. Livron-sur-Drôme : réveillé par un voleur alors qu'il dormait dans sa voiture - Le Dauphiné Libéré

Dans la nuit de jeudi 25 à vendredi 26 mars, bien mauvaise mésaventure que celle vécue par un ressortissant anglais. Alors qu’il s’était arrêté pour passer la nuit sur l’aire de repos de Livron-sur-Drôme, sur l’autoroute A7, il a été surpris en plein sommeil, vers 2 h 30 du matin.

Un individu aurait fracturé la fenêtre de sa voiture, afin de dérober sa sacoche, qui se trouvait à l’intérieur. La victime aurait résisté au vol, et une rixe aurait éclaté. Le voleur aurait fini par réussir à prendre la fuite avec la sacoche. On ignore le montant exact du préjudice.

Ce ne serait pas le seul vol à la roulotte de la nuit : un autre vol aurait été commis au préjudice d’un chauffeur poids lourd, stationné sur l’aire de repos de Donzère, et d’autres vols auraient eu lieu dans le secteur de Loriol-sur-Drôme, visant notamment du matériel électroportatif.

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Drôme. Livron-sur-Drôme : réveillé par un voleur alors qu'il dormait dans sa voiture - Le Dauphiné Libéré
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Covid-19 : « Pour Macron, tout va bien, alors qu’on en est bientôt à 100.000 morts », dénonce Patrick Kanner - Public Sénat

« Aucun mea culpa à faire, aucun remords, aucun constat d’échec ». Ce sont les mots du chef de l’Etat, jeudi soir, après un Conseil européen en visioconférence. « Je peux vous le dire : nous avons eu raison de ne pas reconfiner la France à la fin du mois de janvier parce qu’il n’y a pas eu l’explosion qui était prévue par tous les modèles », s’est défendu Emmanuel Macron, au moment où, aujourd’hui, tous les compteurs de l’épidémie s’affolent à nouveau.

« Même pas un mot d’empathie pour les malades, les disparus »

Des déclarations accueillies très froidement par l’opposition. « Finalement, le Président ne doute jamais. Et il a avoué que c’était lui qui décidait seul. Il n’a pas eu un mot de remord sur la décision de ne pas confiner le 29 janvier. Donc tout va bien dans le meilleur des mondes, alors qu’on va être bientôt à 100.000 morts, et qu’il y a eu près de 50.000 cas hier et des semaines terribles sont à venir », attaque le patron des sénateurs socialistes, Patrick Kanner. Il regrette qu’il n’ait « même pas un mot d’empathie pour les malades, les disparus ».

Le sénateur PS du Nord est très remonté contre le chef de l’Etat. Ses mots sont très durs. « N’est pas de Gaulle qui veut, ou Napoléon. Je n’ai plus confiance dans la gestion de cette crise », tranche l’ancien ministre, qui ajoute :

Nous sommes pilotés par un aventurier. Mais la question qui se pose, c’est y a-t-il un pilote dans l’avion ?

« Nous sommes devant un pouvoir solitaire qui peut devenir mortifère », lâche encore Patrick Kanner, « très inquiet » car « on ne joue pas avec les Français comme on joue au Monopoly ».

« Tout ça fait, quand même grand méchant flou. Car on dit des choses et un peu le contraire » raille Hervé Marseille, président du groupe Union centriste. « Le président dit j’ai bien fait de ne pas reconfiner en janvier et en même temps, tous les médecins disent le contraire… Il y a quand même l’équivalent d’un avion qui s’écrase tous les jours. Et on déprogramme des soins, donc ça laisse sur le carreau des gens atteints de pathologies graves », dénonce le sénateur UDI des Hauts-de-Seine.

« C’est un satisfecit général. Tout va bien alors que tout va mal »

Même analyse sur le fond de la présidente du groupe communiste, Eliane Assassi. « C’est un satisfecit général. Tout va bien alors que tout va mal. J’entendais un responsable de service d’un hôpital dire que les mesures auraient dû être prises en février pour éviter cette troisième vague », note la sénatrice de Seine-Saint-Denis, « département le plus touché ». Eliane Assassi dénonce la situation actuelle :

L’économie a pris le pas sur la santé des Français. Et ce sont des médecins qui le disent.

« Tout va bien. Il a fait les meilleurs choix ! », ironise aussi Jérôme Bascher, sénateur LR de l’Oise, « pourtant, tous les hospitaliers vous disent que ce qui s’annonce est catastrophique… » « Clairement, le confinement light annoncé la semaine dernière a été une aberration. Il aurait fallu clairement reconfiner, et quinze jours avant ça. Il persévère dans l’erreur », selon le sénateur. « On se demande à quoi ça servait qu’il parle hier. Olivier Véran fait sa conférence de presse pour dire qu’il y a beaucoup d’inquiétudes. Et lui dit tout va bien », s’étonne Olivier Bascher, avant d’ajouter :

Depuis Michel Audiard, je sais bien que ce n’est pas parce qu’on n’a rien à dire, qu’il faut fermer sa gueule. Sauf que le Président a des paroles moins fines qu’Audiard. Hier soir, c’était catastrophique.

« Il n’y a pas assez de mains de vacciner »

Jérôme Bascher soulève « une vraie inquiétude » pour la suite. « On nous parle beaucoup des vaccins, mais le vrai sujet maintenant, c’est celui des vaccinateurs. Dans l’Oise, les médecins et infirmiers ne se multiplient pas. On va vers un problème de vaccinateurs. Il n’y a pas assez de mains pour vacciner » alerte le sénateur LR, « c’est encore un deuxième problème logistique ».

Une difficulté que semble admettre en creux Olivier Véran. Pour la suite de la campagne, « nous aurons besoin de bras », a-t-il reconnu jeudi, lors de sa conférence de presse. Il a appelé « tous les étudiants en santé et tous les professionnels de santé retraités à prêter main-forte pour la vaccination et dans les hôpitaux quand ils le peuvent, comme ils l’ont déjà fait depuis un an ».

« Le manque d’anticipation dans l’organisation logistique est un drame national »

On sait depuis ce vendredi que les vétérinaires et les dentistes seront autorisés à vacciner. Soit 252 000 professionnels supplémentaires. De quoi répondre aussi au manque de bras. « Que tous les personnels compétents puissent vacciner, bien sûr, si les doses arrivent », réagit Patrick Kanner, « mais à Lille, Martine Aubry a dit qu’elle n’avait déjà plus de dose… Le manque d’anticipation dans l’organisation logistique est un drame national ».

« Tous ceux qui pourront apporter une contribution doivent le faire », pense aussi Hervé Marseille, « mais ça prouve bien que la réserve médicale, ça n’a pas marché. Je connais des médecins retraités qui se sont inscrits et qui n’ont jamais été appelés », raconte l’élu des Hauts-de-Seine. Selon Hervé Marseille, il faut aussi compter sur les « collectivités, qui peuvent répondre à cette demande pour la vaccination. Elles ont des salles et du monde à mettre à disposition ».

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