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Monday, May 31, 2021

Une octogénaire déclarée morte alors que son cœur bat encore, sa famille porte plainte - Midi Libre

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Une octogénaire déclarée morte alors que son cœur bat encore, sa famille porte plainte  Midi Libre
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Victime d'insultes racistes alors qu'il voulait demander sa copine en mariage - LaDepeche.fr

l'essentiel Benjamin Kingombe voulait seulement louer un appartement pour demander sa copine en mariage. Le gérant de l'appartement le lui a refusé et a proféré des insultes racistes violentes à l'encontre du jeune homme. 

Après les événements violents de dimanche soir à Cergy où un jeune livreur a été victime d'insultes racistes, c'est AJ+ France qui relate aujourd'hui de nouveaux faits choquants qui se sont déroulés à Paris. 

Benjamin Kingombe voulait demander sa copine en mariage. Le gérant de l’appartement loué lui a proféré des insultes racistes qu’il a enregistrées. Attention, les propos sont très choquants : pic.twitter.com/dwrukvZ0NY

— AJ+ français (@ajplusfrancais) May 31, 2021

À travers AJ+ France, le jeune cuisinier de 25 ans, Benjamin Kingombe raconte qu'il voulait simplement demander la main de sa petite amie et avait décidé de louer un appartement chic pour l'occasion dans le XVIe arrondissement de la capitale. Un moment romantique qui n'aurait pu, normalement, s'obscurcir que par un potentiel refus de la jeune femme... au grand malheur de Benjamin.

Pourtant ce jour-là, ce n'est pas un potentiel refus de sa moitié qui le "choque", qui le "blesse".

Car ce jour-là, il ne pourra jamais faire sa demande.

Une plainte a été déposée

En effet, lorsqu'il a voulu récupérer les clés, il s'est vu essuyer un refus du concierge. Un refus qui ne s'est malheureusement pas arrêté là puisqu'en plus de garder l'argent du cuisinier, le gérant de l'appartement a proféré à l'encontre du Congolais d'origine, habitant dans l'Essonne, des insultes racistes d'une rare violence. Propos enregistrés par la victime qui a porté plainte le 27 mai. 

"Organisez vos soirées dans vos putains de bidonvilles dégueulasses"

Dans ces enregistrements, on peut entendre le gérant dire : "Organisez vos soirées dans vos putains de bidonvilles dégueulasses et arrêtez de venir faire chier les gens dans les quartiers chics."

Il renchérit sur l'argent du jeune homme : "Mais je le garde votre argent, je le garde pour mon dédommagement, c'est tout"

Les propos violents du gérant tournent rapidement autour de l'esclavage et balance, impunément : "Non seulement vous vous êtes pris 400 d'esclavages dans le c...mais ça ne vous a pas servi de leçon. Vous êtes d'une bêtise mais quand même exceptionnelle". 

"Est-ce qu'une fois un policier s'est fait condamner pour avoir tabassé un Noir ?"

Le gérant ne s'arrête pas là... "Est-ce que vous pensez vraiment que les Noirs ont accès à la justice", peut-on entendre des enregistrements. On vous tue, on vous viole, on vous tabasse, on vous insulte. Est-ce qu'une fois un policier s'est fait condamner pour avoir tabassé un Noir ? Non" Des termes qui font un triste écho au mouvement BlackLivesMatter, un an après l'assassinat de George Floyd

Aujourd'hui, encore choqué, Benjamin Kingombe peut s'appuyer sur de nombreux soutiens et sa désormais... fiancée.

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Une femme de 87 ans déclarée morte… alors que son cœur battait encore - Ouest-France

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Une femme de 87 ans déclarée morte… alors que son cœur battait encore  Ouest-France
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Hongkong : l'activiste prodémocratie « Mamie Wong » arrêtée alors qu'elle commémorait seule la répression de Tiananmen - Le Monde

Alexandra Wong brandit un drapeau britannique devant un tribunal de Hongkong, le 28 mai 2021, alors que neuf militants prodémocratie attendent leur condamnation pour des accusations de rassemblement non autorisé le jour de la fête nationale chinoise, le 1er octobre 2019.

C’est une nouvelle illustration de la « tolérance zéro » à l’égard des manifestations dans l’ex-colonie britannique. La police hongkongaise a arrêté, dimanche 30 mai, « Mamie Wong », une sexagénaire connue pour son engagement prodémocratie, alors qu’elle commémorait seule la répression de Tiananmen.

Alexandra Wong, 65 ans, avait été particulièrement active à Hongkong en 2019 pendant la mobilisation populaire qui avait ébranlé le centre financier, au point d’être surnommée affectueusement « Mamie Wong ». On la voyait souvent brandissant un drapeau britannique, une manière de contester la tutelle chinoise sur la ville rétrocédée en 1997. Elle a été interpellée dimanche pour sa « participation à un rassemblement illégal », alors qu’elle marchait en direction du Bureau de liaison, l’organe représentant Pékin à Hongkong.

Les demandes d’organisation de manifestations sont aujourd’hui quasi systématiquement refusées, que ce soit au prétexte sanitaire ou sécuritaire. La police a ainsi refusé de donner son autorisation à la traditionnelle veillée qui doit avoir lieu vendredi dans un parc de la ville pour marquer le 32anniversaire de la répression du mouvement social et étudiant de Tiananmen, en 1989. C’est la deuxième année de suite que ces commémorations sont interdites.

Les autorités ont cité les inquiétudes liées au coronavirus, alors même que la ville n’a plus enregistré de contamination locale d’origine inconnue depuis un mois. Des associations avaient également demandé la permission d’organiser une petite marche en lien avec Tiananmen, dimanche, en direction du Bureau de liaison, l’organe représentant le gouvernement central dans la ville. Mais elle a également été interdite.

Détenue pendant des mois

Mme Wong s’y est néanmoins rendue, en brandissant une pancarte en souvenir de Tiananmen et un parapluie jaune, l’un des symboles de la contestation. Le South China Morning Post (SCMP) rapporte qu’elle a commencé à scander des slogans dans un parc avant de prendre la direction du Bureau de liaison seule, tout en étant suivie et filmée par la police.

Elle a été arrêtée deux fois. « Je suis toute seule, je ne suis qu’une vieille dame. Pourquoi m’empêchez-vous de passer ? », a-t-elle demandé à la police, selon le SCMP, avant d’être formellement interpellée. La police a confirmé cette arrestation pour « avoir sciemment participé à un rassemblement non autorisé et pour avoir tenté d’en inciter d’autres à faire de même ».

La ville censée jouir d’un haut degré d’autonomie a été l’objet d’une reprise en main musclée de Pékin en 2020 après la contestation populaire de 2019. Le principal instrument de cette répression est une loi controversée sur la sécurité nationale qui a été imposée par la Chine.

Mme Wong avait été de presque tous les rassemblements au début de la contestation, jusqu’à sa disparition, en août 2019, alors qu’elle se rendait à Shenzhen, en Chine continentale. Mme Wong avait refait son apparition quatorze mois plus tard à Hongkong, expliquant avoir été détenue pendant des mois.

Le Monde avec AFP

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Hongkong : l'activiste prodémocratie « Mamie Wong » arrêtée alors qu'elle commémorait seule la répression de Tiananmen - Le Monde
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Pays Basque : arrêté alors qu'il conduit sans permis depuis 10 ans et qu'il est positif au cannabis - France Bleu

Il conduisait depuis l'âge de 17 ans... mais sans avoir son permis ! Stupéfaction des gendarmes du peloton de l'autoroute mercredi dernier au moment d'arrêter une Renault Clio à St Pierre d'Irube. Peu auparavant, ils avaient remarqué le comportement bizarre du véhicule qui roulait trop lentement sur l'A63. 

Le jeune homme au volant est âgé de 27 ans, mais il reconnait qu'il conduit depuis l'âge de 17 ans sans permis, sans jamais avoir été contrôlé. Et forcément, sans permis, le véhicule n'est pas assuré, le contrôle technique n'a pas été effectué non plus, et de toutes façons il n'a même pas de carte grise. Cerise sur le gâteau, les analyses confirment que le conducteur est positif au cannabis. 

Le périple du conducteur s'arrête là : il comptait se rendre en Ardèche, à 700 km du Pays Basque. La voiture est placée en fourrière.

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Ça Alors !? - Que diable ! - SUN | LeSonUnique

Le numéro de cet épisode aura sans doute de quoi en intriguer plus d'un... En effet, à l'occasion de cet épisode 66, j'en profite pour faire le tour de la question autour des fantasmes et autres informations insolites liées à ce nombre tout sauf anodin. Nombre magique ou tout simplement commun, à vous de juger à l'occasion de ce nouvel épisode de "Ca Alors !?".

"Ca Alors !?" se poursuit quotidiennement sur Facebook, rejoignez moi.
 

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Ça Alors !? - Que diable ! - SUN | LeSonUnique
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Sunday, May 30, 2021

Villefontaine (38) | Il saute de son véhicule alors qu’il roule à 40 km/h - Le Progrès

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Une femme déclarée morte alors que son coeur battait encore - Le Point

Une famille porte plainte pour non-assistance à personne en danger, après le décès d'une octogénaire déclarée morte alors que son coeur semblait battre encore, rapporte Le Parisien. Elle est finalement décédée quelques minutes plus tard, après une intervention tardive des secours. La plainte a entraîné l'ouverture d'une enquête préliminaire par le parquet de Créteil.

Le 2 avril, Sylvie Koukoui appelle sa mère à la résidence pour seniors « Les Essentielles », située à Vincennes, dans le Val-de-Marne. Ne réussissant pas à la joindre dans son studio, cette dernière contacte la résidence, qui promet de la tenir au courant. « À 23 h 20, l'agent d'accueil m'a finalement rappelé, pour me dire sans ménagement, de revenir le lendemain pour la levée du corps. J'étais sidérée. Je lui ai dit : Mais vous êtes en train de m'annoncer la mort de ma mère ! », raconte -t-elle.

Le cœur battait encore

Comme l'explique le quotidien, Sylvie Koukoui se rend immédiatement sur place, accompagnée de sa fille et de son amie Céline Martin, adjointe au maire en charge des seniors à Vincennes. 

Sa fille monte alors voir sa grand-mère, mais elle redescend aussitôt, affolée, expliquant qu'elle a senti un pouls et que le cœur bat encore. La jeune fille alerte alors rapidement le Samu. Céline Martin, elle, rappelle les pompiers. Malgré la réanimation, le décès de Claire Koukoui est prononcé à 00h38, des suites d'un arrêt cardiaque. 

« À ce moment-là, personne ne se déplace »

Sylvie Koukoui saisit alors la section « contentieux opérationnel » de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP). Selon l'enquête interne, les secours de la BSPP ont été appelés une première fois le 2 avril à 22h59 par la gardienne. Cette dernière a constaté que l'octogénaire était au sol dans sa chambre. 

« Au regard des premières informations dont il dispose, l'opérateur déclenche un moyen de secours (…). Poursuivant la recherche d'éléments complémentaires, il guide la gardienne dans la prise en charge », indique le courrier. Les données fournies par la gardienne auraient également indiqué que des signes de rigidité cadavérique étaient déjà présents. 

Compte tenu de ces nouveaux éléments, l'appel est orienté vers le Samu afin qu'un médecin se déplace pour constater le décès de Claire Koukoui. Mais, « à ce moment-là, personne ne se déplace », insiste Sylvie Koukoui.

« En arrêt cardiaque depuis plusieurs heures »

Selon la BSPP, une intervention plus rapide n'aurait pas changé la finalité des évènements. « Il n'y a que l'enquête pénale qui permettra de faire la lumière sur les circonstances réelles de ce décès et les éventuelles responsabilités », explique cependant Maitre Julien Bensimhon, l'avocat de Sylvie Koukoui, au Parisien. Les enregistrements des conservations ont également été saisis à sa demande. 

La direction de la résidence, elle, assure que le protocole a été suivi. « Nous sommes évidemment peinés par ce décès mais tout est tracé. »

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Pays basque : la première fois qu’il est contrôlé alors qu’il conduit sans permis depuis 10 ans - La République des Pyrénées

Un cumulard. Mercredi dernier, vers 9h, les gendarmes du peloton d’autoroute de Bayonne sont tombés sur un automobiliste qui a multiplié les infractions.

C’est en voyant une Renault Clio rouler trop lentement sur l’autoroute A 63, dans le sens Espagne-France, à hauteur d’Anglet, que les militaires suspectent quelque chose de louche. Ils l’interceptent un peu plus loin, sur la commune de Saint-Pierre-d’Irube.

Un contrôle qui ne va pas les décevoir. Au volant, un jeune homme de 27 ans, habitant le Pays basque. D’emblée, celui-ci indique aux gendarmes qu’il circule sans permis, "et ce depuis 10 ans. Il a reconnu n’avoir jamais été contrôlé" témoigne le capitaine Hardouin, patron de l’EDSR, escadron départemental de sécurité routière.

Les militaires constatent également que le véhicule n’est pas assuré depuis janvier dernier, que cet automobiliste n’a pas mis le certificat d’immatriculation à son nom et qu’il n’a pas passé le contrôle technique.

Ce n’est pas fini. Le conducteur passe également au dépistage pour les produits stupéfiants et celui-ci se révèle positif au cannabis, une analyse le confirmera.

La voiture a aussitôt été placée en fourrière, sous la forme d’une immobilisation judiciaire. Le jeune homme n’a donc pas pu aller plus loin, alors qu’il se rendait (rappelons-le, sans permis)… en Ardèche, à 700 km de là…

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Pays basque : la première fois qu’il est contrôlé alors qu’il conduit sans permis depuis 10 ans - La République des Pyrénées
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Une octogénaire déclarée morte alors que son cœur battait encore : sa famille porte plainte - Le Parisien

Le décès de Claire Koukoui aurait-il pu être évité ? C’est la question obsédante que se pose sa fille, Sylvie depuis le 3 avril. Le déclenchement tardif des secours et un imbroglio sur l’heure exacte de la mort de cette femme de 87 ans posent question. « Je n’arrive pas à connaître la vérité. Je ne comprends pas ce qui s’est passé, ressasse Sylvie Koukoui. Ma peine n’en est que plus profonde. » Mi-avril, elle a porté plainte pour non-assistance en danger, entraînant l’ouverture d’une enquête préliminaire par le parquet de Créteil.

Le 2 avril, vers 22 h 30, Sylvie Koukoui tente de joindre sa mère qui vit au sein de la résidence-senior « Les Essentielles », à Vincennes (Val-de-Marne). « N’arrivant pas à la joindre dans son studio, j’ai appelé l’accueil de la résidence. On m’a promis de me tenir au courant », indique cette présidente d’une association culturelle. Il est alors 22 h 51. Les minutes s’écoulent, angoissantes. « À 23 h 20, l’agent d’accueil m’a finalement rappelé, pour me dire sans ménagement, de revenir le lendemain pour la levée du corps. J’étais sidérée. Je lui ai dit : Mais vous êtes en train de m’annoncer la mort de ma mère ! » s’étrangle-t-elle.

Sa petite-fille sent son pouls

Catastrophée, elle se précipite vers la résidence et prévient sa fille, ainsi que son amie Céline Martin, par ailleurs adjointe au maire en charge des seniors à Vincennes. « Ma fille a voulu voir sa grand-mère, relate Sylvie Koukoui. Puis, elle est redescendue affolée en expliquant qu’elle avait senti un pouls et le cœur qui battait ! » La jeune fille alerte immédiatement le Samu. Quant à Céline Martin, elle rappelle les pompiers qui, cette fois, se déplacent. Il est alors minuit passé. En dépit des efforts de réanimation, le décès de Claire Koukoui, consécutif à un arrêt cardiaque, est prononcé à 0h38.

Désemparée, sa fille est bien décidée à comprendre ce qui s’est passé lors de cette funeste soirée. Elle a immédiatement saisi la section « contentieux opérationnel » de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP). Les résultats de l’enquête interne lui ont été communiqués le 19 mai. « Les secours de la BSPP sont appelés une première fois le 2 avril à 22 h 59 par la gardienne (…) qui a constaté que votre mère était allongée au sol dans sa chambre, retrace la brigade. Au regard des premières informations dont il dispose, l’opérateur déclenche un moyen de secours (…). Poursuivant la recherche d’éléments complémentaires, il guide la gardienne dans la prise en charge (…). Ce faisant, les données alors fournies par la gardienne indiquent à l’opérateur que des signes de rigidité cadavérique sont déjà présents. Compte tenu de ces nouveaux éléments, l’appel est orienté vers le Samu afin qu’un médecin se déplace pour constater le décès de votre maman. » « Or, à ce moment-là, personne ne se déplace », s’indigne Sylvie Koukoui.

Du côté de la direction des « Essentielles », on assure que les règles ont été suivies. « Notre salariée, qui n’est pas une soignante, a respecté le protocole, indique une porte-parole. Elle a appelé les pompiers avant d’être rappelée par les services d’urgence. Nous sommes évidemment peinés par ce décès mais tout est tracé. »

« En arrêt cardiaque depuis quelques heures »

L’enquête interne de la BSPP a également permis de confirmer la suite des évènements. « Un second appel parvient à nos services le 3 avril 2021 à 0h03 et les nouvelles informations alors communiquées indiquent à cet autre opérateur qu’une intervention des secours semble nécessaire. À son arrivée sur les lieux, le responsable d’intervention constate l’arrêt cardiaque de votre maman et engage immédiatement une réanimation, détaille le courrier adressé à Sylvie Koukoui. (…) Peu après, l’équipe médicale sollicitée en renfort arrive sur place ; les manœuvres de réanimation sont immédiatement interrompues sur décision du médecin, qui constate une hypothermie et des signes de raideur cadavérique. » Selon la BSPP, une intervention plus rapide n’aurait rien changé : « Au regard de ces constatations physiques, le médecin estime que votre maman était certainement en arrêt cardiaque depuis plusieurs heures. »

À la demande de Me Julien Bensimhon, l’avocat de Sylvie Koukoui, les enregistrements des conversations ont été saisis. « Il n’y a que l’enquête pénale qui permettra de faire la lumière sur les circonstances réelles de ce décès et les éventuelles responsabilités », indique le pénaliste.

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Faits divers | Isère : il saute de son véhicule alors qu’il roule à 40 km/h à Villefontaine - Le Dauphiné Libéré

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Saturday, May 29, 2021

C’est la fête des Mères… Alors champagne ! - Forbes France

Gourmands, légers, aériens, charmeurs…. Les champagnes séduisent toujours ! Et aux beaux jours, rien de meilleur que la délicatesse d’une coupe de champagne !

L’extra brut de Castelneau : une cuvée aérienne

champagne
l’Extra-Brut Castelneau – © Champagne CASTELNAU

Après 6 années de garde, ce champagne dévoile un équilibre parfait entre l’éclat ciselé des chardonnays et la rondeur des meuniers.  Une cuvée ample, vive et délicatement aérienne, On aime ses notes notes grillées de fruits secs qui donnent du relief, la vivacité des saveurs de citron confit qui aiguisent les, et la note finale aérienne tout en douceur. Une âme de millésime dans un corps extra brut!

Prix : 32,50€ TTC

Le Brut Grande Réserve de la maison Simart Moreau : finesse et fruit

champagne
Cuvée Brut Grande Réserve – © Champagne Simart Moreau

On aime sa mousse blanche, sa robe dorée… Son goût fruité lié au Chardonnay. La cuvée Sélection Simart Moreau est un champagne Grand Cru qui séduit par sa gourmandise et son raffinement. Vieilli 36 mois en cave, son arôme révèle des fruits jaunes cuits, de vanille et de miel. Le floral devient jaune à l’aération pour une complexité plus affirmée. Il fera merveille lors d’un apéritif ou servi en vin d’honneur. La bouche légèrement saline est un must !

Prix : 24,90€ TTC

L’extra brut : la nouvelle cuvée de la Maison Gosset

champagne
Gosset – L’extra brut – © Maison Gosset

C’est le dernier-né des créations de la plus ancienne Maison de Vins de la Champagne ! Si ses arômes révèlent une grande compléxité, la cuvée Gosset Extra-Brut a été pensée pour faire pétiller tous les moments sans grand cérémonial : .on l’aime au retour du marché, en préparant le déjeuner, lors d’un pique-nique, à l’apéro, pour picorer comme pour accompagner un repas gastronomique ! Ce champagne qui a maturé 4 ans en cave dégage une grande complexité aromatique et une texture soyeuse grâce à la finesse de sa bulle, patinée par le temps. Au final, Gosset Extra-Brut conserve vivacité et fraîcheur pour équilibrer sa vinosité gourmande. En plus, son écrin est éco-responsable !

Prix : 38€ TTC

La cuvée Brut Rosé Royal signée Pommery

Cuvée Brut Rosé Royal – © Champagne Pommery

D’emblée, on aime la jolie couleur rose pâle, puis au nez, des petits fruits rouges qui apportent de la  rondeur et de la douceur. Le tout, égayé par une très belle fraîcheur que l’on doit à la sélection de pinot noir et de chardonnay. Subtilité et délicatesse : ce rosé suave séduit et laisse en bouche une fraîcheur inoubliable.

Prix : 42€ TTC.

La cuvée blanche d’Andésyne : l’expression noble du terroir

Cuvée blanche d’Andésyne – © Champagne Laurent Lequart

Poussant sur des sols argilo-calcaire et de Marne, en agriculture durable, les vignes de la maison Laurent Lequart expriment une palette aromatique, noble expression du terroir de la Vallée de la Marne. Les cuvées sont élégantes, singulières et gourmandes (vendange manuelle et long vieillissement).

La cuvée blanche d’Andésyne, avec sa robe d’un rose éclatant, dégage des notes florales et de petits fruits rouges. Soyeux en bouche, gourmand et frais, il est idéal pour l’apéro, avec un melon et jambon de Parme et avec les desserts !

Prix : 33,60€ TTC

<<< À lire également : La vie est belle avec des rosés ! >>>

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« Alors que cette situation de crise aurait pu me décourager, elle a, à l'inverse, décupler mon énergie et ma volonté d'accompagner au mieux nos clients », Julie Bachet (DG Vousfinancer) - Toute-la-Franchise.com

Il y a tout juste un an, en mai 2020 et en plein confinement, Julie Bachet prenait ses fonctions de Directrice Générale chez Vousfinancer, réseau 100 % franchisé de 200 agences de courtage en crédit immobilier. Aujourd’hui, cette dernière revient sur son année mouvementée mais très enrichissante, au cours de laquelle de nombreux projets ont été lancés.

VOUSFINANCER

Parmi les réseaux de courtiers en crédit Immobilier les plus importants en France, nous avons également des solutions adaptées pour les prêts professionnels, le rachat et le regroupement de crédits ainsi que l’assurance aux personnes.

Entrepreneur indépendant, le franchisé est un acteur incontournable du tissu local sur sa zone d'activité. Il a à coeur de travailler en partenariat avec des professionnels pour trouver la solution la plus adaptée pour chaque client.

Témoignage de Julie Bachet, Directrice Générale chez Vousfinancer

Si être chef d’entreprise à l’heure de la crise sanitaire n’est pas chose aisée, reprendre les rênes d’un réseau de franchisés, dans un contexte d’incertitude économique et à un moment où les possibilités de rassembler les équipes sont limitées, l’est encore moins. Pour autant Julie Bachet, 40 ans, n’a pas hésité à quitter le monde bancaire pour relever ce challenge il y a tout juste un an. Cette prise de poste dans contexte si particulier a été l’occasion pour elle de mettre rapidement le pied à l’étrier, sans aucun regret : « En acceptant de reprendre la direction de Vousfinancer, je savais que le challenge allait être de taille, mais en arrivant en plein confinement, j’ai compris qu’il allait être immense et que les attentes étaient bien plus fortes encore… Mais alors que cette situation de crise aurait pu me décourager, elle a, à l’inverse, décupler mon énergie et ma volonté d’accompagner au mieux, nos clients bien sûr, mais surtout les entrepreneurs à la tête de nos 200 agences, qui nous ont fait confiance en rejoignant notre réseau. Ils comptent sur nous pour les soutenir en cette période difficile et poursuivre le développement d’outils, de solutions et de notre réseau » explique la directrice générale de Vousfinancer.

« Nous avons mis à profit les périodes de confinement, avec relativement moins d’activité, pour travailler sur nos process, lancer de nouveaux projets, développer des outils »

Ainsi durant cette année particulière et marquée par la crise du coronavirus, Julie Bachet, avec le soutien des équipes du siège, mais aussi des franchisés, a impulsé de nouveaux chantiers stratégiques et développer des outils permettant une digitalisation accrue de l’activité, rendue indispensable dans le contexte actuel et permettant à l’ensemble des 650 conseillers de travailler plus efficacement avec leurs clients et leurs partenaires bancaires. « Nous avons mis à profit les périodes de confinement, avec relativement moins d’activité, pour travailler sur nos process, lancer de nouveaux projets, développer des outils et mettre en place des partenariats pour nous permettre de diversifier et digitaliser notre activité. Cette première année a été très riche mais il y a encore beaucoup à faire… J’espère pouvoir rapidement rassembler l’ensemble de notre réseau. Ne pas pouvoir rencontrer en visu chaque personne du réseau Vousfinancer a été un manque cette année car même la meilleure des Visio ne remplace pas l’échange et le contact humain » conclut Julie Bachet.

Comment rejoindre Vousfinancer ?

Vous souhaitez en savoir plus sur les réalisations de Vousfinancer et les conditions requises pour se lancer à ses côtés ? Rendez-vous sur la fiche personnalisée du réseau pour savoir comment devenir un franchisé Vousfinancer.

                              

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Le dossier de L'Express : Tous surveillés, et alors ? - L'Express

Tous surveillés, mais heureux de l'être... Cette semaine L'Express aborde le sujet des technologies de surveillance en ouvrant le débat. A commencer par Robin Rivaton. L'auteur de Souriez, vous êtes filmés?! (Editions de l'Observatoire) et chroniqueur régulier dans nos colonnes, bouscule nos certitudes et donne la réplique à l'ancienne ministre Axelle Lemaire dans un échange vivifiant. Pendant ce temps, le gouvernement met le paquet sur la surveillance des smartphones, tandis qu'au Royaume-Uni, les citoyens se retrouvent à défendre leurs libertés civiques devant les tribunaux. Les lunettes connectées, elles, connaissent une seconde jeunesse.  

  • Technologies de surveillance, le débat interdit

Face à la pandémie, nous avons collectivement accepté la mise en sommeil de nos vies sociales et de l'économie. Un autre type d'arbitrage aurait pu nous être proposé : pour lutter contre le virus, endiguer sa propagation, quelles informations personnelles sommes-nous disposés à partager, jusqu'où est-on prêt à aller pour favoriser le recours aux technologies de traçage, de surveillance et de traitement de données ? Voilà un beau sujet de campagne électorale... Notre analyse

  • Caméras, reconnaissance faciale, smartphones... Le débat Axelle Lemaire-Robin Rivaton

Il y avait comme une forme d'évidence à réunir autour d'une même table Robin Rivaton et l'ex-secrétaire d'Etat au Numérique, Axelle Lemaire, pour débattre des nouvelles technologies, de l'action publique et de nos libertés individuelles. Celle qui a porté en 2016 la loi pour une République numérique nous a semblé la mieux placée pour réagir au dernier livre de notre chroniqueur, et à son message paradoxal : pour préserver nos libertés, acceptons d'être surveillés ! Un échange musclé, à lire en intégralité ici

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  • "Souriez, vous êtes filmés", les bonnes feuilles

Dans son dernier essai, Robin Rivaton bouscule les certitudes en posant ce diagnostic implacable : les caméras sont partout ; elles sont de plus en plus nombreuses et "intelligentes". Les combattre au nom de nos libertés individuelles est un combat perdu d'avance, alors autant s'en accommoder, et les encadrer du mieux possible. En l'occurrence, la thèse paradoxale défendue dans ce livre est que, face aux dangers d'une surveillance généralisée, encouragée par les grandes entreprises du numérique et les citoyens eux-mêmes, la seule façon de préserver notre liberté est d'organiser en toute connaissance de cause une surveillance d'Etat. Extraits exclusifs à découvrir ici. 

  • Les espions vont pouvoir surveiller davantage les smartphones

En janvier, en toute discrétion, le gouvernement a donné son aval pour augmenter de 66 % le nombre de dispositifs d'interceptions des communications téléphoniques, les Imsi-catchers. Ces appareils, embarqués dans une valise ou transportés dans un véhicule, permettent de capter des informations pour localiser un individu sans connaître le numéro de sa ligne, et savoir ainsi avec qui il communique et accéder à ses échanges vocaux et écrits. Un outil déployé dans la lutte contre le terrorisme et le grand banditisme. Notre article à lire ici.  

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Rares étaient ceux qui croyaient au potentiel des montures connectées après le flop magistral des Google Glass. Dévoilées en 2012, ces dernières n'avaient pas séduit le grand public en raison de leur prix élevé et d'une ergonomie laissant à désirer. Mais plutôt que d'abandonner la partie, le géant du numérique s'est tourné, dès 2017, vers le monde professionnel, avec des usages très ciblés. Les progrès technologiques réalisés depuis et l'émergence de la réalité augmentée, ouvrent de nouveaux horizons aux géants du numériques. Tous ou presque préparent de nouvelles générations de lunettes, qui pourraient bien s'inviter dans nos vies quotidiennes... 

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Christophe DonnerPar Christophe Donner

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Le gros risque à court terme est celui d'une pénurie de produits intermédiaires qui interromprait la production industrielle, tout simplement.Nicolas Bouzou

Le meilleur des mondes

Par Sylvain Fort

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Le dossier de L'Express : Tous surveillés, et alors ? - L'Express
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Friday, May 28, 2021

Italie : en cavale depuis 15 ans, le trafiquant de drogue arrêté alors qu'il se rendait à l'anniversaire de sa - France 3 Régions

Il était en cavale depuis plus de quinze ans. Un trafiquant de drogue italien a été arrêté  alors qu'il se rendait chez sa fille à Rome, pour fêter l'anniversaire de ses 23 ans, ce vendredi 28 mai, annonce la police italienne. La maison avait été placée sous surveillance.

David Cittadini avait pris le maquis en mars 2006 après sa condamnation à treize ans et quatre mois de réclusion pour trafic international de drogue.

Les gendarmes italiens étaient sur ses traces et savaient qu’il se cachait en Espagne, mais qu’il maintenait des rapports étroits avec sa mère et sa fille, toutes deux résidant dans un quartier de Rome.

Dans les jours précédant le 23e anniversaire de la fille, des gendarmes en civil ont commencé à surveiller la maison où vivaient les deux femmes, jusqu’à ce qu’un homme ressemblant au fugitif apparaisse dans l’immeuble.

L’un des chefs d’un réseau de trafiquants de drogue

Les forces de l’ordre sont alors intervenues et ont arrêté l’homme, qui tentait de se cacher dans une chambre à coucher.

Le fugitif disposait d’une fausse carte d’identité italienne qu’il avait utilisée le matin même pour embarquer sur un vol Barcelone-Rome.

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«Napoléon contre les Anglais: les Canadiens français d'alors, entre espoirs et craintes» - Le Figaro

TRIBUNE - En ce bicentenaire de la mort de l’Empereur, le jeune historien raconte comment Napoléon et son long combat contre les Anglais ont fait naître, chez les Canadiens français de l’époque, des sentiments puissants et opposés.

Docteur en histoire de l’université de Rouen, auteur d’une thèse sur les relations entre Constantinople et Antioche à l’époque des Croisades, Édouard Baraton prépare, à l’Université du Québec à Montréal, une seconde thèse consacrée aux relations entre la France et les Canadiens français après la perte du Canada par la France en 1763. Il a publié «De Gaulle ou l’hypothèque française sur le Canada» (Harmattan, 2013) et «Les Français perdus, essai historique sur la nationalité française en Amérique du Nord du XVIIIe siècle à nos jours» (Éditions Baudelaire, 2019).

Le Canada, cédé en 1763 par la France vaincue à l’Angleterre au terme de la guerre de Sept ans, était devenu à l’époque de Napoléon la patrie d’une population d’origine française - les Canadiens comme on disait alors - qui devait s’accommoder du pouvoir britannique. La colonie resta loin des guerres de la Révolution française et de l’Empire. Cependant, la déflagration des affrontements franco-anglais, de 1793 à 1815, ne resta pas

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«Napoléon contre les Anglais: les Canadiens français d'alors, entre espoirs et craintes» - Le Figaro
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Montpellier : le motard interpelle les policiers alors qu'il circule en zone piétonne, sans casque et sans per - LaDepeche.fr

l'essentiel Mercredi 26 mai, un motard pas en règle du tout n'a rien trouvé de mieux que d'interpeller les policiers... 

Alors que les policiers étaient en train de verbaliser un scoot roulant sur une allée piétonne à Montpellier, un motard est venu prendre la défense du contrevenant, explique Midi Libre

Cet acte de solidarité aurait pu passer inaperçu si ce dernier avait été en règle. En effet, il roulait avec son 125 cc, déjà, également, lui aussi sur cette fameuse zone piétonne qui plus est... sans casque. Et surtout, sans permis ! 

Connu de la police pour des faits similaires, il a été placé en garde à vue puis déféré, ce jeudi, au parquet, en vue d’une comparution immédiate relatent nos confrères.

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Montpellier : le motard interpelle les policiers alors qu'il circule en zone piétonne, sans casque et sans per - LaDepeche.fr
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Mercato: Inzaghi a planté la Lazio alors que le contrat était prêt - RMC Sport

Claudio Lotito, président de la Lazio Rome, a confié ce jeudi à Calciomercato qu'un accord avait été trouvé ce mercredi avec son entraîneur Simone Inzaghi pour une prolongation de contrat. Mais Antonio Conte a démissionné de l'Inter Milan dans la foulée, ce qui a changé la donne et précipité le départ d'Inzaghi, qui devrait rejoindre le club nerazzurri.

A la tête de la Lazio Rome depuis l'été 2016, Simone Inzaghi a quitté ses fonctions d'entraîneur ce jeudi soir. La nouvelle a été officialisée par un bref communiqué du club biancocelesti, alors que le technicien italien est très fortement pressenti pour reprendre l'Inter Milan.

L'Inter se cherche un nouvel entraîneur pour succéder à Antonio Conte, qui a claqué la porte mercredi malgré un titre de champion d'Italie obtenu cette saison. Mais la séparation entre Simone Inzaghi et la Lazio Rome a été difficile. Et très rapide. "Je suis déçu sur le plan personnel, a confié le président Claudio Lotito, au site Calciomercato. Il a changé d'avis du jour au lendemain. Le contrat était prêt, je l'avais signé. Mais il ne s'est jamais présenté."

"Nous avons passé sept heures ensemble et trouvé un accord pour une prolongation"

Pour Claudio Lotito, difficile de digérer le départ de son entraîneur, qui a évolué aussi en tant que joueur au club entre 1999 et 2010. Sur le banc de touche, Inzaghi a remporté la Coupe d'Italie en 2019, mais aussi la SuperCoupe en 2017 et 2019. Tout semblait donc prêt pour une prolongation, alors que la Lazio a terminé 6e cette saison du championnat italien.

"Nous avons passé sept heures ensemble ce mercredi et nous avons trouvé un accord, confie encore Lotito. Nous nous sommes même serré la main. Puis il m'a dit qu'il n'avait plus la motivation, qu'il ne serait pas en mesure de la donner aux joueurs. Quand une personne vous dit ça, comment penser à la garder? Bien sûr, s'il me l'avait dit la veille, je n'aurais pas préparé l'accord pour le signer."

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Mais la démission annoncée d'Antonio Conte, en désaccord avec la direction de l'Inter qui a besoin de vendre massivement cet été, a changé la donné dans le championnat italien. La presse italienne parle désormais d'un accord entre Inzaghi et l'Inter, qui sera bientôt officiel, pour un contrat de deux ans avec 4 millions d'euros de salaire annuel, soit le double de ses émoluments à la Lazio en cas de prolongation.

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Toulouse | Le logement d'un étudiant squatté alors qu'il était parti se confiner ailleurs - Bien Public

La mésaventure de Tristan a commencé le 15 mai dernier, quand il est revenu dans son appartement à Toulouse (Haute-Garonne) après s'être confiné chez ses parents et sa petite-amie. L'étudiant de 22 ans s'est aperçu que la serrure de son logement avait été changée, rapporte La Dépêche du Midi. Il est donc resté bloqué devant la porte.

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Le jeune homme contacte alors ses voisins, qui lui affirment que des personnes ont squatté son appartement en son absence. Ils auraient même volé ses meubles. Tristan décide donc de porter plainte et coupe l'eau et l’électricité chez lui.

Les squatteurs occupaient déjà l'appartement d'en face

Après de longs jours d'attente, la porte de son appartement est ouverte jeudi en présence d'un huissier et de trois policiers. Le père de l'étudiant informatique découvre "un vrai dépotoir" à l'intérieur. Et les meubles de son fils ne sont effectivement plus là.

Plus tôt dans la journée, Tristan a appris que les squatteurs qui auraient changé les serrures étaient...ses voisins de paliers. Avant d'occuper le logement du jeune homme, ils auraient occupé illégalement l'appartement d'en face. Ils auraient alors remarqué l'absence de l'étudiant et se seraient emparé de ses meubles, racontent nos confrères.

L'étudiant désabusé

La propriétaire de l'appartement en  face dans le couloir aurait ensuite découvert l'occupation illégale et aurait délogé les intrus. Elle aurait ensuite déposé les meubles de Tristan dans le couloir, avant que ceux-ci ne disparaissent. 

Le jeune Toulousain a repris possession de son appartement et doit désormais faire marcher son assurance. Pas sûr qu'il reste dans le 42m² encore bien longtemps : "Je veux juste rentrer dans l’appartement, voir ce qu’il reste, prendre mes affaires et ne plus jamais revenir ici", confiait-il récemment à France 3.

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Alors qu’il va être assoupli, comment vivez-vous le télétravail ? Des salariés normands témoignent - Paris-Normandie

Mercredi 27 mai 2021, la ministre du Travail, Élisabeth Borne, a confirmé la fin du télétravail systématique à partir du 9 juin. Les employeurs devront fixer, « dans le cadre du dialogue social de proximité, un nombre minimal de jours de télétravail par semaine » , selon le projet de nouveau protocole sanitaire qui entrera en vigueur le 9 juin. Au ministère, on souligne qu’ « un employeur qui demanderait à tous ses salariés de revenir à 100% à compter du 9 juin n’appliquerait pas le protocole ».

Le retour des salariés qui étaient en télétravail « doit se faire de manière progressive », insiste le ministère. L’État employeur a, de son côté, déjà fixé trois jours de télétravail à partir du 9 juin pour la fonction publique. Depuis fin octobre 2020, pour les salariés qui peuvent réaliser l’ensemble de leurs tâches à distance, « le temps de travail effectué en télétravail est porté à 100». Depuis janvier s’est ajoutée une « soupape » avec la possibilité de revenir un jour par semaine.

Pour le télétravail  : « J’apprécie cette liberté »

Commercial, Jérôme (prénom d’emprunt), 40 ans, est en télétravail à 100 % depuis mars 2020. il devrait y rester jusqu’à l’automne prochain.

« Ma première satisfaction vis-à-vis du télétravail est personnelle: cela peut paraître basique, mais je peux déposer et aller chercher mes enfants à l’école tous les jours, passer plus de temps avec eux. J’aime aussi beaucoup cuisiner, et le soir je le fais avec eux.

Ensuite, d’un point de vue purement professionnel, le télétravail nous a amenés à être plus productifs.

Avec la visio, j’ai enchaîné beaucoup plus de rendez-vous qu’en temps normal. Certes, cette accumulation rend les journées épuisantes, mais j’y gagne, puisqu’une partie de mon salaire dépend de cette productivité. À la fin de l’année, au moins, je sais que je serai bien payé.

Car à l’inverse, mon épouse, qui travaille aux ressources humaines d’une grande entreprise de tertiaire, a vu la charge de travail augmenter sans contrepartie, ce qui n’est pas normal. Par ailleurs, je peux aussi en retour me permettre de lever le pied certains jours: j’apprécie vraiment cette liberté. Bien sûr, il faut aussi que ça suive côté matériel. Et de ce point de vue là, mon entreprise était prête. Pour ma part, je suis déjà équipé en ordinateur portable en raison de ma profession, mais j’ai eu la possibilité de disposer d’un grand écran pour davantage de confort.

Certains collègues se sont vus aménager des postes de travail complets à domicile par l’entreprise. Là encore, ma femme n’a pas eu cette chance au départ, puisqu’elle a été contrainte, durant le premier confinement, d’utiliser son ordinateur et son téléphone personnels.

J’en profite pour signaler qu’il manque toujours à Rouen une bonne qualité de réseau internet. J’habite en centre-ville, et pourtant nous avons rencontré des difficultés pour télétravailler en raison du débit trop faible. »

Contre le télétravail  : « Pas une solution pérenne »

Pierre, la trentaine, travaille comme cadre marketing. Comme son collègue, il est en télétravail depuis le premier confinement de mars 2020.

« D’une manière globale, je n’ai pas aimé le télétravail à 100 %, même si j’y ai trouvé quelques avantages. Pourtant, avant la crise sanitaire je télétravaillais, mais quand je le souhaitais, une à deux journées par semaine. C’était une liberté, ce n’était pas imposé par l’entreprise. Papa séparé, j’ai dû m’occuper de ma fille unique que j’ai une fois tous les quinze jours, tout en réalisant mon boulot.

C’était compliqué avec les devoirs à gérer. Je l’ai assez mal vécu. Maintenant, ça va mieux, après plus d’un an de télétravail, j’ai fini par m’adapter et je me suis aménagé un espace de travail chez moi. Ce qui me pose problème dans le travail à distance, c’est qu’il n’y a pas de délimitation entre la sphère privée et professionnelle. Les deux se superposent d’autant si votre logement est petit ou que vous n’avez pas une pièce dédiée à cela. Cette absence de frontière n’a pas été sans conséquence pour mes relations avec ma fille.

Et il y a aussi les trajets boulot/maison qui me permettaient de décompresser et de couper. Je pense également que le télétravail réduit l’émulation et la créativité. Car celles-ci émergent souvent de façon informelle autour de la machine à café avec les collègues et non à travers des visioconférences par Zoom. Les visio permettent de travailler, mais c’est en mode dégradé. À mes yeux, le télétravail n’est pas une solution pérenne. Le présentiel renforce l’esprit d’appartenance à une entreprise et de cohésion.

Dans mon entreprise, il y a eu une volonté de télétravail permanent, comme l’exigeait Élisabeth Borne, pour freiner la circulation du virus, mais aussi je pense pour des raisons financières ; avec le travail à distance, il y a une baisse des charges de déplacement entre autres pour le groupe. J’espère que le télétravail ne deviendra pas la règle, car cela voudra dire que les entreprises accordent peu d’importance aux relations humaines, et vous vous rapprochez un peu plus dangereusement de l’intelligence artificielle. »

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Thursday, May 27, 2021

Alors, cette quatrième vague ?... - Le Quotidien du Médecin

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Alors, cette quatrième vague ?...  Le Quotidien du Médecin
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Justice | Il ne trouve pas de travail, alors il vend du cannabis au Drouot à Mulhouse - L'Alsace.fr

Un jeune homme de 22 ans, sous tutelle, devait répondre d’offre et de cession de stupéfiants devant le tribunal judiciaire de Mulhouse, ce mercredi 26 mai. Durant plusieurs jours, il a tenu un point de deal au quartier Drouot à Mulhouse.

Par Alain CHEVAL - Hier à 19:00 - Temps de lecture :

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Lens : contrôlé alors qu'il fume un joint, il prend la fuite et frappe un policier - La Voix du Nord

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Wednesday, May 26, 2021

Coronavirus : le nombre de burn-out explose, alors que de nombreux salariés vont revenir au bureau - France Bleu

Les burn-out, ou épuisements professionnels, "explosent" à la veille du  retour progressif au bureau de nombreux salariés, à la faveur de l'assouplissement du télétravail et du déconfinement. Mais ce n'est pas tout : la détresse psychologique des salariés reste très élevée, enseigne également le baromètre de la santé psychologique des salariés français, réalisé par OpinionWay et présenté ce mercredi.

Le taux de brun out a doublé en un an 

"Le taux de burn-out a doublé en un an, culminant à 2 millions de personnes en burn-out sévère", constate Christophe Nguyen, à la tête du cabinet franco-québécois Empreinte Humaine, spécialisé dans la prévention des risques psychosociaux (burn-out, dépressions, suicides...), en présentant la septième vague de ce baromètre depuis le début de la crise du Covid-19.

Dans un contexte de retour dans les bureaux, on peut s'attendre malheureusement à une nouvelle explosion des arrêts maladie - Christophe Nguyen, du cabinet Empreinte Humaine

Le burn-out "concerne 1,5 fois plus les managers", précise-t-il, estimant qu'"avec de tels chiffres, dans un contexte de retour dans les bureaux, on peut s'attendre malheureusement à une nouvelle explosion des arrêts maladie dans les prochains mois". Cet "épuisement professionnel sévère" se traduit, précise Christophe Nguyen, par une forme de "déshumanisation" avec "des gens qui fonctionnent comme des robots pour se protéger de leurs émotions", et qui "s'autocensurent" par crainte d'en parler. 

44% des salariés en détresse psychologique

Les indicateurs de l'état psychologique des salariés restent par ailleurs "très inquiétants", avec 44% des salariés en détresse psychologique (-1 point par rapport à mars 2021), dont 17% en détresse élevée (identique), selon l'enquête. Elle révèle aussi que six salariés sur dix estiment que leur direction "ne se rend pas compte de l'état psychologique des salariés et n'agit pas en fonction". La détresse psychologique est un indicateur de santé mentale, validé internationalement et utilisé pour diagnostiquer les troubles mentaux. 

Le taux de dépression nécessitant un accompagnement chez les salariés reste à 36% (dont 21% risquant une dépression sévère) et 56% des salariés au chômage partiel présentent un "risque dépressif"

Parallèlement, 15% des salariés disent avoir été absents pour raison de santé psychologique depuis un an. Le nombre moyen de jours d'absence par salarié est de 2,83. Un quart des salariés disent avoir "peur de perdre leur emploi". C'est le cas de 39% de ceux en chômage partiel. 

Plus de la moitié des managers en détresse psychologique

La fonction la plus exposée reste celle de manager, avec 52% d'entre eux en détresse psychologique. Six managers sur dix disent ne pas pouvoir faire leur travail comme ils le souhaiteraient, eu égard à "la taille des équipes" pour la moitié d'entre eux.

Les télétravailleurs sont aussi plus exposés, avec 46% d'entre eux en détresse psychologique. C'est plus que leurs collègues en présentiel (40%), mais huit sur dix veulent continuer à télétravailler à raison de un à trois jours par semaine. Car si sept salariés sur 10 pensent qu'un retour en présentiel est "nécessaire pour la cohésion d'équipes", la moitié des télétravailleurs ne veulent "pas revenir au bureau comme avant". Ils disent notamment craindre "de ne pas pouvoir faire les mêmes amplitudes horaires" que pendant les confinements et qu'ils "ne tiennent pas" la charge de travail.  

La santé physique des travailleurs se dégrade aussi

Après plus d'un an de crise sanitaire, confinements et bouleversements des modes de vie, la santé physique des salariés se dégrade elle aussi, avec 40% qui disent avoir des problèmes de sommeil, 37% des douleurs et tensions musculosquelettiques, 19% des problèmes digestifs, 26% des maux de tête et 10% des nausées.

La septième vague du baromètre "Impact de la crise sanitaire sur la santé psychologique des salariés" a été réalisée en ligne du 30 avril au 10 mai 2021, auprès d'un panel représentatif de 2.007 salariés,  selon la méthode des quotas.

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Alors, quelle révolution voulons nous ? - Libération

«Nous, travailleurs de Grandpuits, nous avons les mêmes intérêts que les Ougandais dont Total détruit les parcs naturels et bâtit un pipeline de 1 500 km», déclare un travailleur de Grandpuits, une raffinerie dans laquelle Total a démarré un plan social menaçant 700 emplois sous un prétexte écologique fallacieux. Cette expression de solidarité internationale illustre bien le lien entre les combats pour l’emploi, la justice sociale et la préservation du vivant. Debout sur une estrade, à l’arrivée de la marche pour «une vraie loi climat» à Paris le 28 mars dernier, le même travailleur ajoute : «L’écologie ce n’est pas une affaire de bobos, c’est l’affaire de tous. C’est pourquoi il faut construire des ponts et faire le lien entre nous, tout le temps.» En trois phrases, vêtu de sa chasuble orange fluo à bandes réfléchissantes, il a dégommé quelques clichés à la peau dure.

«Pas d’emplois sur une planète morte.» Un message simple, dont le rapport éponyme de la coalition «Plus jamais ça» expose des propositions consensuelles, comme des idées encore en débat. Après un an d’existence, cette coalition, regroupant des dizaines d’ONG, de mouvements citoyens et des syndicats, marque une alliance inédite. Loin de se contenter de brandir l’étendard d’une convergence proclamée, elle se construit dans l’action concrète. De la mobilisation devant le siège social de Total pour dénoncer la casse sociale que le groupe orchestre tout en faisant du greenwashing, à l’occupation du quai de Bercy devant le ministère des finances pour exiger le sauvetage par le gouvernement de l’usine de recyclage de papier de la chapelle d’Arblay, aux marches climat, le slogan «Fin du monde, fin du mois : même combat» se matérialise sur le terrain.

Adversaire et message communs

Le gouvernement s’emploie pourtant à les opposer en deux camps, notamment en décrédibilisant les écologistes ( «amish», «briseurs de rêves»…) pour cantonner la population dans l’ignorance de ce que la transition écologique lui apporterait si elle était mise en œuvre à la bonne échelle. Ainsi, la participation d’employés ou de syndicats du secteur des énergies fossiles à une marche climat, ou le soutien d’écologistes à des travailleurs d’une raffinerie aurait été impensable il y a encore peu de temps. Cette convergence est devenue une évidence grâce à un minutieux travail de rapprochement, réalisé par des personnes visionnaires, créant peu à peu des liens, là où il n’y avait que fractures ou impensés.

«Une révolution ne prend de l’ampleur qu’à partir du moment où deux groupes au moins qui n’ont rien en commun décident de se rassembler pour leur profit mutuel», dit Serj Popovic, leader serbe du mouvement Otpor ! qui a conduit à la chute du dictateur Slobodan Milosevic. En désignant un adversaire commun – le gouvernement Macron pour sa politique climatique et sociale désastreuse – et en se focalisant sur un message commun plutôt que de se perdre dans des désaccords, la coalition «Plus jamais ça» constitue une nouvelle entité représentant bien plus que la somme de ses parties. Elle déjoue le piège de la division, tendu par les défenseurs du statu quo, et envoie un signal fort et pédagogique dans le débat public.

Nécessaire requalification

Le dérèglement climatique s’accélère, et les déclics de conscience de la compréhension de ses impacts se multiplient. Les années d’inaction des gouvernements nous ont poussés au pied du mur. Pourtant, c’est maintenant que notre avenir se joue. Pas demain. Et si on perd, on ne pourra pas refaire une partie comme au bingo. L’atteinte de certains seuils de concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère rendra le dérèglement du climat irréversible. Or, selon l’Organisation internationale du travail, 60 millions d’emplois pourraient être créés dans le monde par la transition écologique dont 18 par la seule mise en œuvre de la transition énergétique.

De plus en plus de salariés des secteurs qui doivent se transformer, comme les membres du collectif Icare dans l’aéronautique, vivent mal le fait d’être coincés dans un emploi qui contribue au réchauffement climatique. Pour d’autres, après quelques années, voire parfois des dizaines dans une même entreprise, la perspective de devoir changer de travail, de qualification ou de le perdre n’est pas facilement envisageable. Mais les indemnités kilométriques vélo pour engager les salariés de Total à se rendre à vélo à l’usine ne suffisent plus à détourner notre attention de l’inévitable : la nécessaire requalification et la reconversion de milliers d’emplois dont des familles entières dépendent, tout en garantissant une transition juste et des conditions de travail dignes.

S’attaquer à la racine du système

«On pense aujourd’hui à la révolution, non comme à une solution aux problèmes posés par l’actualité, mais comme à un miracle dispensant de résoudre les problèmes», écrivait la philosophe Simone Weil. Alors quelle révolution voulons-nous ? Attendons-nous un miracle ou plongeons-nous dans le vif du sujet ? En se posant ensemble devant l’équation à multiples variables de la reconversion des emplois pour les rendre compatibles avec une société soutenable, syndicats et mouvements écologistes mettent les mains dans le cambouis pour dessiner ensemble le monde dans lequel ils et elles veulent vivre.

S’unir pour désigner les responsables de cette situation, construire des rapports de force pour les contraindre à agir, est une voie salvatrice pour ne pas se sentir isolé, ne pas déprimer dans un travail qui n’a plus de sens, ou s’enfermer dans le déni. Nouer des alliances est à la fois un outil de lutte et une manière de la construire. Le résultat n’est pas le même si aux tables des négociations se trouvent les premiers concernés, ou une majorité de politiques défenseurs des intérêts des lobbies, enfermés dans leur bulle, loin de la réalité du terrain. Là, on s’attaque à la racine du système, à la transformation des conditions de vie matérielle des gens et à la gouvernance de la machine productiviste. Accepter nos différences, accepter que l’issue du chemin que l’on emprunte ensemble soit pavée d’incertitudes, mais décider de marcher dans la même direction, avec des objectifs de victoires d’étapes, se faire confiance, constitue sans doute une des armes les plus précieuses des stratégies de luttes non-violentes.

Et aussi

En attendant le prochain festival d’Agir pour le vivant, qui se tiendra à Paris du 3 au 6 juin autour du thème de la ville, et le rendez-vous à Arles fin août sur le thème des territoires, la rédaction de Libération, en partenariat avec les éditions Actes sud et Comuna, propose à ses lecteurs tribunes, interviews et éclairages, ainsi qu’une sélection d’articles sur le thème de la biodiversité. A retrouver ici.

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Alors, quelle révolution voulons nous ? - Libération
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« La France saborde son industrie plastique, alors que l'Europe ne nous demande rien ! » - Le Journal du dimanche

Le JDD. Sommes-nous en train de détruire l’industrie française du plastique ? Joseph Tayefeh. Nous mettons en place des mesures qu’aucun ...