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Tuesday, May 31, 2022

Solaire : alors que l'Europe accélère avec REPowerEU, EDF songerait à nouveau à céder sa filiale Photowatt - La Tribune Auvergne-Rhône-Alpes

A l'aube des législatives, le sujet Photowatt pourrait-il se propulser à nouveau, tel un phoenix, sur le devant de la scène. Les représentants du personnel de ce fabricant de modules photovoltaïques viennent d'apprendre qu'un nouveau projet de cession par EDF Renouvelables serait à l'agenda.

Menacé déjà par deux fois, lors de sa reprise "in extremis" par l'énergéticien à la barre du tribunal de commerce en 2012, puis l'an dernier, lors de la fuite d'un premier projet de cession discuté avec l'isérois ECM Technologies, et qui n'avait finalement pas abouti, c'est bien un nouvel épisode qui semble se dessiner pour les salariés du groupe.

La filiale d'EDF, qui emploie 215 salariés sur son site de Bourgoin Jallieu (Nord-Isère) perdait en moyenne 20 millions d'euros par an (22 millions en 2020, 36 millions en 2019), le contexte du marché du solaire, sur lequel il se positionne comme l'un des derniers fabricants de modules photovoltaïques en Europe, a viré du tout au tout.

Et après avoir investi, depuis sa reprise en 2012, près de 360 millions d'euros dans une filiale toujours jugée comme « structurellement déficitaire », la branche EDF Renouvelables (dont dépend Photowatt) aurait ainsi annoncé à ses salariés la semaine dernière qu'un nouveau projet de rachat est en cours de discussions, auprès d'un consortium d'acteurs européens. Sans pour l'heure en préciser toutefois la nature, ni les noms. Des représentants des salariés confirment à La Tribune que la question a également été posée ce mardi après-midi en CSE, sans obtenir de réponse claire.

Selon de premiers éléments, l'isérois ECM Technologies, un temps pressenti pour racheter Photowatt l'an dernier, pourrait également faire partie de ce nouveau projet, aux côtés de fonds de pension.

Une information non confirmée à ce stade par l'intéressé, ni par le groupe EDF Renouvelables, qui précise uniquement à La Tribune que l'énergéticien "recherche toujours l'ensemble des partenariats et solutions possibles pour pérenniser le projet de développement industriel de Photowatt".

Un désengagement dénoncé par les salariés

Si sur le terrain, la perspective d'une solidification de l'entreprise en faisant rentrer de nouveaux actionnaires semblerait, en elle-même, plutôt bien accueillie par une portion des salariés, la perspective d'un possible désengagement total d'EDF au sein du capital de la filiale fait cependant bondir.

Un tel retrait constituerait en effet une « grave erreur stratégique pour EDF, comme pour l'Etat », selon la CFE-CGC, qui rappelle que dans un contexte « ultra favorable » au développement de l'industrie solaire, « il est incompréhensible qu'EDF décide de se retirer totalement de l'actionnariat de Photowatt ».

Là encore, EDF Renouvelable ne souhaite pas confirmer l'information à ce stade.

Une absence de synergies avec le groupe EDF pointée

Mais à l'heure où la transition énergétique et les différents scénarios tablent désormais sur une montée en puissance de l'énergie photovoltaïque, associée à des plans de réindustrialisation en France et en Europe (dont le plus récent, REPowerEU, annoncé par Bruxelles, qui vise à réduire rapidement la dépendance à l'égard des combustibles fossiles russes et à accélérer la transition écologique), les salariés de Photowatt avancent, plus que jamais, l'intérêt stratégique à conserver une entreprise comme la leur en France, et notamment au sein du groupe EDF.

La CFE-CGC, l'un des trois syndicats présents chez Photowatt, estime que « malgré des investissements de la part d'EDF pour maintenir l'outil de production à l'état de l'art, EDF ne montre aucune volonté pour ramener l'entreprise sur le chemin de la rentabilité ».

Le syndicat brandit notamment en exemple le projet de la ferme solaire annoncée au sein de la centrale nucléaire de Creys-Malville, en Isère. Un exemple jugé emblématique, pour lequel « EDF a préféré utiliser des panneaux asiatiques, plutôt que ceux de sa filiale, Photowatt, située à 26 km de là, alors que nous avions remporté un appel d'offres pour un projet voisin, situé à saint-Savin par un autre développeur », explique à La Tribune Emilie Brechbuhl, ingénieure et déléguée syndicale CFE-CGC.

Depuis 2019, le nombre de projets remportés par Photowatt auprès de sa maison-mère se serait ainsi tari drastiquement, affirment les représentants du personnel. Questionné à ce sujet, le groupe EDF Renouvelables justifie quant à lui ses choix par les critères présents au sein des appels d'offres de la CRE, ainsi que son engagement de consulter, à chaque reprise, sa filiale Photowatt, tout comme l'ensemble des acteurs du marché.

Et Barbara Bazer-Bachi, élue CGE-CGC du CSE, d'abonder : « Nous répondons aux appels d'offres, mais le critère principal est toujours en premier lieu celui du prix », rappelle-t-elle. « Le critère carbone ne pèse pas encore assez », abonde également à la commission Mines et Energie de la CGT, Cédric Thuderoz.

« EDF justifie sa position en disant qu'il n'est pas un industriel chargé de développer la filière photovoltaïque, mais il est important selon nous que l'Etat, à travers EDF, reste présent au capital d'un acteur comme Photowatt, afin de conserver une souveraineté sur des approvisionnements amenés à être critiques », reprend Barbara Bazer-Bachi.

La baisse des coûts de production en ligne de mire

D'autant plus que les signaux positifs envoyés par l'Europe pourraient désormais participer au rapatriement en France de la chaîne de production du solaire, et offrir les débouchés tant attendus, permettant en retour d'engager une baisse des coûts de production.

« Depuis le plan de transformation amorcé par EDF en 2018, nous avions déjà fait grimper la production de 50 à 100 mégawatts par an, alors que notre objectif affiché était d'aller jusqu'à 500 mégawatts. Le principal problème pour assurer la baisse des coûts demeure en effet toujours, pour la filière, de trouver des débouchés », ajoute Emilie Brechbuhl.

« Il existe pourtant une opportunité à saisir avec le plan REPowerEU présenté par la Commission européenne qui vise à installer des panneaux sur tous les toits en Europe (avec une obligation envisagée à compter de 2025 pour les bâtiments commerciaux et publics neuf puis de 2029 pour les nouveaux bâtiments résidentiels, ndlr). Cela va redonner une assurance, aux industriels, que la filière peut être rentable et donner accès à des aides, même si l'on attend encore les détails de sa mise en œuvre », abonde Barbara Bazer-Bachi.

Face à l'émergence de nouveaux projets de gigafactories, y compris dans le domaine du solaire désormais comme celui du voisin lyonnais Carbon, les syndicats souhaitent également que le virage vers la solarisation se fasse en partenariat avec les savoir-faire et les salariés du groupe, afin qu'ils puissent apporter leur pierre à l'édifice.

C'est également le sens des propos du représentant de la commission Mines et Energie de la CGT, Cédric Thuderoz, qui appelle à des synergies au sein de la filière solaire et silicium, à l'échelle régionale :

"Nous avons déjà des acteurs sur plusieurs éléments clés de la chaîne qui se trouvent dans la région comme Photowatt bien sûr, mais qui ne se parlent pas toujours. C'est par exemple le cas d'un acteur innovant à la Mure (Isère) qui développe le retraitement des panneaux, ainsi que l'industriel Ferropem qui produit du silicium, et dont des essais sur de nouveaux process industriels ont passé de premières tests de qualité. Si l'on réfléchissait à une production locale et bas carbone, cela pourrait changer la donne", estime-t-il.

De premières rencontres politiques à l'agenda

Photowatt avait de son côté déjà amorcé une forme de virage misant sur la différenciation de ses produits, et notamment sur le développement, en interne, d'un nouveau matériau (Crystal Advanced) qui a l'avantage de présenter un très faible bilan carbone et d'améliorer l'étape la plus énergivore qui se joue lors de la fusion du lingot.

Un produit qui pourrait se positionner comme un atout, en vue de répondre aux appels d'offres de la CRE, en lien avec le critère du coût carbone, qui doit faire son entrée dans la nouvelle programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) 2021-2026.

En l'attente, des représentants des salariés devaient rencontrer, cette semaine, les candidats des deux principales listes (union de gauche et majorité présidentielle) de leur circonscription afin de porter la question à l'ordre du jour sur la scène nationale.

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Guerre en Ukraine : Alors que Moscou frappe le Donbass, peut-on « envisager une victoire des Russes d’ici la… - 20 Minutes

Trois mois, 96 jours, 2.300 heures… Difficile d’imaginer que Ukraine résiste toujours à l’envahisseur russe depuis le 24 février et le lancement de « l’opération militaire spéciale » de Moscou. Difficile de croire qu’un pays de 45 millions d’habitants tienne tête, depuis près de treize semaines, à un mastodonte de trois fois sa démographie [et qui possède un budget militaire dix fois plus conséquent]. Pourtant, cette guerre en Ukraine illustre bien l’histoire du pot de terre qui fait face au pot de fer. Mais pour combien de temps ? Ces derniers jours l’étau russe se resserre autour de Kiev, plus précisément autour de la région stratégique du Donbass , et Moscou a monté d’un cran la cadence de ses attaques aériennes.

« Après trois mois de conflit un constat s’impose : le rapport de force est en effet presque à l’équilibre », affirme le général Vincent Desportes, auteur de Visez le sommet : Pour réussir, devenez stratège (Ed. Denoël​). Pour cet ancien militaire de l’armée de terre, « sur le plan des combats aucun des deux pays » n’est pourtant « assez supérieur à l’autre pour réaliser de véritables percées ». La guerre en Ukraine serait alors devenue une « guerre de grignotages » lors de laquelle chacun rend coup pour coup, petite victoire après petite victoire, sans pour autant pouvoir se proclamer vainqueur.

« Vladimir Poutine a sous-estimé toutes les strates de ce conflit »

Sans oublier que « Vladimir Poutine a sous-estimé toutes les strates de ce conflit », accuse encore le général Vincent Desportes. D’abord, le peuple ukrainien qu’il prenait pour des « petits russes », ensuite Volodymyr Zelensky qu’il voyait comme un « clown » puis l’Europe, qu’il pensait être « un amas de nations molles ». Et « mépriser son ennemi est sûrement l’une des pires erreurs stratégique en temps de guerre », conclut celui qui est également professeur de stratégie à HEC et SciencesPo.

Voilà pourquoi la Russie s’est vite retrouvée en difficultés, a dû faire face à une résistance ukrainienne sans commune mesure et peine depuis plus de trois mois à crier victoire. Voyant sa stratégie patiner, Poutine a donc changé son fusil d’épaule. Son objectif, après la prise de la ville portuaire de Marioupol, est devenu celui de conquérir  l’ensemble du Donbass. Les troupes russes y avancent sûrement et pilonnent les villes de cette région située à l’est de l’Ukraine. Mais pas assez rapidement sans doute. C’est sûrement la raison pour laquelle depuis plusieurs jours les forces armées de Vladimir Poutine tentent des percées directement par le ciel, multipliant les attaques aériennes.

La bataille des airs, clé de la victoire russe ?

Selon Michel Goya, ce n’est pourtant pas dans les airs que se trouvera la victoire de Moscou sur Kiev. « L’une des grandes surprises de cette guerre, c’est justement la faiblesse de l’aviation russe », confie l’ancien officier des troupes de marine de l’armée de terre. La flotte du Kremlin serait bel et bien moins moderne et efficace que celle envisagée par la communauté internationale ou anticipée par les forces ukrainiennes. « Les Russes ont perdu beaucoup d’avions depuis le début du conflit et sont contraints, pour éviter la casse, de voler très bas ce qui rend leurs attaques bien moins efficaces », précise encore Michel Goya.

En revanche, ce sont bien ces avions qui ont permis aux Russes de prendre possession de la ville de Popasna située à l’est du Donbass et, selon l’ancien militaire, c’est peut-être là les Russes rencontreront la victoire : « cette ville est placée sur les hauteurs et offre une vision stratégique sur toutes les régions de l’est de l’Ukraine, tant convoitées par Vladimir Poutine. » Grâce à ce positionnement, l’armée russe serait alors en mesure d’encercler une ville comme Severodonetsk, « l’une des dernières poches de résistance du Donbass, abritant un sixième de l’armée ukrainienne », selon l’historien. « Et si contrôler le Donbass signifie gagner la guerre alors il est possible d’envisager une victoire des Russes d’ici la fin de l’été », conclut-il.



Ce mardi, le gouverneur de la région de Lougansk a annoncé que les forces russes contrôlaient désormais « une partie » de Severodonetsk, qu’elles pilonnaient depuis des semaines. « La situation est ultra-compliquée », a indiqué sur Telegram Serguiï Gaïdaï. le gouverneur a toutefois précisé que les Russes « ne pouvaient pas avancer librement », des combattants ukrainiens « restant toujours » dans la ville.

Une guerre en Ukraine faite « d’attaques et reculs »

« Une guerre se termine soit par la destruction totale soit par les négociations », lâche pour sa part Vincent Desportes. Le professeur de stratégie à Sciences Po et HEC rejoint ainsi le président ukrainien Volodymyr Zelensky qui a affirmé à la fin du mois de mars, lors d’une interview accordée à la télévision ukrainienne, que la guerre ne se terminerait pas sur le « champ de bataille mais sur celui des négociations ».

Seulement, au jeu des négociations, chacun doit y trouver son compte. « A ce stade, Vladimir Poutine n’a pas assez gagné de territoire pour pouvoir justifier un conflit d’une telle ampleur. De son côté, Volodymyr Zelensky doit regagner du terrain pour avoir matière à compromis », avance Vincent Desportes. Si les deux pays savent qu’il faut un consentement mutuel plutôt qu’une destruction commune, négocier ne rime pas forcément avec la fin des combats. « Pour rappel, pendant les négociations de 1973 entre les Etats-Unis et le Vietnam, les Américains ont bombardé Hanoi plus que de raison », rappelle le général. Au final, cette guerre en Ukraine est faite « d’attaques et de reculs » qui rendent difficile tout pronostic… mais qui font un beau pied de nez à la théorie du plus fort.

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Mercato - Pogba vers la Juventus alors que Campos n'est pas convaincu ? - Parisfans.fr

Paul Pogba, milieu de 29 ans Manchester United dont le contrat s’arrête en juin 2022, a été une priorité du Paris Saint-Germain pour son mercato 2021 et le joueur a été tenté par cette possibilité. Mais il y a finalement eu le recrutement de Lionel Messi (attaquant de 34 ans) qui a bloqué l’affaire, sans oublier que Manchester United avait une demande encore élevée. La piste menant à l’international français a donc été retardée mais pas oubliée surtout qu’il ne devrait pas prolonger. Paris est de nouveau présent dans la course, sauf que la Juventus Turin, son ancien club serait un grand concurrent. Ce mardi, L’Equipe confirme la tendance en Italie avec un avantage pour la Juventus alors que le PSG ralentit avec le directeur sportif Luis Campos.

« A priori, l’ancien Havrais ne reportera plus les couleurs de Manchester United. Il ne devrait pas non plus signer à Paris où il avait été ciblé par Leonardo. Le directeur sportif brésilien a été démis de ses fonctions et Pogba n’entre pas nécessairement dans les plans de Luis Campos, le prochain responsable du recrutement. À ce jour, c’est un retour à la Juventus Turin, six ans après en être parti, qui semble sérieusement tenir la corde.

Il conserve une cote élevée en Premier League, forcément, où il a de lui-même repoussé une approche de Manchester City mais pourrait ne pas se montrer aussi ferme si un autre club d’envergure le sollicitait. »

Rien d’impossible, puisqu’un changement de directeur sportif peut logiquement amener des modifications dans les plans pour le mercato. Le PSG est en train de changer son projet et cela passe par le recrutement. On reste tout de même prudent, puisque l’international français peut toujours être une cible du club parisien. Il est un joueur en fin de contrat, ce qui est une opportunité qui peut être tentante. Mais il y a d’autres pistes possibles.

Il faudra encore attendre pour y voir plus clair, comme souvent lors du mercato. Il n’y a que les annonces officielles pour avoir des certitudes. Mais il est envisageable que Pogba signe finalement à la Juventus Turin.

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Monday, May 30, 2022

Le dollar reprend sa chute alors que les marchés boursiers se reprennent timidement - Zonebourse.com

FILE PHOTO: An employee of a bank counts US dollar notes at a branch in Hanoi

Le dollar américain a repris son recul lundi alors que l'appétit pour le risque s'est timidement renforcé sur les marchés, soutenu par des données économiques plus encourageantes et les paris que la Réserve fédérale va resserrer sa politique à un rythme plus lent.

Le Dollar Index - qui suit l'évolution du billet vert par rapport à ses six principaux rivaux - est en passe de connaître sa première baisse mensuelle en cinq mois, la monnaie refuge s'essoufflant après un début d'année fulgurant.

Le Dollar Index est en passe de connaître une baisse de plus de 1,5 % en mai, même s'il reste en hausse d'environ 6 % sur l'année. La dernière fois, il était en baisse d'un quart de pour cent sur la journée à 101,44.

Les échanges devraient être légers jusqu'à lundi, les marchés boursiers et obligataires américains étant fermés pour le jour férié du Memorial Day.

Les données de vendredi ont montré que les dépenses de consommation américaines ont augmenté plus que prévu en avril, les ménages ayant stimulé leurs achats de biens et de services, et la hausse de l'inflation a ralenti.

Les analystes ont déclaré que ces données encourageantes, associées aux paris sur une trajectoire de resserrement plus prudente de la part de la Fed, affaiblissaient le dollar.

Les actions européennes ont atteint des sommets de plus de trois semaines lundi, l'assouplissement des restrictions COVID-19 et les nouvelles mesures de relance en Chine ayant contribué à soutenir l'optimisme de la semaine dernière.

"La façon dont la consommation américaine évolue à partir d'ici et, d'un point de vue mondial, les performances de l'économie chinoise seront des facteurs déterminants pour l'appétit des investisseurs pour le risque", ont déclaré les analystes des devises de MUFG dans une obligation.

Une série d'autres données économiques sont attendues cette semaine et pourraient donner des indices sur les perspectives de la croissance mondiale, notamment les chiffres de l'emploi aux États-Unis et les chiffres de l'indice des directeurs d'achat en Chine. Les données sur l'inflation allemande sont attendues à 1200 GMT aujourd'hui, avant les chiffres de l'inflation de la zone euro mardi.

L'inflation annuelle allemande devrait atteindre 8 %, selon les données de Refinitiv, après avoir atteint le mois dernier le niveau le plus élevé depuis quatre décennies, soit 7,8 %.

L'euro a atteint un sommet mensuel par rapport au dollar de 1,07705 $, en hausse de 0,3 %, avant les données.

Le yen, valeur refuge, a reculé de 0,2% à 127,330 yens par dollar.

La livre sterling a augmenté de 0,1 % à 1,26400 $.

Les cryptomonnaies ont tenté un rebond mais le bitcoin, qui a augmenté de 4 %, est toujours cloué autour de 30 000 $.

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Pourquoi ce PC portable gamer perd 400€ ? Alors qu'il a une RTX 3060 ! - jeuxvideo.com

News bon plan Pourquoi ce PC portable gamer perd 400€ ? Alors qu'il a une RTX 3060 !

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S’équiper d’une carte graphique RTX est devenu compliqué depuis le début de la crise de Covid. Mais heureusement, les constructeurs n’ont pas chômé et Lenovo nous propose un PC portable de la gamme Legion à un prix imbattable. Si vous souhaitez bien vous équiper, et garder la possibilité d’être nomade, ce PC portable est fait pour vous.

PC portable gamer Lenovo Legion 5 15ACH6H : qu’est-ce que ça vaut ?

Les prix des composants de PC redeviennent à la normal, la nature reprend ses droits, et Lenovo vous propose de découvrir sa gamme portable Legion 5.

Retrouver le PC portable gamer Lenovo Legion 5 15ACH6H à 899€ chez Cdiscount

Au menu : une RTX 3060, avec ses 6 Go de mémoire vidéo dédiée. Si vous n’avez pas encore goûté au Ray-Tracing, cette carte graphique vous le propose avec de très bonnes performances. Grâce à la gamme RTX, vous pourrez expérimenter le DLSS (Deep Learning Super Sampling) de Nvidia, vous permettant d’augmenter la résolution de votre jeu sans affecter vos performances.

Et justement, au niveau des performances, vous pourrez facilement atteindre une très bonne fluidité grâce à ce PC, d’autant plus que la dalle ips de 15 pouces de ce Lenovo Legion 5 peut monter jusqu’à 120 Hz. Si vous êtes un joueur compétitif, c’est un must-have.

Pour stocker vos jeux et logiciels, ce PC portable embarque un SSD M.2 de 512 Go, et si cela ne vous suffit pas, vous pouvez toujours en ajouter un pour pas très cher.

Le branchement de vos périphériques sera aussi simple qu’à l’accoutumée, avec 3 ports USB 3.2 Gen 1, et deux USB-C 3.2 Gen 2. Pour votre casque, ce PC portable est évidemment équipé d’un unique port jack combinant microphone et sortie de son.

Pour les performances de la bête, il faut savoir qu’elle est seulement équipée d’une barrette de 8 Go de RAM DDR (3200 MHz), mais bien heureusement, vous pourrez tout comme le stockage, ajouter une petite barrette dans son deuxième port. À savoir que ce PC peut monter jusqu’à 32 Go de RAM maximum.

Pourquoi ce PC portable gamer perd 400€ ? Alors qu'il a une RTX 3060 !

Côté processeur, on se retrouve chez AMD avec un Ryzen 5 5600H cadencé à 3.3 GHz, pouvant aller à 4.2 GHz en turbo. Si l’on devait trouver un équivalent de cette puce côté Intel, on serait assez proche d’un i7-1165G7, ce qui n’est vraiment pas mal du tout.

Attention tout de même, les composants sont de très bonne qualité mais la machine n’embarque pas d’OS, c’est à dire qu’aucune version de Windows n’est installée. Ce sera à vous de vous la procurer séparément.

Une offre Cdiscount qui vaut le détour

Si vous vous êtes intéressé à toutes ces spécificités techniques, et que vous vous y connaissez un peu, vous allez savoir que le prix que nous propose Cdiscount est vraisemblablement l’un des meilleurs.

Vendu initialement à 1299€, vous pourrez vous procurer le Lenovo Legion 5 15ACH6H pour seulement 899€.

Pour ce que l’on retrouve à l’intérieur, cette offre en vaut la peine. Si vous êtes un gamer, mais que vous devez vous déplacer entre plusieurs lieux sans avoir à trimballer votre tour, Cdiscount vous propose un beau compromis.

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Ça Alors !? - Balle au rebond - SUN | LeSonUnique

La mythique quinzaine de Roland Garros se déroule actuellement Porte d'Auteuil. Fans de la petite balle jaune ou des petites bulles qui pétillent, tous les genres et tous les styles trouvent chaque année une bonne raison de s'y presser. C'est ce cocktail si surprenant qui fait de Roland Garros un événement comme nulle autre comme vous allez le découvrir à l'occasion de ce nouvel épisode de "Ca Alors !?".

"Ca Alors !?" se poursuit quotidiennement sur Facebook, rejoignez moi.

BONUS "Ca Alors !?" : Il n'existe plus de casier 19 dans le vestiaire des joueuses à Roland Garros. La raison est assez surprenante : les organisateurs offrirent la porte numéro 19 à Steffi Graf, 6 fois victorieuse de la compétition lorsqu'elle mit fin à sa carrière. Depuis, le casier qui suit le numéro 18 est le 18 bis.

Playlist émission: 

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Le dollar dérive vers une perte mensuelle alors que les paris sur la Fed s'atténuent - Zonebourse.com

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Le Dollar Index est en passe de connaître une baisse de plus de 1,5 % en mai, même s'il reste en hausse d'environ 6 % sur l'année. La dernière fois, il était en baisse d'un quart de pour cent sur la journée à 101,44.

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Les données de vendredi ont montré que les dépenses de consommation américaines ont augmenté plus que prévu en avril, les ménages ayant stimulé leurs achats de biens et de services, et la hausse de l'inflation a ralenti.

Les analystes ont déclaré que ces données encourageantes, associées aux paris sur une trajectoire de resserrement plus prudente de la part de la Fed, affaiblissaient le dollar.

Les actions européennes ont atteint des sommets de plus de trois semaines lundi, l'assouplissement des restrictions COVID-19 et les nouvelles mesures de relance en Chine ayant contribué à soutenir l'optimisme de la semaine dernière.

"La façon dont la consommation américaine évolue à partir d'ici et, d'un point de vue mondial, les performances de l'économie chinoise seront des facteurs déterminants pour l'appétit des investisseurs pour le risque", ont déclaré les analystes des devises de MUFG dans une obligation.

Une série d'autres données économiques sont attendues cette semaine et pourraient donner des indices sur les perspectives de la croissance mondiale, notamment les chiffres de l'emploi aux États-Unis et les chiffres de l'indice des directeurs d'achat en Chine. Les données sur l'inflation allemande sont attendues à 1200 GMT aujourd'hui, avant les chiffres de l'inflation de la zone euro mardi.

L'inflation annuelle allemande devrait atteindre 8 %, selon les données de Refinitiv, après avoir atteint le mois dernier le niveau le plus élevé depuis quatre décennies, soit 7,8 %.

L'euro a atteint un sommet mensuel par rapport au dollar de 1,07705 $, en hausse de 0,3 %, avant les données.

Le yen, valeur refuge, a reculé de 0,2% à 127,330 yens par dollar.

La livre sterling a augmenté de 0,1 % à 1,26400 $.

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Sunday, May 29, 2022

Top 12 des fautes de français sur lesquelles on nous reprend, alors qu'on devrait pas - Topito

Ahhhh, nos petits lecteurs… On vous aime, vous savez ? Peu importe la team à laquelle vous appartenez. Que vous fassiez partie des trop choupinous (98% d’entre vous, bien évidemment), de ceux qui se sont fait pirater et qui nous invitent gentiment à venir découvrir leur site de uc, les un peu vénères qui ne comprennent pas pourquoi on n’aime pas Zemmour, et enfin, les profs de français. Toujours en forme et pleins de good vibes pour gentiment nous rappeler que « putain, les merdias, là, on dit « au temps pour moi », pas « autant », faites bien votre taff un peu ». Je plaide coupable… Souvent, ils ont raison. Mais pas toujours ! Eh oui, certaines « erreurs » qui arrachent les yeux des plus balaises en orthographe, sont en réalité correctes !

1. "Autant pour moi"

C’est l’une des expressions les plus controversées et polémiques de la langue française : « au tant pour moi », ou « au temps pour moi » ? Eh bien… Les deux. Enfin, ça dépend si on est un puriste qui se fie sans foi ni loi à l’Académie française, ou pas. « Au temps pour moi » vient du monde militaire. La locution était employée pour commander la reprise d’un mouvement depuis le début. Le sens « c’est à reprendre » donne alors naissance à l’expression, pour admettre une erreur. Celle-ci est la version acceptée par l’Académie française.

De leur côté, les contestataires, dont le grammairien belge Maurice Grevisse ou l’écrivain Claude Duneton, défendent « autant pour moi », avec quand même une légère nuance. Écrite de cette façon, l’expression doit se comprendre « j’ai autant d’erreurs que vous à mon service ». On peut donc considérer que les deux expressions co-existent, sans vouloir dire exactement la même chose. Autant pour moi, si je froisse quelques-uns de nos lecteurs, hihi. (Source.)

Crédits photo : Topito

2. "Malgré que"

Je sais. Vos oreilles saignent, vos yeux pleurent des larmes de sang, et vous êtes à deux doigts de quitter ce top pour aller poser un commentaire assassin, criant au crime contre la langue française. Je vous comprends un peu, au fond (même si rien ne légitime une telle violence), mais attendez un peu que je vous explique !

« Malgré que » ne s’utilise que dans certains cas bien précis. Déjà, c’est une forme de langage assez soutenue. Ensuite, la formule est toujours suivie du verbe avoir au subjonctif. « Malgré qu’il en ait. », « Malgré qu’elle en eût. », « Malgré que j’en aie. » : c’est correct. En revanche, on ne l’utilise jamais, au grand jamais, pour remplacer « bien que » ou « quoique ». (Source.)

3. "Par contre"

« Ahhhh sacrée époque, hein ! Savent plus parler ces jeunes, Michel ! » Eh bien, détrompez-vous, mon cher Michel. La locution « par contre » est bien plus vieille que vous ne le pensez : elle a été attestée pour la première fois au XVIe siècle, dans les écrits du réformateur Jean Calvin. L’expression n’a jamais dérangé personne jusqu’à… Voltaire, qui la critiqua fortement au XVIIIe. En suivant, Émile Littré, dans son Dictionnaire de la langue française, confirme la position de Voltaire, tout en admettant que ça « peut se justifier grammaticalement ». Ouais. Flou, quoi. En suivant, André Gide, grand écrivain et prix Nobel de littérature, défend son existence. Même chose pour Grevisse, lui aussi en accord avec son utilisation, qui en profite pour rappeler que des noms comme Stendhal, Maupassant, Saint-Exupéry ou encore Malraux l’ont adopté. Bref, une longue histoire pour en arriver à la conclusion que : non, « par contre », admis dans le registre courant, ne constitue pas une faute de français.

4. "Paris est beau"

Le genre des noms de ville est une question assez compliquée. Généralement, on considère qu’on utilise le féminin pour les villes finissant par « e » ou « es » muets, comme Rome, Bruxelles ou Toulouse. Dans les autres cas, le masculin l’emporte. Logiquement, on devrait donc dire « le Paris » et donc… « Paris est beau » !

En revanche, on associe souvent Paris à des termes féminins, comme « ville » ou « capitale », ce qui pousse à féminiser le nom. En soi, personne n’a tort dans cette histoire, les deux sont acceptables et logiques. Même les sages de l’Académie française n’ont pas tranché la question, c’est dire !

5. "C'est ma langue native"

« Euuuuuuh… Tu veux dire « langue natale », plutôt, nan ? ». Eh non ! En effet, ça veut dire la même chose, mais les deux existent. Bien que « langue native » soit bien moins agréable à l’oreille, elle désigne, tout comme « langue maternelle » ou « langue première », le premier dialecte appris par une personne, dès son enfance.

6. "Il s'ensuivit"

L’Académie française est formelle sur la question ! On écrit « il s’ensuivit » et non pas « il s’en suivit », tout comme on dit « il s’est ensuivi » et non « il s’en est suivi ». Le verbe « s’ensuivre » se définit par « découler, résulter » : aucune raison, donc, de l’écrire en trois mots. Vous le saviez, ou vous êtes sur le cul, là ? (Source.)

7. "Vous avez mis la barre haut"

En fait, ce n’est pas seulement une « faute » qui n’en est pas une : c’est aussi et surtout la manière dont on devrait tous prononcer l’expression. Vous allez être choqué, mais… « Mettre la barre haute », c’est totalement incorrect ! En effet, dans cette phrase, « haut » est un adverbe qui complète le verbe. On dit d’ailleurs « haut la main, et non pas « haute la main ». Pour dire « haute » il faudrait que le mot soit un attribut du sujet, comme dans « la barre est haute ». C’est clair, ou ce n’est pas clair? (Source.)

8. Un "phantasme"

Alors, je ne vous dis pas d’utiliser cette orthographe, je dis simplement que oui, ça existe. Rassurez-vous, la grande majorité des personnes préfèrent l’écrire avec un « f » (et on les remercie). Après… En y réfléchissant bien… « Fantasme » vient du grec « phantasma », qui s’écrit bien « ph ». Du coup… « Phantasme »… C’est pas si déconnant !

9. "Le plus belle"

Dans certains cas, c’est effectivement la forme à utiliser ! Devant un adjectif superlatif relatif (kamoulox) comme « le plus » ou « le moins », et s’il y a une comparaison entre différents degrés ou états d’une même chose, l’article reste invariable ! Vous avez du mal à saisir ? Si vous comparez la beauté d’une rose à différents moments de la journée : vous comparez les états d’une même chose. Il faudra donc écrire « C’est le matin que la rose est le plus belle ». Si la comparaison se fait entre différentes entités, la question ne se pose plus, on accorde « Cette rose est la plus belle de toutes les roses. ».

(Source.)

10. "Connaitre" (eh oui, sans accent circonflexe !)

Quand l’Académie française rédige son premier dictionnaire à la fin du XVIIe siècle, deux orthographes sont admises pour ce verbe : cognoistre et connoistre. C’est la deuxième écriture qui reste. Avec le temps, le « s » est remplacé par un « ^ », ce qui donne : connoître, et enfin « connaître » en 1935. Mais l’histoire ne s’arrête pas là ! En 1990, le conseil supérieur de la langue française propose de supprimer les accents circonflexes sur les « i » et les « u ». Depuis, vous n’avez normalement plus besoin de vous faire chier à chercher se maudit accent sur votre clavier, « connaitre » étant une forme totalement correcte du mot !

(Source.)

11. "La froidure"

C’est très moche, mais c’est français. Ouvrez donc votre dictionnaire, vous verrez ! D’après le Robert, « Froidure, n.f. : Grand froid de l’hiver ». J’en connais quelques-uns qui vont se coucher moins bêtes, ce soir !

12. Un "nénufar"

Bon, ok, là, j’enfonce un peu une porte ouverte, puisque tout le monde le sait. En même temps, c’est vraiment l’argument avancé dans toutes les discussions de darons pour dire que le monde part en couille, non ? « Non mais tu te rends compte, Sylvie ! Nénuphar avec un « f » ! Pourquoi pas un éléfant, aussi ? Ah non mais les gamins, aujourd’hui, ils écrivent comme sur leurs semeusseux (« SMS » en langage de plus de 50 ans) ! » Je comprends que ça heurte, mais c’est comme ça. Et même si on a l’impression que c’est un phénomène récent, en lien avec la génération texto (« T-E-X-T-O génération textooooo », les vrais savent) c’est en réalité bien plus vieux que ça ! Avant 1935, « nénuphar » s’écrivait avec un « f ». La raison : étymologiquement, le mot vient du perse « nilufar ». Alors, c’est laquelle, la génération qui change les règles, maintenant ? Hein ?

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Top 12 des fautes de français sur lesquelles on nous reprend, alors qu'on devrait pas - Topito
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Liverpool-Real Madrid : affrontements et mouvements de foule, récit d’une soirée chaotique au Stade de France - Le Parisien

Phil n’a pas même pas envie de cacher son dégoût. Ce supporter de Liverpool tourne, dépité, autour des grilles du Stade de France alors qu’à l’intérieur, ses Reds lancent les premières attaques sur le but du Real Madrid. Le quadragénaire erre sur le parvis autour de l’enceinte, billet de la finale de la Ligue des champions en main. Si son fils et son oncle ont pu aller s’asseoir en tribunes, lui doit se résoudre à rater le début d’une rencontre historique pour son club. La triste histoire de ce Britannique est l’un de trop nombreux symboles d’une soirée qui devait être grandiose et qui fut complètement ratée sur le front de l’organisation.

La journée de fête, bien lancée par les célébrations bruyantes des fans de Liverpool et du Real entre Paris et Saint-Denis, a dégénéré en début de soirée aux abords du stade. Des barrages de sécurité ont été forcés à plusieurs endroits autour du parvis, alors que de très longues files de supporters peinaient à avancer pour accéder aux contrôles de sécurité. Une cohue angoissante. Selon le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et l’UEFA, ces attroupements ont été causés par des supporters britanniques munis de faux billets. « Il y avait des queues énormes, je n’ai jamais vu cela alors que cela fait plus de vingt ans que je viens au Stade de France, décrit un spectateur. Il y a eu des mouvements de foule très flippants, avec des enfants qui pleuraient. Et avec un seul stadier de 20 ans pour contrôler les billets. »

Les derniers supporters de Liverpool sont rentrés juste avant la pause

Plusieurs personnes ont également escaladé les grilles autour du stade, fonçant ensuite en direction des escaliers qui mènent à l’intérieur du Stade de France pour profiter du spectacle. Cette situation chaotique a entraîné plusieurs interventions de la police, l’usage de sprays lacrymogènes par les forces de l’ordre, et la fermeture de nombreux points d’accès au stade. Tout ça menant au report, d’abord d’un quart d’heure, puis de trente minutes d’un coup d’envoi du match prévu à 21 heures et finalement donné à… 21h36, au gré d’informations données par des messages inscrits sur les écrans géants du Stade de France.

Le délai inattendu a obligé les joueurs des deux équipes à revenir s’échauffer sur la pelouse avant que le match ne démarre enfin, avec plus de 35 minutes de retard. Le tout après un mini-concert de la chanteuse Camila Cabello maintenu malgré les incidents.

À l’extérieur, c’est l’abattement chez les centaines de supporters de Liverpool agglutinés le long des grilles. Certains, brandissant leur billet à l’objectif des caméras, implorent qu’on les laisse rentrer, mais l’accès se fera au compte-goutte.

Selon la préfecture de police et plusieurs témoins, l’ensemble des fans a fini par pouvoir accéder aux tribunes en toute fin de première période, alors que le Real Madrid venait de se faire refuser un but signé Karim Benzema.

68 interpellations, 39 placements en garde à vue

Parmi ces spectateurs lésés, la championne olympique de boxe Estelle Mossely. « Je suis enfin rentrée après une heure de catastrophe. J’ai été gazée deux fois, bousculée, nous raconte la boxeuse, très en colère. Une bouteille a atterri près de moi. Ce qui s’est passé au Stade de France ce soir (samedi) est scandaleux, inadmissible. Des gens avec des billets qu’on ne laisse pas entrer… D’autres personnes qui n’ont rien à faire là et qui ont fini par être évacuées, il y a seulement 20 minutes… »

Sur le parvis, quelques affrontements se sont poursuivis pendant la rencontre. Les policiers ont tiré du gaz lacrymogène et ont également chargé pour disperser plusieurs personnes encore regroupées autour de l’enceinte. Des interventions sporadiques, au milieu de barrières renversées, terminées en cours de soirée. Entre Paris et les abords du Stade de France, elles ont mené, selon des sources sécuritaires qui ne notaient pas d’incident majeur, à 68 interpellations dont 39 placements en garde à vue. 174 supporters ont été légèrement blessés.

Ces quelques heures de chaos laissent un arrière-goût de fiasco aux organisateurs. Et elles interrogent à un an de la Coupe du monde de rugby en France et deux ans des Jeux olympiques de Paris.

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Montrevault-sur-Èvre. Avec Epi’Alors, une pièce de théâtre très appréciée sur syndrome X Fragile - Ouest-France

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Montrevault-sur-Èvre. Avec Epi’Alors, une pièce de théâtre très appréciée sur syndrome X Fragile  Ouest-France
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Saturday, May 28, 2022

Football. Alors qu’Angers-SCO espérait le conserver, Mathias Pereira Lage signe à Brest - Ouest-France

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Football. Alors qu’Angers-SCO espérait le conserver, Mathias Pereira Lage signe à Brest  Ouest-France
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Festival de Cannes : «Alors, tu as le nom de la Palme ?» - Le Parisien

« En résumé, c’est long, c’est chiant, c’est roboratif, c’est éprouvant… et c’est la Palme d’or ! » Vendredi soir, dans « Mascarade » de Nicolas Bedos, cette tirade du personnage interprété par Charles Berling a beaucoup fait rire les spectateurs du Palais. Pour la dernière soirée avant la clôture du Festival de Cannes, ce samedi soir, les sélectionneurs avaient choisi cette comédie exubérante, dans laquelle Isabelle Adjani joue une diva déchue qui s’ennuie ferme dans sa somptueuse villa de la Côte d’Azur. Ce samedi matin, on se dit que si Berling avait résumé les atouts imparables pour décrocher la Palme d’or, le travail des journalistes serait grandement facilité.

Car, à quelques heures du palmarès de cette 75e édition, il ne reste plus qu’un enjeu avant de boucler sa valise : deviner le nom du grand gagnant. D’autant que cette fois-ci, la cérémonie de clôture ne commence qu’à 20h30, contre 19h30 les années précédentes. Une conséquence du passage de la soirée de Canal + à France 2 (la chaîne publique diffusera la remise des prix après son JT), qui ne fait pas l’affaire de la presse quotidienne, contrainte par ses horaires de bouclage… Pour cela, les années Canal, c’était quand même pratique. Plus que jamais, donc, le grand sport de cette ultime journée consiste à chasser les indices.

Le jury, présidé par Vincent Lindon, se réunit depuis ce matin dans une villa des hauteurs de Cannes tenue secrète et placée sous protection policière. La légende veut que les jurés se voient même confisquer leurs téléphones portables à leur arrivée.

Rumeurs sur la Croisette

Mais voilà : il n’y aura pas de fumée blanche au terme du conclave et, sitôt les délibérations terminées, les patrons du Festival, Thierry Frémaux et Pierre Lescure, qui assistent aux échanges, préviendront les équipes des films sélectionnés en compétition officielle. Pour doucher poliment leurs espoirs ou, au contraire, leur demander de revenir fissa recevoir leur prix, sans leur dire s’il s’agit de la Palme d’or ou de l’une des six autres récompenses. « Mes messages ne peuvent être plus laconiques : Le film n’a rien, hélas. Le film a quelque chose, l’équipe doit revenir », racontait Frémaux dans son livre « Sélection officielle », paru en 2017.

Dès lors, les journalistes appellent les protagonistes des films (et leurs proches) pour tenter de leur tirer les vers du nez. Des photographes planqués à l’aéroport de Nice balancent même quelques tuyaux : si tel réalisateur a été vu à sa descente d’avion, c’est que son long métrage a un prix, si telle actrice a atterri ce samedi, ça sent bon le Prix d’interprétation. Les informations et les rumeurs enflamment alors la Croisette et la question qu’on entend en boucle entre les marchands de glaces, la police montée et les stands de cartes postales, c’est « Alors, tu as le nom de la Palme ? ».

Mais jusqu’à 20h30, gare à l’enfumage : certains, pour faire parler d’un film, jurent qu’ils vont décrocher le pompon alors qu’ils repartiront bredouilles. La Palme du bluff sera décernée ce soir, en même tant que la Palme d’or.

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Le TSX affiche son plus gros gain hebdomadaire depuis février, alors que les ventes diminuent - Zonebourse.com

FILE PHOTO: A sign board displaying Toronto Stock Exchange stock information is seen in Toronto

L'indice boursier principal du Canada a augmenté vendredi, le plaçant sur la voie de sa meilleure performance hebdomadaire en plus de trois mois, aidé par des gains dans les actions technologiques et cycliques dans un climat d'optimisme dans les actions mondiales.

Le principal indice boursier canadien a atteint vendredi son niveau le plus élevé depuis plus de trois semaines et a enregistré sa deuxième progression hebdomadaire consécutive, les signes d'une inflation galopante ayant renforcé l'espoir d'un relâchement de la pression récente sur les marchés boursiers mondiaux.

L'indice composite S&P/TSX de la Bourse de Toronto a terminé en hausse de 216,40 points, soit 1,1 %, à 20 748,58, son plus haut niveau de clôture depuis le 4 mai.

Il s'agit de la sixième journée consécutive de gains pour l'indice. Pour la semaine, il a grimpé de 2,7 %, sa plus forte progression depuis février.

"Il est clair pour moi que le marché a touché le fond la semaine dernière", a déclaré Barry Schwartz, gestionnaire de portefeuille chez Baskin Financial Services.

"Les gros titres peuvent encore être minables pendant les mois à venir - ils peuvent même empirer - mais nous avons définitivement eu un creux à court terme."

Wall Bourse s'est également redressée alors que les données américaines montraient des signes de pic d'inflation et de résilience des consommateurs, envoyant les investisseurs vers un long week-end férié aux États-Unis avec un optimisme croissant quant au fait que le resserrement de la politique de la Réserve fédérale peut éviter de faire basculer l'économie dans la récession.

"On a le sentiment qu'il y aura une récession dans certains types d'entreprises, mais ce n'est pas généralisé", a déclaré M. Schwartz.

Le groupe technologique du marché de Toronto a grimpé de 2,4 %, tandis que les valeurs financières, très pondérées, ont terminé en hausse de 1,3 %, la Banque Nationale du Canada ayant clôturé un trimestre généralement solide pour les créanciers canadiens en annonçant un bénéfice pour le deuxième trimestre supérieur aux estimations.

Le secteur de l'énergie a progressé de 1,7 %, le pétrole ayant gagné 0,9 % à 115,14 $ le baril en raison des signes d'un marché serré.

Les fortes baisses des actions de certains producteurs de cannabis ont pesé sur le secteur de la santé.

Aurora Cannabis a chuté de 38,3 % après avoir augmenté son financement par prise ferme annoncé précédemment, et Canopy Growth Corp a perdu 14,6 % après avoir annoncé une perte de base ajustée plus importante pour le quatrième trimestre. (Reportage de Fergal Smith ; reportages supplémentaires d'Amal S à Bengaluru ; édition d'Alistair Bell)

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Friday, May 27, 2022

Le TSX affiche son plus gros gain hebdomadaire depuis février, alors que les ventes diminuent - Zonebourse.com

FILE PHOTO: A sign board displaying Toronto Stock Exchange stock information is seen in Toronto

L'indice boursier principal du Canada a augmenté vendredi, le plaçant sur la voie de sa meilleure performance hebdomadaire en plus de trois mois, aidé par des gains dans les actions technologiques et cycliques dans un climat d'optimisme dans les actions mondiales.

Le principal indice boursier canadien a atteint vendredi son niveau le plus élevé depuis plus de trois semaines et a enregistré sa deuxième progression hebdomadaire consécutive, les signes d'une inflation galopante ayant renforcé l'espoir d'un relâchement de la pression récente sur les marchés boursiers mondiaux.

L'indice composite S&P/TSX de la Bourse de Toronto a terminé en hausse de 216,40 points, soit 1,1 %, à 20 748,58, son plus haut niveau de clôture depuis le 4 mai.

Il s'agit de la sixième journée consécutive de gains pour l'indice. Pour la semaine, il a grimpé de 2,7 %, sa plus forte progression depuis février.

"Il est clair pour moi que le marché a touché le fond la semaine dernière", a déclaré Barry Schwartz, gestionnaire de portefeuille chez Baskin Financial Services.

"Les gros titres peuvent encore être minables pendant les mois à venir - ils peuvent même empirer - mais nous avons définitivement eu un creux à court terme."

Wall Bourse s'est également redressée alors que les données américaines montraient des signes de pic d'inflation et de résilience des consommateurs, envoyant les investisseurs vers un long week-end férié aux États-Unis avec un optimisme croissant quant au fait que le resserrement de la politique de la Réserve fédérale peut éviter de faire basculer l'économie dans la récession.

"On a le sentiment qu'il y aura une récession dans certains types d'entreprises, mais ce n'est pas généralisé", a déclaré M. Schwartz.

Le groupe technologique du marché de Toronto a grimpé de 2,4 %, tandis que les valeurs financières, très pondérées, ont terminé en hausse de 1,3 %, la Banque Nationale du Canada ayant clôturé un trimestre généralement solide pour les créanciers canadiens en annonçant un bénéfice pour le deuxième trimestre supérieur aux estimations.

Le secteur de l'énergie a progressé de 1,7 %, le pétrole ayant gagné 0,9 % à 115,14 $ le baril en raison des signes d'un marché serré.

Les fortes baisses des actions de certains producteurs de cannabis ont pesé sur le secteur de la santé.

Aurora Cannabis a chuté de 38,3 % après avoir augmenté son financement par prise ferme annoncé précédemment, et Canopy Growth Corp a perdu 14,6 % après avoir annoncé une perte de base ajustée plus importante pour le quatrième trimestre. (Reportage de Fergal Smith ; reportages supplémentaires d'Amal S à Bengaluru ; édition d'Alistair Bell)

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Annecy : arrêté alors qu’il ouvrait les portières des voitures - lessorsavoyard.fr

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Pourquoi le prix de l'essence augmente, alors que celui du gazole baisse ? - France Live

Depuis le début de l'invasion russe en Ukraine, le prix des carburants a largement augmenté en France. Le gazole a dépassé il y a quelques semaines le prix symbolique de 2,50 € le litre dans certaines stations-service, devenant au passage plus cher que l'essence.

Pourtant, depuis plus d'une semaine, celui de l'essence augmente, alors que le prix du gazole baisse. En un mois, le litre d'essence est en hausse de près de 20 centimes pour le Sans-plomb 98, et le gazole est lui en chute, avec 8,1 centimes de moins au litre. Pourquoi ? Deux explications sont plausibles, même si la fluctuation du prix du baril de pétrole est très volatile. 

La cause américaine

Concernant l'essence, la raison de cette augmentation viendrait des Etats-Unis. Le dernier lundi du mois de mai là-bas, c'est le "Memorial Day", qui rend hommage aux membres de l'armée morts au combat dans différents conflits. 

A lire aussi : En l'espace de 24 heures, cette ville perd 33 °C et passe de la canicule à la neige

C'est l'occasion pour de nombreux Américains de se rendre dans leur famille, souvent en voiture. De plus, cette fête marque le début de la saison annuelle de conduite. En clair, les Américains prennent beaucoup plus leur voiture.

Outre-Atlantique, le diesel n'est que très peu utilisé. Les ménages possèderaient à 95% des véhicules qui roulent à l'essence, comme l'explique Olivier Gantois, président de l'Union française des industries pétrolières à TF1 : "L’Amérique du Nord roule au sans-plomb et ça fait augmenter la demande de sans-plomb, ça fait monter les prix, y compris en Europe."

Des fluctuations très volatiles 

Le prix du diesel qui baisse est plus difficile à expliquer. Interrogé par nos confrères de La Dépêche du Midi, Jacques Percebois, professeur émérite en économie à l'Université de Montpellier et spécialiste de l'énergie, explique : "Les marchés sont très volatils dans un contexte d'incertitude. Je n'attacherai pas une importance extrême à ces mouvements conjoncturels qui traduisent une nervosité des marchés. Pourquoi, de temps en temps, le gasoil est devant l'essence, ou inversement, dépend de l'offre et de la demande, au jour le jour, sur le marché de Rotterdam. Il suffit qu'on ait un peu peur que la Russie n'envoie plus assez de gasoil et le prix augmente ; s'il y a une reprise dans tel ou tel pays et que la demande d'essence augmente, son prix va augmenter plus vite."

Difficile donc d'affirmer que la baisse du prix du gazole va se poursuivre. Il s'agirait plus probablement d'une fluctuation du marché, comme c'est le cas toute l'année. Le prix du baril de pétrole, qui était en baisse la semaine dernière, est déjà en train de remonter, et le gazole pourrait aussi être impacté.

L'essence, dont le prix a augmenté, devrait stagner légèrement, avant de rebaisser dans les prochaines semaines, après que les stations-service américaines auront écoulé leurs stocks, et que les exportations d'essence aux Etats-Unis soient redevenus "normales".

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Alors que le pluie se confirme à Monaco, Gasly pense...à Panis, 1996 ! - Le Mag Sport Auto

Les prévisions avaient donc vu juste, à priori ! En effet, selon toute vraisemblance, la pluie devrait faire son apparition à Monaco ce week-end, à l’occasion du Grand-Prix de Monaco de Formule 1. Les derniers bulletins font état de précipitations dimanche après-midi c’est à dire, au moment du départ de la course. Un paramètre qui pourrait créer une situation très délicate pour les pilotes et occasionner un résultat complètement inattendu. L’occasion à saisir pour les outsiders ? Une chose est sûre, Pierre Gasly, lui, semble y penser…

Formule 1 : avec ou sans pluie, hiérarchie inédite en principauté ?

Pierre Gasly se voit-il gagner à Monaco, à l’occasion d’un Grand-Prix de Formule 1 complètement dingue, comme vécu en 1996 avec la victoire d’Olivier Panis ? Une chose est sûre, le tricolore a cet exploit en tête, à quelques heures d’aborder les premiers essais libres de l’épreuve monégasque : “Je suis excité à fond ! J’ai les images de Panis en tête, c’est la seule chose. C’est compliqué, mais moi je le vois plus comme une opportunité. On sait, s’il fait sec et une fois que la qualif est faite, qu’à deux places près c’est assez limité. Un Grand Prix sous la pluie à Monaco ça fait déjà un moment qu’on en a vu un. Avec ces voitures-là, sur le sec ce sera compliqué mais sous la pluie ça va être quelque chose d’assez sport. Mais je suis excité par le challenge. On a roulé qu’à Imola sous la pluie, mais du fait de la réglementation c’est un peu plus compliqué qu’auparavant. Sur une piste comme Monaco ça peut être un peu folklorique. La voiture est plus lourde, plus raide, et on a moins d’amortissement. Le grip mécanique est un petit peut réduit par rapport aux années précédentes. “ Propos relayés par nos confrères de Motorsport.

Ainsi, comme le rappelle Pierre Gasly, avec le nouveau règlement et ces monoplaces inédites, une course de F1 sous la pluie pourrait engendrer un spectacle hors du commun. Ce qui engloberait, aussi, de nombreuses sorties de piste et donc, nombre d’abandons, compte-tenu de la présence des rails à Monaco, n’autorisant aucune erreur de pilotage. Cependant, les trois séances d’essais libres ainsi que les qualifications devraient avoir lieu dans des conditions sèches. Il sera intéressant d’observer la hiérarchie dans ces conditions sachant que certains, comme Charles Leclerc, n’écartent pas des résultats surprenants avec une hiérarchie inattendue, notamment à l’issue des qualifications. A suivre avec attention, donc…

Article publié le 27/05/2022 à 7h16

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Thursday, May 26, 2022

L'économie de Shanghai s'améliore timidement alors que la fin de la fermeture de COVID approche - Zonebourse.com

COVID-19 outbreak in Shanghai

Vendredi, Shanghai a pris de nouvelles mesures progressives en vue de la levée de son embargo sur le COVID-19, tandis que Pékin enquêtait sur les cas où ses restrictions strictes affectaient d'autres traitements médicaux, alors que la Chine poursuit sa sortie inégale des restrictions.

Le centre financier et la capitale ont été des points chauds, avec un confinement sévère de deux mois pour arrêter un pic de coronavirus à Shanghai et des restrictions de mouvement strictes pour réprimer une petite mais tenace épidémie à Pékin.

Les restrictions ont mis à mal la deuxième plus grande économie du monde, alors même que la plupart des pays cherchent à revenir à une situation plus ou moins normale.

L'économie chinoise est en train de se remettre sur pied en titubant, mais les données ne montrent qu'une reprise lente et partielle, les entreprises, des détaillants aux fabricants de puces électroniques, avertissant du ralentissement des ventes alors que les consommateurs du pays freinent leurs dépenses.

La consommation d'électricité des grandes entreprises industrielles de Shanghai a augmenté régulièrement au cours des trois premières semaines de mai pour atteindre 83 % des niveaux de 2021, a déclaré à la presse Ruan Qiantu, directeur de la branche de la ville de la compagnie chinoise State Grid.

La compagnie d'électricité s'efforcera d'éviter les pannes à mesure que la demande se redresse et que le pic de consommation estival approche, a déclaré M. Ruan. "Nous répondons activement aux demandes des entreprises".

Alors que Shanghai, la ville la plus peuplée de Chine, vise à mettre fin à son confinement à partir de mercredi, les autorités ont permis à davantage de personnes de sortir de chez elles et à davantage d'entreprises de rouvrir leurs portes au cours de la semaine dernière. Mais la plupart des résidents restent confinés dans leur enceinte et la plupart des magasins ne peuvent effectuer que des livraisons.

Le district de Pudong, qui abrite le port de Shanghai, le plus grand aéroport de la ville et son principal centre financier, a rouvert 115 lignes de bus vendredi. La ville développe lentement les transports publics après avoir rouvert dimanche quatre de ses 20 lignes de métro et plus de 250 lignes de bus.

Plus de 30 parcs avaient rouvert leurs portes jeudi, avec un nombre de visiteurs plafonné à moins de 50 % de leur capacité maximale, selon le Shanghai Daily. D'ici mardi, 70 autres parcs rouvriront leurs portes.

Le dernier nombre quotidien de cas COVID à Shanghai était inférieur à 300, sans aucun cas en dehors des zones de quarantaine, comme cela a été le cas pendant la majeure partie des deux dernières semaines. Pékin a signalé 29 cas quotidiens, contre 45 la veille.

Cette semaine, la capitale a renforcé les quarantaines, réduit la présence sur le lieu de travail et réprimé les personnes qui font fi des instructions. Cette approche stricte a parfois causé d'autres problèmes.

Les responsables de Pékin enquêtent sur des incidents de retard de traitement pour des patients atteints de maladies aiguës, et certains agents des services d'urgence ont été suspendus, a déclaré vendredi le Quotidien du Peuple, soutenu par l'État.

Un agriculteur nommé Song a écrit sur les médias sociaux que son fils de 32 ans était mort le 11 mai à Pékin après avoir attendu une ambulance pendant une heure avec des douleurs aiguës à la poitrine. Song a déclaré qu'on lui avait dit qu'il y avait eu confusion quant à savoir si son fils pouvait être admis en raison des contrôles COVID dans les hôpitaux locaux.

"Cette pratique... a entraîné des pertes irréparables pour une famille de paysans n'ayant qu'un seul fils et a causé de graves effets négatifs et des bavures à l'effort de lutte contre l'épidémie", a écrit Song jeudi.

Des cas de lenteur dans l'accès aux soins médicaux pour les femmes enceintes et autres patients non-COVID pendant les lockdowns ont provoqué l'indignation plus tôt cette année à Shanghai et Xian.

GRINDING

Les bénéfices des entreprises industrielles chinoises ont chuté le plus rapidement en deux ans en avril, selon des données publiées vendredi, alors que les prix élevés des matières premières et les chaînes d'approvisionnement interrompues ont réduit les marges et perturbé l'activité des usines.

Les ventes de voitures sur le plus grand marché automobile du monde ont considérablement ralenti, les joueurs achètent moins de consoles et les consommateurs ne sont pas disposés à remplacer leurs smartphones ou ordinateurs portables actuels.

Mais ce mois-ci a vu une certaine amélioration.

Le constructeur chinois de véhicules électriques Xpeng accélère ses livraisons après avoir repris la production en double équipe à la mi-mai dans son usine de Zhaoqing, une ville du sud du pays, a déclaré le président He Xiaopeng aux analystes cette semaine.

Tesla a ajouté une deuxième équipe à son usine de Shanghai jeudi.

Alibaba Group a invoqué des risques liés à une pandémie et d'autres incertitudes jeudi pour ne pas publier de prévisions pour son nouvel exercice commercial.

La banque centrale de Chine a déclaré jeudi qu'elle allait promouvoir davantage de crédits pour les petites entreprises.

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Besançon. Violent accident à Chailluz : quatre jeunes gravement blessés, alors qu'ils fêtaient un ... - Est Républicain

Le paisible chemin des dessus de Chailluz brillait de mille feux, ce jeudi alors que tombait la nuit, éclairée par une inquiétante myriade de gyrophares. Ceux des nombreux véhicules de pompiers et de police mobilisés sur les lieux.

Il était 21h environ, quand un automobiliste de 26 ans a brutalement perdu le fil de sa trajectoire. Selon les premiers éléments d'enquête, sa voiture aurait violemment heurté l'avant gauche d'une Golf stationnée sur le bas-côté, avant de partir en tonneaux. Un choc d'une grande brutalité.

Le véhicule a terminé sa course contre des arbres, sa tôle enfoncée, face à la chaussée.

Trois victimes sur cinq piégées dans la voiture

A l'arrivée des premiers secours, deux des cinq occupants s'étaient extraits de l'habitacle par leurs propres moyens, l'un d'eux tentant de donner l'alerte en s'invitant dans une maison voisine.

Le bilan est lourd. Le pronostic vital du conducteur, qui a dû être désincarcéré, était engagé au moment de son départ pour le CHU, plus d'une heure après la spectaculaire sortie de route. Ses trois passagers arrière - deux garçons de 18 ans et une adolescente de 16 ans - sont gravement blessés. Seul le passager avant semblait moins sévèrement touché, selon un premier bilan des pompiers et du Samu.

De nombreux proches sur place

Prévenus par téléphone, de nombreux proches des victimes se sont aussitôt rendus sur les lieux de l'accident. Certains avaient les yeux rougis, tous essayaient de comprendre l'origine de la collision.

Selon nos informations, le conducteur fêtait son anniversaire ce jeudi. Un dépistage d'alcoolémie devait être effectué à l'hôpital, où les cinq victimes ont été conduites par les secours, précisait sur place la police.

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