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Monday, January 31, 2022

Montauban. Belle soirée inaugurale au théâtre pour le festival "Alors raconte !" - ladepeche.fr

Jeudi soir, le théâtre Olympe-de-Gouges accueillait la soirée inaugurale du 26e festival "Alors… Raconte !", en présence du président du Conseil départemental Michel Weill.

De nombreux spectateurs ont pu apprécier gratuitement, pendant plus de deux heures, le récit de la vie de Clément Bouscarel, ce Lotois qui se définit comme un paysan conteur occitan animé du bon sens paysan.

Un premier conte qui lance ce festival totalement gratuit, qui se déroule jusqu’au 18 février dans tout le Tarn-et-Garonne.

Ce festival "Alors… Raconte !" organisé par l’association des Amis de la Médiathèque de Tarn-et-Garonne, contribue à animer la vie culturelle du département. Il a offert aux Tarn-et-garonnais, en 25 ans, plus de 400 spectacles contés gratuits !

Ce 25e anniversaire aurait dû être fêté le samedi 5 février à Montbeton lors d’une "Soirée de la 25e heure", à laquelle sept conteurs étaient conviés. La situation sanitaire a contraint les organisateurs à annuler cette soirée. Ce soir-là, Colette Migné présentera seule son spectacle "Contes pour rire" à 20 h 30, à Montbeton (Espace Bourdette).

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Team17 se met aux NFT, alors que Troy Baker renonce - Gamekult

C'est l'heure de votre bulletin quotidien favori consacré aux NFT. Aujourd'hui, dans le monde merveilleux des jetons non fongibles, Team17 annonce des NFT de collection basés sur Worms tandis que Troy Baker range ses plans sous le tapis en faisant profil bas.

Il n'y a pas besoin d'être un grand éditeur employant des milliers de personnes pour s'intéresser aux tendances douces aux oreilles des investisseurs. La preuve avec Team17 qui s'apprête à lancer une série de NFT de collection en édition limitée basés sur Worms, sa franchise emblématique. La collection MetaWorms sera composée d'œuvres uniques générées par ordinateur qui seront vendues et protégées sur la blockchain Ethereum en partenariat avec Reality Gaming Group, un spécialiste du genre. Dans l'espoir sans doute de limiter le retour de flamme, Team17 s'est engagé à reverser une partie des recettes de ces futurs NTF à Coin4Planet, qui soutient des initiatives de développement durable, dont certaines avec des vers de terre, CQFD. "Worms reste une franchise emblématique du jeu vidéo mondial, avec des dizaines de millions de fans dans le monde entier. Nous sommes donc très enthousiastes et fiers d'annoncer notre partenariat avec Reality Gaming Group avant la sortie, plus tard dans l'année, d'une édition très limitée d'artwork NFT", a déclaré Harley Homewood, responsable de l'édition chez Team17.

Dans leur conquête de l'industrie du jeu vidéo, les NFT ont cependant perdu un ambassadeur de taille en la personne de Troy Baker, qui vient d'annoncer sur Twitter avoir abandonné son projet de partenariat avec VoiceVerseNFT, allant jusqu'à présenter ses excuses pour la formulation de son message initial, lequel pouvait certes laisser entendre que les personnes en désaccord avec ce partenariat étaient forcément des haters. À l'image de la baffe reçue par GSC Game World au moment d'annoncer des ventes aux enchères de NFT dont les gagnants auraient gagné une place de PNJ dans Stalker 2, le populaire comédien ayant prêté sa voix à des personnages comme Snow Villiers (Final Fantasy XIII), Booker DeWitt (BioShock Infinite), Pagan Min (Far Cry 4), Samuel Drake (Uncharted 4), Higgs (Death Stranding) et bien sûr Joel Miller (The Last of Us) a généré le traditionnel torrent de réactions défavorables. Particulièrement nébuleuse étant donné qu'il s'agit d'une fabrique de voix synthétiques, cette alliance avec VoiceVerse NFT devait permettre "d'explorer les moyens par lesquels nous pourrions apporter de nouveaux outils à de nouveaux créateurs pour faire de nouvelles choses, et donner à chacun une chance de posséder et d'investir dans la propriété intellectuelle qu'ils créent."

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Toulouse. La victime fait tout (mais alors tout) pour ne pas laisser son sac à ses agresseurs - actu.fr


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"Ces putschs nous 'scandalisent' aujourd'hui alors qu'ils ne surprenaient personne dans les années 70-80", con - franceinfo

En 2020, le Mali ouvrait une saison inédite de putschs sur le continent africain. Le plus récent vient de se produire au Burkina Faso, avec la destitution le 24 janvier du président Kaboré. Entretien avec Issaka Souaré, expert international sur les questions de paix, de sécurité et de gouvernance, et enseignant à l'Université Général Lansana Conté de Sonfonia-Conakry. Le politologue guinéen dirige actuellement le Programme Sahel/Afrique de l'Ouest de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI). 

Franceinfo Afrique : des militaires sont au pouvoir au Mali, en Guinée et au Soudan. D'autres s'installent au Burkina Faso. Assiste-t-on à une résurgence des coups d'Etat en Afrique ? 

Issaka Souaré : depuis les indépendances, nous sommes à 95 coups d'Etat réussis, sans compter celui au Burkina Faso. Le premier, en Egypte, s'est produit en juillet 1952. Le dernier putsch en date, exception toujours faite du cas burkinabè, est celui du 5 septembre 2021 en Guinée. Un coup d’Etat "réussi" étant une prise du pouvoir par des éléments des forces de sécurité ou de défense qui parviennent à le garder pendant au moins une semaine. Dans la décennie 1971-1980, il y a eu 25 coups d'Etat réussis. Il y en a eu une quinzaine dans chacune des deux décennies suivantes (1981-1990 et 1991-2000). Huit dans la décennie 2000 et, de 2011 à 2020, il y en a eu seulement six. On voit bien que le curseur baisse.

D’un point de vue quantitatif, il n’y a donc pas de résurgence. Mais d’un point de vue qualitatif et temporel, force est de constater qu'il y en a une. On s’attendait à dire au revoir aux coups d’Etat avec la démocratisation, amorcée au début des années 90, et les instruments régionaux condamnant ces prises de pouvoir et qui existent depuis deux décennies sur le continent. Ces putschs nous "scandalisent" aujourd'hui alors qu'ils ne surprenaient personne dans les années 70-80. Toutefois, tout n’est pas sombre car, à côté de ces coups de force, il y a aussi des alternances pacifiques. Ainsi, 30 chefs d’Etat africains ont été battus aux élections depuis 1990 et une trentaine également a quitté le pouvoir après avoir épuisé leurs mandats constitutionnels.

En 2007, vous publiez "Guerres civiles et coups d'Etat en Afrique de l'Ouest" (L'Harmattan) où vous expliquez les causes de ces putschs. Sont-elles toujours d’actualité ?

En premier lieu, ces coups d'Etat sont liés à des questions de gouvernance, telle qu’appréciée par la population et les putschistes. Je prends l’exemple de ceux qui ont destitué feu l’ancien président malien, Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) : l’intervention des militaires est venue en épilogue à plusieurs semaines de manifestations populaires contre la gouvernance d’IBK. Soit les militaires se sont alignés sur les populations civiles de façon sincère, soit ils ont été opportunistes.

Parmi les autres facteurs explicatifs, on retrouve des motivations corporatistes : nombre des 25 coups d’Etat dans les années 70-80 étaient des contre-coups, c’est-à-dire des militaires qui en chassent d’autres du pouvoir. De même, ces derniers peuvent interférer dans la sphère politique s'ils estiment être négligés dans les avancements en grade au profit de gens moins compétents qu’eux ; ou que leur hiérarchie, composée de généraux, ne se soucie pas d'eux. Cela explique que beaucoup de putschs soient menés par des sous-officiers.

Comme on le voit au Burkina Faso, les conditions de travail des militaires, et plus généralement des forces de sécurité et de défense, comptent beaucoup. D'autres raisons comme les interventions extérieures peuvent être à l'origine de ces coups de force. C'est moins le cas aujourd'hui qu’à l’époque, par exemple, de Bob Denard (mercenaire français impliqué dans de nombreux coups de force en Afrique, NDLR). Tous ces facteurs restent d'actualité, mais les questions de gouvernance prédominent aujourd'hui

Quelle est votre analyse des putschs au Soudan et au Tchad ?

Au Soudan, l’armée a dominé la vie politique depuis trop longtemps. Comme en Egypte, elle est investie dans beaucoup de domaines clés qu’elle ne compte pas lâcher de sitôt. Quant au Tchad, il y a la question de la famille Déby, et plus largement celle du clan qui n’est pas majoritaire dans le pays. La perte du pouvoir, au profit de quelqu’un d’autre en dehors de cette famille, pourrait être douloureuse pour elle.

Les organisations panafricaines se sont dotées de mesures pour empêcher l'arrivée au pouvoir des militaires. Quelles sont celles de l'Union africaine (UA) et de la Cédéao qui a sanctionné récemment plusieurs pays ? 

Deux instruments existent au niveau de la Cédéao. A savoir le Protocole de mai 1999 relatif au mécanisme de prévention, de gestion, de règlement des conflits, de maintien de la paix et de la sécurité et son Protocole additionnel de 2001. Quant à l'Union africaine, elle en compte trois : la Déclaration de Lomé de juillet 2000, l’article 25 de la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance adoptée en 2007 mais qui est entrée en vigueur en février 2012, et l’article 30 de l’Acte constitutif de l’Union africaine. Dans ce domaine, la Cédéao est plus avancée que l'UA parce que son protocole additionnel interdit également la modification de la Constitution ou des lois relatives aux élections dans les six mois avant leur tenue.

Comment expliquez-vous la défiance suscitée par les sanctions de la Cédéao contre Bamako ?

C'est le résultat d'une différence d'appréciation de la situation entre les populations et les organisations africaines. Face aux troisièmes mandats en Côte d’Ivoire et en Guinée, la Cédéao n’a pas agi comme l'espéraient certains citoyens de la sous-région pour qui ce qui s’est passé dans ces pays – il y a eu des morts  était condamnable. Contrairement aux coups d'Etat, la Cédéao ne dispose pas d’instruments qui interdisent explicitement ces troisièmes mandats. Elle ne peut s’y opposer que si la modification intervient dans les six mois précédant les élections, comme ce fut le cas au Niger sous Mamadou Tandja en 2009. Le pays avait été alors suspendu de la Cédéao. 

Par ailleurs, au Mali, le positionnement de la France est l’un des facteurs qui permet aux militaires de jouer sur la fibre nationaliste. Paris est devenue incohérente sur le Mali parce qu’il y a eu le Tchad : elle accueille le coup d’Etat chez le second et tape fort sur le premier. A cela s’ajoute les propos des dirigeants français que l’on peut considérer comme paternalistes à l’égard des Maliens. L’incohérence des Français peut être interprétée du côté malien comme étant lié au fait que Bamako se tourne vers la Russie. Tous ces éléments s’ajoutent à l’ignorance du fonctionnement de la Cédéao et motivent ce ressenti exprimé dans la population malienne et au-delà. Autrement, la position de la France sur les coups d’Etat est conforme aux instruments de la Cédéao qui avait pris les mêmes sanctions contre le Mali en 2012. Paris était alors le meilleur allié de ce pays

Que faudrait-il faire pour réduire l'instabilité politique dans des pays qui ont besoin d’Etats forts pour sortir d'abord du sous-développement et, ensuite pour certains, de l'insécurité ?

La limitation des mandats peut aider. Sur les 15 membres de la Cédéao, par exemple, tous ont un article sur la question, sauf la Gambie où le président Barrow vient d’être réélu. Une exception à laquelle il faut ajouter aujourd'hui le Mali, la Guinée et le Burkina Faso dont les Constitutions sont dissoutes. En 2015, la Cédéao a entamé une démarche dans ce sens après les événements de 2014 au Burkina Faso (les Burkinabè sont descendus dans la rue pour empêcher l'ancien président Blaise Compaoré de s'éterniser au pouvoir en modifiant la Constitution, NDLR). L'interdiction a été proposée mais elle avait été alors mise en échec. Cependant, le chef de l'Etat ghanéen Nana Akufo-Addo, qui en est aujourd'hui le président en exercice, a relancé le processus. Si la Cédéao pouvait modifier son Protocole additionnel de 2001 en interdisant les troisièmes mandats, nous aurions alors des leaders qui ne règneraient pas plus de douze ans en Afrique de l’Ouest.

Evidemment, dans les pays qui font face aux défis sécuritaires aigus, comme le Mali, le Burkina Faso, le Tchad, voire le Niger ou le Nigeria, il y a lieu de revoir les stratégies de lutte contre les groupes armés qui doivent allier des mesures sécuritaires à des dispositifs politiques et économiques. Il faudra également s’assurer que les forces de défense et de sécurité soient mises dans de bonnes conditions de service, en termes de formation et d’équipement, pour leur permettre de mieux s’acquitter de leur mission de sauvegarde de l’intégrité territoriale de leurs pays et de protection de leurs concitoyens. Par ricochet, les militaires auraient moins d’arguments pour s'immiscer dans la vie politique de leur pays.

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Sunday, January 30, 2022

Pénurie de main-d’œuvre : alors que les cahiers des charges "surchauffent", le BTP peine à recruter - LaDepeche.fr

l'essentiel Dans le secteur du Bâtiment et des Travaux Publics, la demande peine à suivre les offres d'emploi. En 2022, le BTP pourrait être amené à recruter entre 25 000 et 30 000 personnes alors qu'il est en capacité à embaucher trois fois plus de travailleurs. 

Dans le Bâtiment et les Travaux publics (BTP), les difficultés liées au recrutement ressemblent à un véritable serpent de mer. En 2005, le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Credoc), pointait déjà du doigt un secteur qui avait du mal à attirer la main-d’œuvre. "Le Bâtiment est doté d’une mauvaise image auprès des jeunes : il compte parmi les secteurs les moins attractifs", affirmait alors le document. "C'est vrai, l’image du métier était dégradée à l’époque, commente Olivier Salleron, président de la Fédération française du Bâtiment. Le secteur a beau souffrir de cette image, il a cependant su revaloriser ses métiers".

Oui, le Bâtiment fait face à une pénurie de main-d’œuvre : "On estime que la filière serait en capacité de recruter près de 100 000 travailleurs de plus en 2022, pour réaliser davantage de chiffres d'affaires. Nous n'en embaucherons qu'entre 25 000 et 30 000", estime le président de la Fédération. Alors que les cahiers des charges sont en "surchauffe", les candidats à l'emploi ne sont pas assez nombreux dans le BTP. Le secteur affiche cependant une demande croissante de postes qui bat des records sur ces dernières années. "Nous avons recruté plus de 100 000 personnes depuis le début de la pandémie, c'est du jamais vu", se réjouit Olivier Salleron. 

La rénovation énergétique en demande

Si de nombreux métiers "traditionnels" du BTP (des maçons aux plombiers, en passant par les électriciens, les plaquistes et les carreleurs) affichent d'importants besoins, la rénovation énergétique est le secteur le plus en manque : "Les moyens sont mis sur la rénovation énergétique des logements et des bâtiments, explique le président de la Fédération. Il y a une technicité supplémentaire à acquérir dans ces domaines et ce sont de nombreux métiers qui sont concernés, comme les chauffagistes, les plâtriers, les couvreurs, les étancheurs, et les menuisiers". 

Pour remédier à cette pénurie, le BTP entend agir sur deux volets. Le secteur souhaite ainsi accélérer la cadence sur les formations : "Nous comptons près de 80 000 élèves en apprentissage aujourd'hui. En parallèle, nos CFA peuvent en accueillir 25% en plus", estime Olivier Salleron. Le Bâtiment entend également changer son image, notamment auprès des jeunes. Pour y parvenir, le secteur envisage de lancer une campagne de communication nationale, en misant entre autres sur des influenceurs. 

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Cri du cœur des gyms | « On est mis de côté, alors qu'on pourrait contribuer » - La Presse

Pas d’entraînements à l’intérieur, mais des manifestations à l’extérieur. La plupart des gyms qui comptaient ouvrir leurs portes dimanche ne l’ont finalement pas fait, plusieurs ayant tenu des rassemblements devant leurs commerces, pour lancer un cri du cœur au gouvernement Legault. Certains ont toutefois choisi de défier les règles.

Publié à 17h02
Henri Ouellette-Vézina
Henri Ouellette-Vézina La Presse

« On n’ouvrira pas tant que ça ne sera pas permis. Mon but, ça n’a jamais été d’ouvrir et de briser les règles, c’était surtout de passer un message. Et ce qu’il faut surtout retenir, c’est que de s’entraîner dans nos centres de conditionnement, c’est sécuritaire », lance le propriétaire du gym L’Atelier de Laval, Hugo Lauzon.

Sur la façade de cet établissement du boulevard Industriel, qui donne surtout des cours de groupe, plusieurs pancartes affichent des slogans, dont « on fait partie de la solution ». « On est très bien capables de contrôler ce qui se passe », fait valoir l’homme d’affaires. « Il n’y a pas 500 personnes laissées libres ici. On est 8-12 personnes à la fois. Moi, je suis en avant, je coache. Je vois tout ce qui se passe », dit-il.

PHOTO CATHERINE LEFEBVRE, LA PRESSE

« Ce qu’il faut surtout retenir, c’est que de s’entraîner dans nos centres de conditionnement, c’est sécuritaire », lance le propriétaire du gym L’Atelier de Laval, Hugo Lauzon.

Comme l’instigateur du mouvement #lasantéenpremier, le co-propriétaire du club Le Vestiaire Karim El Hlimi, Hugo Lauzon déplore la perception négative à l’égard des gyms de manière générale, depuis le début de la pandémie. « Les gens pensent toujours que c’est un paquet de monde ensemble. Mais ce n’est pas ça. Dans notre cas, c’est un groupe restreint qui fait attention à sa santé, qui veut se motiver ensemble. On n’est pas des méchants, on veut aider. »

« On entend parler de réorganisation le système de santé. Ça serait bon de nous mettre de l’avant. Là, on est mis de côté alors qu’on pourrait contribuer. On demande juste à travailler. On est tous capables d’aider, mais on ne nous laisse pas aider en ce moment », insiste-t-il, avant d’ajouter : « Il n’y a pas de nouvelle initiative qui est prise par le gouvernement, alors que nous, on fait de la prévention pour les cancers, les maladies du cœur. On n’en parle pas de ça, alors que c’est hyper important pour nos générations futures. »

Certains gyms ont toutefois bel et bien décidé d’ouvrir leurs portes, et de défier les consignes de Québec. C’est notamment le cas du Gym Proactif, à Drummondville, qui a reçu la visite des policiers de la Sûreté du Québec à peine quelques heures après son ouverture. « On avait vraiment une approche axée sur la sensibilisation en premier lieu. Les policiers ont avisé les gens sur place du décret en vigueur, puis ils ont demandé de faire cesser les activités. Le responsable sur place a collaboré et fermé son établissement », a indiqué la porte-parole du corps policier, Catherine Bernard. La copropriétaire du centre d’entraînement, Mylène Arseneau, a affirmé dimanche à Radio-Canada qu’elle ne regrettait pas son geste, indiquant que « ce petit trois heures a fait du bien à tellement de personnes ce matin » et que « ça aura valu la peine ».

« Je leur demande d’être solidaires »

Un rassemblement s’est aussi tenu en matinée devant le Club Le Vestiaire, à l’extérieur avec animation et musique. Mais aucun entraînement ne semble s’être tenu à l’intérieur. Au passage de La Presse, quelques curieux tentaient d’entrer dans l’établissement de la rue Jeanne-Mance, dont les portes étaient barrées.

« On devrait être intégré dans l’équation pour alléger le travail de nos collègues dans les hôpitaux », avait soutenu la semaine dernière Karim El Hlimi, dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux mercredi, qui a été largement partagée par des centaines d’internautes. Il avait alors affirmé que son gym ouvrirait le 30 janvier, « une journée, dans le plus grand respect des mesures sanitaires, afin de démontrer l’importance de notre métier et de notre rôle dans la société ».

PHOTO CATHERINE LEFEBVRE, LA PRESSE

En début d’après-midi, dimanche, le premier ministre François Legault a toutefois lancé un appel à la solidarité, implorant les gyms de respecter les consignes sanitaires. « Je leur demande d’être solidaires, comme la majorité des Québécois. Ce que je leur dis aussi, c’est de respecter la volonté de la majorité des Québécois, qui sont d’accord avec les consignes », a-t-il dit.

« On fait ça pour deux grandes raisons : minimiser le nombre de décès et garder un certain contrôle dans nos hôpitaux. Je comprends que les gens sont tannés, qu’ils auraient le goût d’aller au gym, de faire des gros partys, mais actuellement, avec 2900 hospitalisations, c’est encore élevé », a ajouté le premier ministre.

Il affirme que le Québec « s’en va dans bonne direction, qu’il y a de l’espoir », mais demande aux commerçants « d’être patients ». D’autres allégements pourraient d’ailleurs survenir dans les prochains jours. M. Legault a promis dimanche de faire « le tour de la situation » afin de déterminer si de nouveaux allégements sont possibles dans les prochains jours. Une rencontre est prévue lundi avec la Santé publique.

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Saturday, January 29, 2022

Affaire Otom : alors que le procès du graffeur de Nice s'ouvre le 3 février, les soutiens s'opposent - France 3 Régions

Le 3 février prochain devant la Cour de Justice des Seychelles, l’équivalent de nos assises, va s’ouvrir le procès de cet artiste de Nice accusé de meurtre sur sa compagne. Son entourage a lancé une cagnotte et évoque la personnalité de Thomas Debatisse.

L'exposition s'était tenue samedi 22 janvier dernier à Nice. Imaginée pour Otom, le nom d'artiste de Thomas Debatisse. Plusieurs dizaines d’œuvres réalisées par des artistes, le plus souvent des amis de ce graffeur niçois fondateur de Whole Street, une association dédiée au développement du Street Art sur la Côte d’Azur.

Évidemment, cela peut provoquer une certaine gène vu de l’extérieur alors que le principal intéressé est accusé du meurtre par étranglement d’Emmanuelle Badibanga, sa compagne, le 27 avril 2021 aux Seychelles et que son procès va bientôt démarrer.

La victime, gérante à Nice du lieu événementiel "La Passerelle", âgée de 32 ans, avait été retrouvée morte pendue à l’accroche-serviettes de la salle de bains de leur chambre d'hôtel de cet archipel de l'océan Indien par son compagnon Thomas Debatisse.

Depuis le début de l’affaire, des zones d’ombres subsistent dans ce dossier.

Contacté, l’avocat de Thomas Debatisse, Richard Sédillot, ne souhaite pas trop communiquer avant le début du procès prévu le 3 février prochain : "c’est le souhait des avocats sur place et de l’ambassade aussi pour protéger mon client".

Et ce, d’autant que la famille d’Emmanuelle Badibanga s’est confiée à nos confrères de Nice-Matin. Dans une interview, ses parents précisent pour, selon leur terme, rétablir la "vérité" que leur fille "n’était pas dépressive" ajoutant "qu’elle ne s’est pas suicidée".

Actuellement, Thomas est très malheureux, il partage la peine de la famille d’Emmanuelle. C’est très difficile, on préfère ne pas jouer la surenchère, mais si je suis persuadé que mon client est innocent".

explique l'avocat du graffeur.

L’affaire est éminemment sensible. Des éléments trouvés sur place, sur les lieux du drame, par les autorités locales, confirmeraient selon elles, que le meurtre a été commis par son compagnon.

Des éléments transmis au Parquet de Nice notamment les rapports de l’autopsie qui "infirmeraient cette thèse" avait rappelé Richard Sédillot lors d’une précédente interview à France 3 Côte d'Azur en octobre 2021.

La récente exposition consacrée à Otom à Nice, avait pour finalité de vendre des œuvres afin de récupérer de l’argent.

L’un des organisateurs de la vente, Fabene, un ami proche du graffeur confie : "on a fait cette exposition en solidarité à Thomas".

Comme embarrassé, il ajoute : "on connaissait Emmanuelle, ce drame nous a touché de plein fouet. On était là 50 artistes de tout bord. Il y a eu une importante mobilisation, on a été surpris".

Selon nos informations, quelques milliers d’euros ont ainsi pu être collectés : "cela va servir à aider les parents d’Otom pour financer le voyage vers les Seychelles à l’occasion du procès de leur fils".

De leur côté, les proches d’Emmanuelle Badibanga prévoient ce dimanche 30 janvier une marche à Fréjus dans le Var dont elle est originaire. Selon les organisateurs, l’association Les Randos du cœur, il s’agit là aussi de collecter une cagnotte pour permettre cette fois aux parents d’Emmanuelle d’assister de leur côté au procès.

Le collectif Save Justice Nice a été crée par des proches de la famille. Il a publié ce 26 janvier une tribune en ligne afin de défendre la mémoire de la jeune femme. Un texte signé part des "défenseuses et défenseurs et militant.e.s féministes qui luttons chaque jour à notre petit niveau pour les femmes que nous nous exprimons". Cette tribune revient notamment sur la tenue de l'exposition "Save Otom".

L'avocat de la famille d'Emmanuelle Badibanga que nous avons contacté pour recueillir son avis, est resté injoignable ce vendredi 28 janvier.

Le graffeur encourt une peine de prison à perpétuité si il est reconnu coupable des faits reprochés.

Le procès doit durer un mois.

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XV de France. Yoram Moefana : "Je me retrouve ici alors que je ne m'y attendais pas" - Actu Rugby


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« La France saborde son industrie plastique, alors que l'Europe ne nous demande rien ! » - Le Journal du dimanche

Le JDD. Sommes-nous en train de détruire l’industrie française du plastique ? Joseph Tayefeh. Nous mettons en place des mesures qu’aucun ...