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Friday, July 30, 2021

« J'ai vu les chiffres, et alors ? » : pendant les JO, les cas flambent à Tokyo - Le Point

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Un documentaire sur Michael Schumacher sur Netflix en septembre alors que son état de santé est tenu secret de - franceinfo

Le portrait du champion du monde de Formule 1 va raconter à la fois sa vie publique et sa vie privée, avec plusieurs interviews de ses proches.

Article rédigé par

France Télévisions Rédaction Culture

Publié Mis à jour

Temps de lecture : 1 min.

Un documentaire intitulé Schumacher sortira sur Netflix le 15 septembre 2021 et retracera la vie et la carrière du septuple champion du monde de Formule 1, qui n'a plus été vu en public depuis son grave accident de ski en 2013.

Le portrait de la légende du sport automobile, aujourd'hui âgée de 52 ans et dont l'état de santé reste tenu secret, est "le seul film soutenu par sa famille", annonce la plateforme dans un communiqué vendredi 30 juillet.

Des "interviews exclusives" de sa femme Corinna, de ses deux enfants Gina et Mick, lui-même pilote de F1 depuis cette saison, et d'autres proches (Jean Todt, Bernie Ecclestone) ou d'anciens concurrents (Sebastian Vettel, Mika Häkkinen, David Coulthard...) viendront rythmer le film qui sortira 30 ans après le premier Grand Prix de l'Allemand, en Belgique en août 1991.

"Afin de préserver sa sphère privée comme une source de force, il a toujours séparé avec rigueur et constance sa vie privée de sa vie publique. Ce film raconte les deux mondes. C'est le cadeau de sa famille à leur mari et père bien-aimé", déclare dans le communiqué Sabine Kehm, la manager de l'ancien pilote aux 91 victoires.

Michael Schumacher, septuple champion du monde de F1 (1994-1995 avec Benetton, 2000-2004 avec Ferrari), a disputé son dernier GP en 2012 avec Mercedes. On ne l'a plus revu en public depuis sa grave blessure à la tête le 29 décembre 2013 à Méribel, dans les Alpes françaises.

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Thursday, July 29, 2021

Paris : une policière en civil percutée alors qu'elle roulait en trottinette, son pronostic vital engagé - France Bleu

Une policière en civil a été renversée ce mercredi en début d'après midi rue de Dijon (Paris 13e) près du parc de Bercy, alors qu'elle se rendait au travail en trottinette électrique. L'accident a impliqué une ambulance et un bus de la RATP. Le pronostic vital de la victime est engagé. 

Le dernier accident de trottinette à Paris remonte au 14 juin dernier. Deux femmes roulant à trottinette avait mortellement percuté une Italienne de 32 ans. Elles ont été interpellées et mises en examen 10 jours plus tard. 

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Drôme : quatre cambrioleurs présumés arrêtés après un accident, alors qu'ils prenaient la fuite - France Bleu

Quatre cambrioleurs ont été interpellés à Beaumont-Monteux, entre Tain l'Hermitage et Romans-sur-Isère, ce mercredi après-midi. Leur voiture venait d'en percuter une autre alors qu'ils avaient pris la fuite.

Vers 16h30, ces quatre jeunes ressortissants roumains âgés d'une vingtaine d'années ont été mis en fuite par une habitante de Clérieux, alors qu'ils s'attaquaient à sa maison. Ils sont partis à bord d'un véhicule, mais dans la précipitation, ils ont heurté une autre voiture quelques kilomètres plus loin

Le conducteur, blessé aux bras, a été hospitalisé. Il doit être opéré ce jeudi. Les trois autres ont été interpellés par les gendarmes, alors qu'ils prenaient la fuite à pied, dans les vignes. Ils ont été placés en garde à vue

Il n'y a pas eu de blessé dans l'autre voiture.

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Wednesday, July 28, 2021

Alors, est-ce qu'on doit écrire «pass» ou «passe» sanitaire ? - Libération

C’est le nouveau le ou la Covid, version 2021. La graphie du «pass·e» sanitaire divise. Le gouvernement a préféré la forme courte, sans «e» final, sur le modèle de son Pass culture. Mais le 1er juillet l’Académie française a proposé «passe». Enfin même la passe sanitaire, au féminin, même si elle admet le masculin. Dans les médias, de plus en plus de titres passent au «passe», même s’il reste pour l’instant une forme très minoritaire dans les articles publiés ces trente derniers jours. A Libération, on a décidé de garder «pass», ce qui nous vaut une flopée de messages de lecteurs mécontents de cette graphie. Pourtant, personne n’est jamais entré en croisade pour ou contre l’une des formes de clé/clef. Alors, pourquoi ces crispations autour de «pass» ?

Déjà, parce que c’est un anglicisme. C’est la première justification de l’Académie française pour rejeter «pass». Car les anglicismes, c’est mal. Sauf cabine, redingote, tabou, véranda, bifteck ou même bol. Tous ces mots, et des quantités d’autres, ont un jour été empruntés à l’anglais, puis ont parfois changé de forme, se sont transformés. Et aujourd’hui, personne ne s’insurge de leur utilisation.

Depuis plusieurs siècles, ces échanges linguistiques – les Britanniques adoptent aussi beaucoup de nos mots – préoccupent bon nombre de locuteurs qui s’érigent en gardiens d’une langue française plus pure. Le linguiste Edouard Bonnaffé faisait ainsi remonter «l’envahissement» de l’anglais au XIXe siècle, dans un livre paru en… 1920.

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Le reste de la justification de l’Académie française rend tout aussi perplexe. Déjà parce qu’elle prône le féminin, à rebours des pratiques courantes. «Les Académiciens se présentent comme les greffiers de l’usage, c’est-à-dire qu’ils doivent normalement arbitrer entre plusieurs usages. Mais dans ce cas, ils ont pris la décision seuls, en invoquant des exemples littéraires anciens, alors que personne n’utilise le féminin», déplore le maître de conférences en linguistique française à l’université de Lorraine, Christophe Benzitoun, auteur de l’essai Qui veut la peau du français ?

En plus, souligne-t-il, le texte de justification a été repris presque mot pour mot depuis le site du Trésor de la langue française informatisé, sans que les «immortels» ne mentionnent leur source.

Liberté d’expression

Du travail un peu bâclé, qui n’est pas sans rappeler celui sur «la» Covid, dont l’Académie avait décrété la féminisation en mai 2020, plusieurs mois après l’installation du masculin dans l’usage courant. Là encore, avec une justification qui ne tient pas la route, pointe Christophe Benzitoun : «Si on suit leur règle, on devrait dire aussi la week-end parce que fin de semaine est féminin.»

Mais alors, si l’Académie française n’est pas vraiment en mesure de déterminer ce que l’on doit dire et ne pas dire, qui peut-on suivre pour savoir comment écrire «pass·e» ? En fait, qui décide du bon français ? «Personne !» s’amuse le linguiste de l’université de Lorraine. Il explique : les mots qu’on peut employer et la forme qu’on peut utiliser sont protégés par la liberté d’expression. Cela fait partie des droits de l’homme. Ainsi, personne ne peut obliger les médias à préférer une graphie à l’autre. En général, chaque titre décide d’uniformiser ses pratiques et inscrit ses propres règles dans une charte.

Désaccords entre dictionnaires

Chez Libé, ce sont les chefs du service édition qui tranchent ce genre de questions. Ils ont décidé de garder «pass», «au bout d’une discussion d’environ dix-sept secondes où on s’est tous dit que c’était bizarre de mettre un ‘‘e’’ à pass», raconte Jérôme Balazard, l’un des chefs. Il explique : «On suit l’usage, c’est un mot anglais passé dans la langue française, ça n’a pas de sens de le franciser.» Si l’on en croit les recherches saisies sur Google, cette forme est extrêmement dominante, même si on remarque une légère augmentation de l’utilisation du «passe» depuis le 10 juillet.

Le chef du service édition de Libération cite également l’exemple du Navigo, la carte de transports d’Ile-de-France, qui s’écrit généralement «pass» dans la presse. A l’exception notable du Monde, dont le service correction recommande le «e» final, qu’il soit Navigo ou sanitaire. «Le mot est dans le Larousse et le Robert, dictionnaires usuels que nous utilisons en première intention. Tout simplement. Le mot ‘‘pass’’ est un anglicisme», explique Zdenka Stimac, l’une des correctrices. En revanche, le journal a dû se résoudre à adopter le Pass culture, qui est une marque déposée.

«L’obligation d’écrire correctement s’impose uniquement en contexte scolaire, dans les concours et dans l’administration. Dans ce dernier cas, il y a une commission terminologique qui décide des mots à utiliser. A l’école, c’est plus flou», déroule Christophe Benzitoun. Il n’y a aucun texte officiel qui fixe les règles et terminologies. Alors, les profs se basent sur les dicos, les précis de grammaires et décident des bons usages un peu à leur sauce.

«Il y a plusieurs milliers de mots où les dictionnaires ne sont pas d’accord», rappelle le linguiste. Et ce n’est pas grave. C’est même plutôt une richesse. Mais en France, déplore-t-il, on s’en tient souvent à une vision très puriste de la langue, contrairement aux Anglo-Saxons, par exemple, qui ne s’alarment pas des variations orthographiques d’un mot.

Pässse sanitaire

On peut donc même écrire «pässse» si ça nous chante. Bon, le but d’une langue est quand même de se comprendre. Et ces petits points sur le «a» avec cette prolifération de «s», inhabituels pour un œil francophone, induirait probablement en erreur le lecteur.

Ces petits débats sur la langue française sont aussi et souvent un bon prétexte pour étaler son savoir grammatical et de reprendre comme un maître d’école ceux qui «pallient à», qui «s’excusent» et qui «se rappellent de quelque chose». Et de rappeler, tel un stylo rouge, qu’on pallie quelque chose, qu’on ne s’excuse pas soi-même et qu’on se rappelle quelque chose… Mais le fait de rabâcher des formes anciennes n’a plus beaucoup de sens quand la pratique a changé, rappelle le linguiste : «Même si l’usage majoritaire est impropre, l’usage a sa logique propre.»

Cette rigidité face au changement, bien française, a un impact direct sur l’apprentissage de notre langue, surtout à l’écrit, selon Christophe Benzitoun. Il estime que cela creuse de plus en plus l’écart entre le français parlé, qui évolue sans cesse, et sa version écrite, corsetée dans des règles d’un autre siècle.

«C’est ce qui fait que le niveau en orthographe chute et on peut prédire qu’il va encore baisser, au fur et à mesure de cette décorrélation», analyse-t-il. Et d’inviter à se sentir plus libre avec la langue, un «outil de liberté plutôt que d’oppression». Donc d’écrire «pass.e» comme ça nous chante.

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Pourquoi les beignets tunisiens de Calais sont fermés alors que la saison bat son plein? - La Voix du Nord

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Covid-19 : Les hôpitaux manquent d’effectifs alors que l’épidémie repart - Radio Classique

Face à la quatrième vague, l’accélération de la vaccination n’a pas permis de limiter l’engorgement des hôpitaux. Or les effectifs hospitaliers sont au plus bas…

Olivier Véran le ministre de la Santé reste « droit dans sa blouse blanche » raconte le Canard Enchaîné

Le Canard Enchaîné écrit ce matin qu’à l’hôpital Bichat par exemple, un mail interne sonne l’alerte : « de nombreux soignants sont à l’arrêt dans l’ensemble des services et les demandes d’intérim aujourd’hui ne sont plus honorées ». Jusqu’ici les plannings étaient parsemés de trous, ils sont devenus de véritables gruyères, raconte le Canard : à l’hôpital Lariboisière, dans le 10ème arrondissement de Paris, 40% du personnel infirmier a donné sa décision de quitter le service de réanimation. Un cardiologue explique : « avant l’hôpital tenait sur les bonnes volontés, mais là les gens sont en arrêt ou dégoûtés, on ne trouve plus de remplaçants ». Alors la seule solution, parfois, c’est de fermer.

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A Hénin-Beaumont, dans le Pas-de-Calais, les urgences baissent le rideau de 20h à 8h du matin depuis début juillet. A Agen, l’antenne du SMUR est close du 25 juillet au 30 août. Il y a aussi des clôtures ponctuelles, en Charente et dans la Sarthe. La situation est inédite, pourtant Olivier Véran le ministre de la Santé reste « droit dans sa blouse blanche » raconte le Canard Enchaîné. Aucun indicateur n’atteste d’une fuite de l’hôpital. L’hebdomadaire satirique conclu : « il faudrait peut-être trouver un indicateur sur la fiabilité de ses indicateurs ».

Marc Bourreau

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Alors qu'elle conduit, elle découvre un serpent à ses pieds - L'Aisne Nouvelle

IL S’EN PASSE

Nous sommes le jeudi 22 juillet, il est 19 heures environ. La température est bonne, le ciel est clément ce jour-là, sur la route entre Haybes et Fumay, dans les Ardennes. Saida Ifourah conduit sur la D8051, elle doit se rendre à Rocroi.

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Tuesday, July 27, 2021

Alors que la France est "en retard", le Royaume-Uni s'est emparé du problème du Covid long - LCI

OUTRE-MANCHE - Près de 6 millions de Français ont été contaminés par le Covid-19, dont certains ont développé un Covid long. Mardi, sur LCI, Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière, s'inquiète du retard pris par la France sur le sujet et prend l'exemple de la Grande-Bretagne.

"15 millions aux États-Unis, 4 à 5 millions en Grande-Bretagne" : pour Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière (AP-HP), "le Covid long est une épidémie" à prendre très au sérieux. Invité ce mardi 27 juillet au matin sur LCI, le professeur affirme que la France a "beaucoup de retard" sur le sujet.

"En Grande-Bretagne, on a construit des cliniques Covid long, dont certaines réservées aux enfants. C'est vous dire l'ampleur du problème", fait-il remarquer. Alors que 6 millions de Français ont déjà été contaminés par le Covid-19, nous avons été voir comment les formes longues de la maladie étaient prises en charge outre-manche et ce qui pourrait inspirer un futur plan national Covid long.

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Coronavirus : la pandémie qui bouleverse la planète

A quel stade en est l'épidémie, département par département ?

50 millions d'euros pour la recherche sur le Covid long au Royaume-Uni

Au Royaume-Uni, où près d'un million de personnes sont atteintes d'un Covid long, la problématique a été abordée très rapidement. Dès le mois de mars 2020, des scientifiques du King's College de Londres ont co-développé une application mobile pour suivre les symptômes du Covid-19, téléchargée depuis par plus de 4,5 millions de personnes. En octobre, les données collectées ont permis de réaliser une première étude sur l'étendue du Covid long dans le pays. Sur un échantillon de 4000 personnes testées positives, une sur sept rapportait souffrir encore de symptômes après un mois et une sur vingt après deux mois.

Une autre étude, réalisée par l'Imperial College de Londres sur plus de 500.000 Britanniques et dont les conclusions ont été dévoilées fin juin, montre qu'un tiers des patients est en fait concerné par un Covid long et qu'environ une personne sur dix est touchée par des symptômes graves et persistants. Selon les auteurs de ces travaux, la probabilité de subir un Covid long augmente de 3,5% au cours de chaque décennie. Un patient âgé de 60 ans présente donc un risque plus élevé de 3,5% de développer cette forme de la maladie par rapport à un patient âgé de 50 ans. Les scientifiques ont également mis en évidence d'autres facteurs de risque comme le surpoids ou l'obésité, le tabagisme, la précarité ou le fait d'avoir été admis à l'hôpital.

"Très inquiet" de ces données et désireux d'en apprendre plus sur la maladie afin de pouvoir mieux la traiter, le ministre de la Santé britannique, Matt Hancock, pousse la recherche pour "comprendre le Covid long". Le 18 juillet dernier, le gouvernement a annoncé qu'il allait financer à hauteur de 19,6 millions de livres sterling (23 millions d'euros) 15 études menées sur le Covid long. 30 millions de livres sterling (35 millions d'euros) avaient déjà été mis sur la table auparavant.

89 cliniques pour appréhender et traiter le Covid long

Au-delà de la recherche, la Grande-Bretagne a également souhaité agir rapidement sur le terrain, en montant dès octobre 2020, grâce à un budget de 156 millions d'euros, des cliniques spécialisées dans le Covid long. Elles sont désormais au nombre de 89. 15 d'entre elles sont même spécialisées en pédiatrie. Ces établissements sont accessibles à tout patient adressé par un professionnel de santé. Ils rassemblent des médecins, des infirmières, des physiothérapeutes et des ergothérapeutes qui, ensemble, fournissent des évaluations physiques et psychologiques des patients et les orientent vers les bons traitements et des rééducations adaptées. Ces remontées de terrain permettent d'autre part de faire avancer la recherche.

"Si je compare ce que nous pensions découvrir il y a un an et ce que nous avons en réalité découvert, c'est une vraie surprise", explique au Guardian Melissa Heightman, directrice d'une clinique Covid long dans le nord de Londres et consultante en médecine respiratoire. "Typiquement, les patients qui rentrent chez eux avec un bon accompagnement après avoir été hospitalisés vont de mieux en mieux avec le temps, alors qu'un patient long Covid qui n'a jamais été hospitalisé rencontre en réalité plus de difficultés", décrit le médecin, insistant sur l'importance d'un dépistage plus précoce des Covid longs afin de déployer rapidement les traitements adéquats. "Nous avons appris, avec le temps, à savoir quels tests réaliser, quelle est la meilleure approche avec les thérapeutes, avec les médicaments... (...) Je pense que cela fait vraiment une différence sur le long terme."

Le Covid long, une "urgence nationale" en France

Afin de structurer et renforcer sa lutte contre le Covid long, le Royaume-Uni a mis en place, en juin, un plan national de 117 millions d'euros afin de financer le fonctionnement de ces cliniques et d'améliorer l'accès des Britanniques à l'information sur le sujet du Covid long. "En France, c'est une urgence nationale", estime sur LCI Gilbert Deray. "Nous avons besoin d'un plan sanitaire national, de moyens alloués contre les Covid long et d'endroits spécialisés", insiste le chef du service néphrologie de la Pitié-Salpêtrière, insistant sur les symptômes "très invalidants" du Covid long. "C'est de la fatigue, des pertes de mémoire, on parle d'une baisse du quotient intellectuel, des douleurs partout..." Selon une étude publiée en mai par l'Inserm 60% des patients Français hospitalisés ont encore des symptômes 6 mois après.

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Si les symptômes du Covid-19 apparaissent ou persistent après quatre semaines, adressez-vous à votre médecin. D'autre part, l'association Covid Long France, gérée par un collectif de malades Covid longs, peut vous apporter un soutien.

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Alors que la France est "en retard", le Royaume-Uni s'est emparé du problème du Covid long - LCI
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Une femme percutée par une voiture alors qu'elle déambulait sur le côté de la RN41 - La Voix du Nord

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Covid long : alors que la France est "en retard", le Royaume-Uni s'est emparé du problème - LCI

OUTRE-MANCHE - Près de 6 millions de Français ont été contaminés par le Covid-19, dont certains ont développé un Covid long. Mardi, sur LCI, Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière, s'inquiète du retard pris par la France sur le sujet et prend l'exemple de la Grande-Bretagne.

"15 millions aux États-Unis, 4 à 5 millions en Grande-Bretagne" : pour Gilbert Deray, chef du service néphrologie à la Pitié-Salpêtrière (AP-HP), "le Covid long est une épidémie" à prendre très au sérieux. Invité ce mardi 27 juillet au matin sur LCI, le professeur affirme que la France a "beaucoup de retard" sur le sujet.

"En Grande-Bretagne, on a construit des cliniques Covid long, dont certaines réservées aux enfants. C'est vous dire l'ampleur du problème", fait-il remarquer. Alors que 6 millions de Français ont déjà été contaminés par le Covid-19, nous avons été voir comment les formes longues de la maladie étaient prises en charge outre-manche et ce qui pourrait inspirer un futur plan national Covid long.

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Au Royaume-Uni, où près d'un million de personnes sont atteintes d'un Covid long, la problématique a été abordée très rapidement. Dès le mois de mars 2020, des scientifiques du King's College de Londres ont co-développé une application mobile pour suivre les symptômes du Covid-19, téléchargée depuis par plus de 4,5 millions de personnes. En octobre, les données collectées ont permis de réaliser une première étude sur l'étendue du Covid long dans le pays. Sur un échantillon de 4000 personnes testées positives, une sur sept rapportait souffrir encore de symptômes après un mois et une sur vingt après deux mois.

Une autre étude, réalisée par l'Imperial College de Londres sur plus de 500.000 Britanniques et dont les conclusions ont été dévoilées fin juin, montre qu'un tiers des patients est en fait concerné par un Covid long et qu'environ une personne sur dix est touchée par des symptômes graves et persistants. Selon les auteurs de ces travaux, la probabilité de subir un Covid long augmente de 3,5% au cours de chaque décennie. Un patient âgé de 60 ans présente donc un risque plus élevé de 3,5% de développer cette forme de la maladie par rapport à un patient âgé de 50 ans. Les scientifiques ont également mis en évidence d'autres facteurs de risque comme le surpoids ou l'obésité, le tabagisme, la précarité ou le fait d'avoir été admis à l'hôpital.

"Très inquiet" de ces données et désireux d'en apprendre plus sur la maladie afin de pouvoir mieux la traiter, le ministre de la Santé britannique, Matt Hancock, pousse la recherche pour "comprendre le Covid long". Le 18 juillet dernier, le gouvernement a annoncé qu'il allait financer à hauteur de 19,6 millions de livres sterling (23 millions d'euros) 15 études menées sur le Covid long. 30 millions de livres sterling (35 millions d'euros) avaient déjà été mis sur la table auparavant.

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Covid long : alors que la France est "en retard", le Royaume-Uni s'est emparé du problème - LCI
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Affaire Carlos Ghosn : Rachida Dati mise en examen pour «corruption passive» - Libération

L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy est visée par une enquête du Parquet national financier sur ses prestations de conseil en tant qu’avocate auprès de l’alliance Nissan-Renault, présidée par Carlos Ghosn entre 2010 et 2013, alors qu’elle était élue au Parlement européen.

De témoin assistée à… mise en examen. La maire Les Républicains du VIIe arrondissement Rachida Dati a été mise en examen, ce mardi, pour «corruption passive», «trafic d’influence passif» et «recel d’abus de pouvoir» dans le cadre de l’affaire Carlos Ghosn, a appris France Info auprès de l’un de ses avocats, confirmant une information du journal satirique le Canard enchaîné.

L’ancienne garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy avait initialement échappé à ces poursuites en novembre, à l’issue d’un premier interrogatoire de seize heures des juges d’instruction, qui l’avaient alors placée sous le statut intermédiaire de témoin assisté. Neuf mois plus tard, Rachida Dati a finalement été reconvoquée pour une journée d’interrogatoire et mise en examen pour «corruption passive par personne investie d’un mandat électif public au sein d’une organisation internationale», en l’occurrence le Parlement européen où elle était élue, et «recel d’abus de pouvoir».

900 000 euros en question

Depuis de long mois, l’élue LR était visée par une enquête anticorruption du Parquet national financier (PNF) sur ses prestations de conseil en tant qu’avocate auprès de l’alliance Nissan-Renault présidée par Carlos Ghosn entre 2010 et 2013, alors qu’elle était députée européenne. La justice cherche notamment à déterminer si les 900 000 euros d’honoraires touchés par Rachida Dati entre 2010 et 2013 correspondent à des activités déterminées ou s’il s’agissait d’un emploi de complaisance, ayant pu masquer des activités de lobbying, interdites pour les députés européens.

Depuis l’été 2019, la justice enquête sur des contrats conclus par la filiale néerlandaise de l’alliance Renault-Nissan, RNBV, avec Rachida Dati alors que Carlos Ghosn était encore PDG du groupe automobile.

En novembre dernier, la candidate malheureuse aux municipales à Paris avait déjà été convoquée par le PNF en vue d’une mise en examen mais n’était finalement ressortie qu’avec le statut de témoin assisté. «Elle a démontré auprès des juges d’instruction qu’elle avait travaillé comme avocate entre 2009 et 2012 pour l’alliance Renault-Nissan», expliquait alors l’un de ses avocats, Olivier Pardo. Cette fois, l’ancienne ministre de la Justice est bien mise en examen et sa défense a, d’ores et déjà, annoncé qu’ils comptaient faire appel.

La nouvelle intervient alors que Rachida Dati envisage de se présenter, elle-aussi, à la primaire de la droite qui pourrait se dérouler l’automne prochain. «L’intention est réelle», confiait quelques heures plus tôt son entourage à Libération. Pour se déclarer, l’ex-garde des Sceaux attend d’avoir échangé avec les «trois sages» de la droite : le patron des Républicains, Christian Jacob, le président du Sénat, Gérard Larcher, et le maire d’Antibes chargé d’organiser la primaire, Jean Leonetti. Ce qui, toujours d’après l’entourage de la maire du VIIe arrondissement, était censé avoir lieu d’ici la fin de la semaine. A voir si ce nouvel épisode judiciaire pourrait contrarier l’hypothétique ambition présidentielle de Rachida Dati.

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Affaire Carlos Ghosn : Rachida Dati mise en examen pour «corruption passive» - Libération
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"alors" - Google Actualités

19h-20h : Alors que le gouvernement se remet en question après avoir été ciblé par le projet Pegasus... - Europe1

Deux heures d’actualité avec toute la rédaction d’Europe 1. De l'information, des débats d'actualité avec des éditorialistes, des invités, mais aussi des auditeurs.

Invités: 

Bernard Barbier, ancien directeur technique de la DGSE

Jean-Claude Tapia, Président d’Atos Digital Security 

Guillaume Tissier, qui est directeur associé de Avisa Partners, cabinet de conseil en intelligence économique, fortement spécialisé cyber et président du Forum international de la Cybersecurité

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Monday, July 26, 2021

À Brest, deux ados interpellés alors qu’ils tentaient de voler une voiture - Le Télégramme

Bretonnes d'influence. 13 - Lady Mond, la châtelaine de Belle-Isle [Podcast]

Durant la Belle Époque, Marie-Louise Le Manac’h, alias Maï, a connu un destin peu ordinaire, de Belle-Isle-en-Terre jusqu’aux palaces parisiens et londoniens où elle rencontre Robert Mond, surnommé le roi du nickel. Maï la Bretonne devient, en 1922, Lady Mond, l’une des femmes les plus riches du...

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Douai: encore une fois au volant alors qu'il n'a toujours pas le permis Il - La Voix du Nord

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Tunisie - La démocratie en crise alors que le président congédie Premier ministre et Parlement - L'Indépendant

La Tunisie fait face à sa plus grande crise en une décennie de démocratie après que le président Kaïs Saïed a congédié dimanche le gouvernement et gelé les travaux du Parlement, une démarche que ses rivaux ont dénoncée comme un coup d'Etat devant provoquer un mouvement de contestation dans la rue.

Dans un communiqué publié dimanche soir, le chef de l'Etat a invoqué la Constitution de 2014 pour démettre de ses fonctions le Premier ministre Hichem Mechichi et décréter le gel des activités parlementaires pour une durée de 30 jours, indiquant qu'il gouvernerait lui-même en étant épaulé par un nouveau Premier ministre.
Kaïs Saïed a fait cette annonce à l'issue d'une journée marquée par des manifestations à travers le pays pour demander la démission du gouvernement, sur fond de crise économique et sanitaire accrue et de colère grandissante à l'égard des dysfonctionnements politiques chroniques. Les contestataires ont particulièrement ciblé le parti islamiste modéré Ennahda, principale force du Parlement.
Il s'agit du virage le plus délicat amorcé par la Tunisie depuis la révolution de 2011, laquelle a provoqué le "Printemps arabe" et a mis fin à des décennies d'autocratie pour laisser place à des réformes démocratiques, sans toutefois déboucher sur une gouvernance satisfaisante et une prospérité économique.
Dans les heures ayant suivi l'annonce présidentielle, des foules se sont rassemblées dans les rues de la capitale Tunis et d'autres villes pour exprimer leur joie, en chantant et au son des klaxons, tandis que l'armée se déployait pour protéger l'enceinte du Parlement et le siège de la télévision publique.
Rached Ghannouchi, chef de file du parti Ennahda et "speaker" du Parlement, a dénoncé la décision de Kaïs Saïed comme un assaut contre la démocratie.
Il s'est rendu aux premières heures de la journée de lundi au Parlement, disant vouloir convoquer une session en signe de défiance à l'égard du chef de l'Etat, mais l'armée l'a empêché de pénétrer dans le bâtiment.
"Je suis contre rassembler tous les pouvoirs entre les mains d'une seule personne", a-t-il déclaré, appelant les Tunisiens à descendre dans la rue, comme ils l'avaient fait en 2011, pour contester la décision de Kaïs Saïed.

TENSIONS

Des images télévisées diffusées par la suite ont montré des dizaines de partisans d'Ennahda s'opposer à des partisans du chef de l'Etat près du Parlement. La police est intervenue pour éviter des heurts.
Kaïs Saïed, indépendant arrivé au pouvoir en 2019 en promettant de lutter contre la corruption et l'incompétence de l'élite politique, a rejeté les accusations de putsch. Il a assuré se baser sur l'article 80 de la Constitution et présenté sa décision comme une réponse à la paralysie économique et politique dans le pays depuis des années.
Alors que d'autres partis politiques représentés au Parlement ont dénoncé un coup d'Etat, le président tunisien a prévenu contre toute réponse violente aux mesures annoncées dimanche. "Quiconque tirera un coup de feu, les forces armées répondront avec des balles", a-t-il dit dans le communiqué relayé par la télévision publique.
"C'est le moment le plus joyeux depuis la révolution", a déclaré Lamia Meftahi, venue fêter dans le centre de Tunis l'annonce du chef de l'Etat. "Nous sommes débarrassés d'eux", a-t-elle ajouté à propos du gouvernement et du Parlement.
Banni avant la révolution de 2011, Ennahda n'a cessé de prendre de l'ampleur depuis lors, s'affirmant comme un membre incontournable des différentes coalitions gouvernementales.
Les élections législatives de 2019, organisées séparément de l'élection présidentielle, n'ont débouché sur aucune majorité, aucun des partis n'obtenant plus d'un quart des sièges du Parlement.
Nommé à la tête du gouvernement l'été dernier, Hichem Mechichi était depuis lors régulièrement en conflit avec Kaïs Saïed sur fond de crise économique et sanitaire.
Aux termes de la Constitution, le président dispose d'une pleine autorité seulement en matière de politique étrangère et en tant que chef des armées. Toutefois, après une débâcle gouvernementale dans la mise en place de centres de vaccinations contre le Covid-19 la semaine passée, Kaïs Saïed a demandé à l'armée de prendre en charge la lutte contre la crise sanitaire. 

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Le point sur les mesures sanitaires au Festival de Ramatuelle alors que les clusters se multiplient dans le Golfe de Saint-Tropez - Var-Matin

Rencontrée dimanche place des Lices à Saint-Tropez, à côté de la salle Despas où elle prépare une exposition consacrée à Juliette Greco, la présidente de l’événement, dont la direction artistique est assurée par Michel Boujenah, craint beaucoup les conséquences d’un relâchement, "si les gens ne portent pas le masque et ne se font pas vacciner ". Elle ne comprendrait pas un " manque de civisme et de solidarité", après tant de mois de confinement et d’arrêt de certaines activités, notamment culturelles.

"Un boulot de dingue"

"Je vais accueillir environ 20.000 personnes sur le site, j’ai donc une responsabilité. Tous les artistes sont testés, j’ai interdit cette année l’accès aux loges. Nous aurons à l’entrée un système de contrôle du pass sanitaire ou du test. Quelqu’un qui n’aura pas l’un ou l’autre ne rentrera pas. Si on a un cas, on est un cluster et c’est un désastre, car il n’y a pas d’assurance", détaille Jacqueline Franjou qui bénéficie cette année d’une jauge pleine (plus de 1.000 personnes par exemple pour Gad Elmaleh le 31 juillet et Fabrice Luchini le 7 août, deux des têtes d’affiche incontournables).

Bien sûr, même en plein air, le masque sera de rigueur. Et une tente sera installée près du célèbre théâtre pour y réaliser des tests.

Un gros travail en amont est ainsi réalisé avec deux pharmacies locales (celle de Ramatuelle et celle du Port à Saint-Tropez), concernant les tests et les vaccins. "Ça demande un boulot de dingue ", résume la responsable, qui ne souhaite évidemment pas baisser les bras si près du but. Et qui espère que tout le monde jouera le jeu.

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"Certaines huiles essentielles ont été sur-cultivées alors que le risque écologique était immense" - Decision-achats

Depuis le vote de la Loi Climat et résilience au Sénat, le 4 mai dernier, les entreprises vont devoir montrer patte verte dans leur production. Alors que certains industriels en sont encore au Greenwashing et que d'autres se concentrent sur leur propre empreinte écologique, et pas assez sur celle de leurs fournisseurs qui représente pourtant une grande partie de leur bilan carbone, Camille Pereira, fondatrice de la marque d'aromathérapie Medene, qui fabrique des huiles essentielles bios et équitables, démontre qu'il est possible de produire de façon plus responsable.

Camille Pereira, co-fondatrice de Medene

Où et auprès de qui achetez-vous les matières premières qui composent vos produits ? Est-il difficile de sourcer des producteurs qui répondent à vos cahiers des charges ?

Avant de lancer Medene, nous avons sillonné la France pour rencontrer des producteurs d'huiles essentielles. Nous voulions des produits bio, et savoir comment ils étaient produits, notamment en vérifiant le temps de distillation.

Il existe plus de 350 huiles essentielles mais certaines plantes ne poussent pas en France. Nous essayons de favoriser au maximum celles cultivées en France. Nous travaillons avec deux producteurs qui sont dans le sud, l'un à Clermont-Ferrand, l'autre à Avignon. Nous avons eu beaucoup de difficultés, nous en avons rencontré énormément avant de nous décider. Beaucoup refusent d'être transparents sur tout leur processus.... c'est sûrement qu'il y a quelque chose derrière. Nous ne prenons pas le risque de travailler avec eux.

Nous nous sommes aussi inquiétés des conditions de récolte de nos producteurs, afin qu'elles répondent à des critères écologiques et sociaux strictes. Certaines huiles essentielles ont été sur-cultivées alors que le risque écologique était immense, mettant en danger la biodiversité, comme le bois de rose car il coûte très cher. Nous voulons à tout prix éviter cela, car les ressources naturelles ne sont pas inépuisables et nous ne sommes pas à l'abri que ce phénomène touche nos plantes.

Notre recherche de fournisseurs a eu lieu il y a trois ans. A l'époque, il était compliqué de trouver des producteurs 100% bio alors que pour nous, c'était obligatoire. Nous ne voulions pas courir le risque d'avoir la présence de pesticides dans nos huiles essentielles; cela ne correspond par à un produit naturel.

En travaillant avec différents fournisseurs, comment être sûr de pouvoir afficher un 100% fabriqué en France ? Comment évaluez-vous vos fournisseurs ?

Nos produits sont 100% made in France quand ils sont faits de plantes qui poussent sur le territoire. Mais certaines ne peuvent être cultivées dans l'Hexagone. Dans ce cas, nos producteurs assurent le contrôle qualité nécessaire auprès de leurs fournisseurs pour être certains que la matière première soit correctement produite. C'est le cas de l'huile d'argan, qui ne pousse qu'au Maroc.

Il en va de même pour les autres prestataires : pour le packaging et les étiquettes, nous n'avons sourcé que des entreprises françaises. Nous avons fait la même démarche d'audit que pour les producteurs locaux.

Afin de nous assurer de pouvoir nous définir comme made in France, nous avons passé énormément de temps à auditer nos fournisseurs du commencement à la fin de leur process.

Comment préservez-vous la biodiversité ?

Nous travaillons main dans la main avec nos producteurs, ils sont les seuls qui peuvent savoir si une plante est en danger. Ils ont pour consigne de nous alerter au moindre signe de risque et de ne pas exploiter une biodiversité qui se perd, d'ailleurs c'est aussi dans leurs valeurs c'est pour cela que nous les avons choisis.

Comment minimisez-vous votre propre empreinte carbone, ainsi que le Bilan scope 3 de vos produits finis ?

Pour commencer, nos producteurs et fournisseurs sont tous installés en France, donc au plus proche de notre activité. Ainsi nous réduisons au maximum les émissions carbones dues au transport de marchandises. En termes de livraisons, nous ne travaillons qu'avec La Poste qui propose le bilan carbone le plus intéressant, selon nous.

Au-delà du transport, notre ambition, à terme, est d'utiliser des packaging réutilisables et rechargeables. C'est très compliqué avec l'huile essentielle, car pour le contrôle qualité il faut que ce soit "clean" donc pas de trace microbiologique. Ce qui ajoute des difficultés supplémentaires que nous travaillons à résoudre.

Qu'est-ce que le label Ecocert que vous affichez sur vos produits ?

C'est un label équivalent au label Cosmebio. Un label qui certifie que les matières premières utilisées sont biologiques, et que les producteurs suivent bien une logique de vérification des bulletins d'analyse de chaque huile essentielle. Ce label repose sur un nombre conséquent de processus de vérifications opérées tout au long de la chaîne, tant chez nous que chez nos producteurs, et valide que les produits sont bien naturels et écologiques.

Dans une industrie comme celle du cosmétique, comment éviter le greenwashing ?

Il suffit de ne pas en faire ! Il n'y a pas de secret, il faut juste communiquer de la manière la plus honnête et transparente possible.

Reste qu'il est difficile, pour le consommateur, de se repérer entre les vraies mesures mises en places par certains acteurs et le greenwashing pratiqué par d'autres. Cette méthode n'existera plus le jour où le grand public aura les clefs pour faire la différence. Il faut juste bien lire les étiquettes, la liste des ingrédients, regarder le pourcentage de produits bios. De même, vérifier les labels qui récompensent une marque. Se renseigner représente du travail, mais, à terme, cela permet de déceler le vrai du faux.

La crise des matières premières affecte-t-elle votre secteur ?

Nous sommes en train de l'analyser. Nous venons de recevoir les nouveaux tarifs de nos producteurs et nous constatons une hausse des prix des matières premières. Jusqu'alors nous n'avions pas été impactés. Nous n'avons pas été confrontés à des ruptures ou difficultés particulières d'approvisionnement.

Est-il plus difficile d'être compétitif lorsqu'on a une démarche comme la vôtre face à d'autres marques moins "respectueuses de l'environnement" ?

Nous sommes effectivement en concurrence avec d'autres marques plus connues mais qui n'ont pas forcément une démarche respectueuse de l'environnement. C'est compliqué. Même si le consommateur est de plus en plus au courant, il achète souvent des marques qu'il connaît, sans forcément s'interroger sur leur démarche. Un produit qui n'a pas les mêmes contraintes que celles que nous nous imposons sera moins cher... Et les clients ne comprennent pas toujours la différence de prix.

Le processus de fabrication

Le processus de création d'huile essentielle commence par une plante, une fleur ou une racine. Elles sont alors chauffées et dès lors il y a des vapeurs d'eau qui émanent, elles passent dans un condensateur et deviennent liquides. S'observe alors deux phases : l'eau florale qui a une densité plus importante donc qui est moins concentrée, et la deuxième, hautement chargée en concentré de molécules chimiques qui ont les propriétés thérapeutiques que nous recherchons.

Pour que cette distillation soit bien réalisée, il faut qu'elle dure en moyenne 45 minutes. Selon les producteurs, ce n'est pas toujours le cas. Avec l'engouement autour des huiles essentielles, beaucoup réfléchissent en "business first" et non en qualité.

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Sunday, July 25, 2021

Jeux olympiques - Cyclisme. La Néerlandaise van Vleuten célèbre sa victoire... alors qu’elle est deuxième - L'Union

Décidément, la Néerlandaise Annemiek van Vleuten est maudite avec les Jeux olympiques. En 2016, à Rio, alors qu’elle filait vers le titre, elle avait été victime d’une chute spectaculaire qui l’avait contraint à l’abandon. Ce dimanche, à Tokyo, elle figurait parmi les favorites et a bien cru faire respecter son rang. En effet, sortant du peloton des favorites dans le circuit final, elle parvient à créer un écart et franchit la ligne d’arrivée en solitaire, levant les bras pour célébrer une victoire.

Mais petit problème : dans cette course où les oreillettes n’étaient pas autorisées, van Vleuten a oublié que toutes les échappées n’avaient pas été reprises... En effet, l’Autrichienne Anna Kiesenhofer avait pu résister au retour de ses concurrentes et l’emporter avec plus d’une minute d’avance sur la Néerlandaise. « Je pensais être première, soufflait van Vleuten quelques minutes après l’arrivée. Je ne savais pas, j’avais faux... »

Le bronze revient à une autre grande dame du cyclisme, l’Italienne Elisa Longo Borghini, qui termine à 1’29.

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Manche : 80 migrants, dont 20 enfants, secourus alors qu’ils tentaient de rejoindre le Royaume-Uni - Le Parisien

Les tentatives de traversée de la Manche se multiplient ces derniers jours. Quatre-vingts migrants, dont vingt enfants, ont été secourus dimanche alors qu’ils tentaient de rejoindre l’Angleterre sur deux embarcations distinctes, a indiqué la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord.

Le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) Gris-Nez a d’abord été contacté « par une embarcation de migrants se signalant en difficulté », puis par un navire marchand qui l’avise « d’une autre embarcation de migrants à la dérive au nord de Calais », a indiqué la préfecture maritime dans un communiqué.

Vingt enfants pris en charge

Le Cross engage alors le patrouilleur de service public (PSP) Flamant de la Marine nationale pour leur porter assistance. « Arrivé à proximité de la première embarcation, le PSP Flamant a récupéré 35 naufragés. Il rejoint ensuite la seconde embarcation et prend en charge 45 naufragés », a-t-elle ajouté.

Au total, « 80 naufragés (42 hommes, 18 femmes dont 1 enceinte et 20 enfants) sont ramenés au port de Calais » où ils sont pris en charge vers 13h15 par les pompiers du service départemental d’incendie et de secours (SDIS) et la police aux frontières (PAF) du Pas-de-Calais. Ils sont tous « sains et saufs ».

Depuis la fin 2018, les traversées illégales de la Manche par des migrants cherchant à gagner le Royaume-Uni se multiplient malgré les mises en garde répétées des autorités qui soulignent le danger lié à la densité du trafic, aux forts courants et à la basse température de l’eau.

En 2020, plus de 9 500 traversées ou tentatives de traversées de ce type ont été recensées, soit quatre fois plus qu’en 2019, selon un bilan de la préfecture maritime. Six personnes y ont trouvé la mort et trois ont disparu, après quatre morts en 2019.

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé samedi à Calais avoir demandé à l’agence européenne de surveillance des frontières Frontex « de s’occuper du nord de l’Europe ». Il a par ailleurs affirmé sur Twitter que 26 filières de passeurs avaient été démantelées depuis le début de l’année 2021.

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Saturday, July 24, 2021

Drôme | Livron-sur-Drôme : attaqué à coups de couteau alors qu’il déménage un ami - Le Dauphiné Libéré

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La grève se poursuit au SMTVD alors que les poubelles débordent déjà - Martinique la 1ère - Outre-mer la 1ère

Les négociations entre syndicat et direction du SMTVD semblent au point mort. Alors que les poubelles débordent et que les abords des déchetteries sont envahis, l'on apprend que les deux parties n'ont pas échangé ce vendredi 23 juillet 2021. 

Après plus d'une semaine (depuis le 15 juillet), le conflit entre direction et agents du Syndicat Martiniquais de Traitement et de Valorisation des Déchets (SMTD) semble s'enliser. 

Dans un communiqué en date du vendredi 23 juillet 2021, le SMTVD annonce que "les négociations relatives à la grève au SMTVD n'ont pas pu reprendre ce jour". 

Pour justifier cela, l'organisme explique que "l'USAM n'est pas revenu à la table des négociations". 

Le conflit engagé par le syndicat USAM porte essentiellement sur la titularisation d'une quarantaine d'agents. La CGTM quant à elle se désolidarise de ce mouvement qui "reviendrait" sur un accord déja signé.

(Re)voir le reportage de Delphine Bez et François Marlin. 

Une collecte des ordures fortement perturbée 


Cette situation affecte l'enlèvement des déchets ménagers qui ne peut être effectué sur l'ensemble des communes de l'île si ces déchets ne sont pas traités par les centres d'enfouissement qui sont fermés. De plus, les 13 déchetteries de l'île ont dû fermer les unes après les autres.

déchetteries grève

Les abords de la déchetteries de Schoelcher. ©Karl Sivatte

Seule la collecte des emballages recyclables (déchets du bac jaune) est effectuée normalement.

Ainsi, les trois communautés d'agglomération (Cap Nord, CACEM et Espace Sud) invitent les riverains à "limiter au maximum le volume des déchets".

Poubelles / conflit / déchet

Exemple de poubelles déjà saturées, près d'un lot d’encombrants en souffrance dans un quartier du Gros-Morne (juillet 2021). ©JHB

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Insolite | L'erreur est humaine... alors votez pour "la plus belle photo ratée" - Le Dauphiné Libéré

Qui a dit que les images ratées ne pouvaient pas être exposées ? Certainement pas l'équipe du Labo 1880 à l'origine d'une exposition inhabituelle. Alors que les artistes sont normalement invités à sélectionner leur plus beau cliché, cette galerie d'art de Clermont-Ferrand a, au contraire, choisi de mettre en avant les photographies ratées.

L'erreur n'est pas dénuée d'esthétique

Intitulée Errare Humanum Est ("L'erreur est humaine"), l'exposition présente 19 clichés qui n'auraient probablement jamais été dévoilés au public sans cette initiative. Jugés comme loupés, ils sont bien souvent le résultat d'anomalies techniques ou de problèmes lors du déclenchement de l'appareil : double exposition, flou, pellicule périmée, surexposition...

À défaut de trouver une photographie ratée dans leurs archives, les photographes pouvaient également proposer un cliché original pris spécialement pour cette exposition à condition de se passer de tout procédé numérique et d'utiliser uniquement l'argentique ou les procédés alternatifs, afin de coller à la philosophie du Labo 1880.

Une initiative en soutien aux photographes

Cette idée saugrenue, l'équipe du Labo 1880 l'a eue lors du premier confinement de 2020 alors que les photographes, comme une majorité d'artistes, ne pouvaient plus travailler. L’objectif : prendre le temps de se plonger dans les clichés jusque-là non exploités pour dénicher des pépites imparfaites.

Prolongée et visible jusqu'au 31 juillet, l'exposition s'accompagne d'un concours pour élire la meilleure photo ratée, donc.

Comment voter ?

Vous pouvez bien évidemment aller voir l'exposition sur place mais les votes sont aussi ouverts à distance, via un formulaire en ligne accessible sur le site internet de la galerie et sur leur compte Facebook. Pour vous aider à choisir, toutes les photographies candidates sont présentées dans une courte vidéo sur la chaîne YouTube de Labo 1880.

Un jury de professionnels se prononcera également à l'issue de l'exposition.

À la clé, l'artiste lauréat remportera une exposition individuelle de deux mois dans le même lieu avec, cette fois-ci, l'opportunité de choisir n'importe quel cliché, même le plus réussi.

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« La France saborde son industrie plastique, alors que l'Europe ne nous demande rien ! » - Le Journal du dimanche

Le JDD. Sommes-nous en train de détruire l’industrie française du plastique ? Joseph Tayefeh. Nous mettons en place des mesures qu’aucun ...