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Friday, March 31, 2023

Rhône. 30 km/heure à Lyon: alors, ça roule comment? - Le Progrès

Quelle distance peut-on parcourir au volant d’une voiture dans Lyon en roulant à 30 km/heure ? Environ 25 km. C’est du moins l’expérience réalisée par Le Progrès ce mercredi en milieu de journée. Pas en heure de pointe ni le jour le plus chargé de la semaine. Départ de la Confluence à 12 h 22. Retour sur place à 14 h 47, avec quelques étapes pour prendre une photo, recueillir un témoignage…

Un premier constat s’impose en se pliant scrupuleusement à la limitation de vitesse : celle-ci est généralement respectée, parfois sans autre choix possible du fait de travaux, de la signalisation (de temps à autre confuse) ou des bouchons. Il serait même compliqué d’aller plus vite…

Les feux tricolores se chargent de ralentir les plus pressés

Un...

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Rhône. 30 km/heure à Lyon: alors, ça roule comment? - Le Progrès
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Il perd une GROSSE somme d'argent alors que sa femme accouche, mais va avoir une très belle surprise - marie france

Une enveloppe pleine d’argent perdue, un homme qui vient tout juste d’être papa, un heureux dénouement… Voilà les ingrédients d’une histoire qui s’annonce captivante ! C’est le quotidien local L’Union qui la rapporte.

Cette histoire démarre avec un tweet intrigant de la police nationale, publié le 27 mars, dans lequel les agents du maintien de l’ordre donnent les grandes lignes de cette histoire rocambolesque. Pour la comprendre, il faut remonter le fil du temps…

En quelques heures, cet homme devient papa et retrouve une grosse somme d’argent perdue

Le 21 mars 2023, un homme de 58 ans sort de la polyclinique de Bezannes, près de Reims, et trouve une enveloppe sur son chemin. Celle-ci n’indique pas de nom et n’est pas cachetée. Il l’entrouvre et y découvre une somme importante en liquide. Heureusement pour le propriétaire de l’enveloppe, le quinquagénaire est honnête, il se rend au poste de police le plus proche.

Les policiers se retrouvent alors avec l’enveloppe contenant 2 670 euros en billets de banque. Ces derniers se demandent à qui peut bien appartenir cette somme, s’agit-il d’argent sale ? Ils vont bientôt obtenir une réponse à leurs questions. Le soir même, à 19 heures, un homme se présente au poste de police.

À lire également : 

Le propriétaire de l’enveloppe se présente au commissariat, où son argent l’attend

Il demande alors aux gardiens de la paix s’ils n’auraient pas trouvé une enveloppe contenant de l’argent et raconte son histoire. Un peu plus tôt dans la journée, l’homme a vendu sa voiture à une acheteuse qui l’a payée en liquide. Mais au même moment, la compagne du protagoniste perd les eaux et s’apprête à accoucher.

Dans la précipitation, le futur papa embarque sa femme, la valise contenant les affaires du futur bébé et celle de la maman. Certainement distrait et stressé par ce grand événement, il ne fait pas attention et l’enveloppe tombe de sa poche. 

Les policiers prennent note de son histoire. La somme qu’il déclare perdue correspond exactement à celle de l’enveloppe. Les agents demandent tout de même au jeune papa de leur fournir de quoi justifier son histoire…

Le lendemain matin, il revient au commissariat avec la personne qui lui a acheté la voiture qui leur présente les justificatifs de retrait d’argent liquide. Il récupère donc l’enveloppe. On peut dire que ce jour-là, il a bien eu de la chance avec deux excellentes nouvelles dans la même journée.

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Thursday, March 30, 2023

« Je suis vieux, et alors ? » : France 2 explore la retraite à la danoise - Le Monde

Au Danemark, où la retraite à 67 ans a été votée à l’unanimité en 2006, 23 % des seniors désirent travailler au-delà.

Cela fait quatre saisons que « Nous, les Européens », le magazine consacré à l’Union européenne et à ses 500 millions d’habitants, met en avant, chaque semaine, les solutions originales, innovantes, imaginées par un pays membre pour répondre aux enjeux du moment. Avant de débattre en plateau, dans une seconde partie, avec des invités de ce en quoi elles peuvent – ou non – inspirer la France.

Le sujet est toujours un peu provocateur. Ainsi Espagne, le mâle de demain (en replay sur France.tv) nous apprend que l’Espagne est le pays européen qui a fait le plus progresser, en trente ans, la lutte contre les inégalités femmes-hommes. Ce qui peut paraître contre-intuitif. Avec, au-delà, la volonté systématique de positiver.

Aussi la présentatrice Eléonore Gay apparaît-elle souriante et pleine d’allant, ce soir, pour lancer le reportage du jour sur la retraite. Un sujet qui divise en France, mais pas au Danemark, où l’allongement de l’âge de la retraite jusqu’à 67 ans a été voté à l’unanimité en 2006. « C’est une spécificité danoise », précise le commentaire, avant de partir à la rencontre de seniors qui ont choisi de travailler… après 67 ans – ils sont 23 % dans ce cas.

« C’est pour le plaisir »

A commencer par Flemming, 78 ans, employé à mi-temps dans un supermarché depuis qu’il a pris sa retraite de médecin. « Ce n’est pas pour l’argent, c’est pour le plaisir », assure-t-il – un point de vue largement partagé par les interviewés. Daisy fait exception : à 73 ans, elle travaille pour l’argent. De 3 heures à 6 h 30 du matin, six jours sur sept, elle distribue des journaux, avec son chien, pour 950 euros brut par mois. Et comme cela ne suffit pas, elle donne un coup de main, cinq heures le mercredi, dans une cantine…

Le téléspectateur français n’est pas au bout de ses surprises. Au Danemark, où 80 % des salariés sont syndiqués, les syndicats ont approuvé la réforme des retraites de 2006, qui indexe l’âge légal de départ sur l’espérance de vie, avec révision tous les cinq ans. Et, pour une fois, une inquiétude pointe, et certains envisagent un âge plafond à 68 ans.

Autre cas, Tira, 63 ans, qui cherche un emploi depuis qu’elle a été « virée » pour maladie. « La loi au Danemark autorise le licenciement si vous êtes malade pendant cent vingt jours », précise-t-elle. Elle s’ennuie seule chez elle, mais ne trouve pas de travail. Ce qui pose un autre problème, au Danemark, celui de la discrimination des seniors à l’embauche.

Assise à sa table de cuisine devant un café et le journal, après avoir effectué sa tournée, Daisy s’interroge : « Mais que faites-vous à 62 ans à la retraite ? En France, j’ai vu des hommes jouer aux boules, assis au café, aller à la boulangerie, préparer à manger… Et voilà, ils ne font rien d’autre ! C’est très ennuyeux, je ne peux pas imaginer une vie pareille. » Le débat qui va suivre ce reportage devrait lui apporter quelques réponses.

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« Je suis vieux, et alors ? » : France 2 explore la retraite à la danoise - Le Monde
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« Je suis vieux, et alors ? » : France 2 explore la retraite à la danoise - Le Monde

Au Danemark, où la retraite à 67 ans a été votée à l’unanimité en 2006, 23 % des seniors désirent travailler au-delà.

Cela fait quatre saisons que « Nous, les Européens », le magazine consacré à l’Union européenne et à ses 500 millions d’habitants, met en avant, chaque semaine, les solutions originales, innovantes, imaginées par un pays membre pour répondre aux enjeux du moment. Avant de débattre en plateau, dans une seconde partie, avec des invités de ce en quoi elles peuvent – ou non – inspirer la France.

Le sujet est toujours un peu provocateur. Ainsi Espagne, le mâle de demain (en replay sur France.tv) nous apprend que l’Espagne est le pays européen qui a fait le plus progresser, en trente ans, la lutte contre les inégalités femmes-hommes. Ce qui peut paraître contre-intuitif. Avec, au-delà, la volonté systématique de positiver.

Aussi la présentatrice Eléonore Gay apparaît-elle souriante et pleine d’allant, ce soir, pour lancer le reportage du jour sur la retraite. Un sujet qui divise en France, mais pas au Danemark, où l’allongement de l’âge de la retraite jusqu’à 67 ans a été voté à l’unanimité en 2006. « C’est une spécificité danoise », précise le commentaire, avant de partir à la rencontre de seniors qui ont choisi de travailler… après 67 ans – ils sont 23 % dans ce cas.

« C’est pour le plaisir »

A commencer par Flemming, 78 ans, employé à mi-temps dans un supermarché depuis qu’il a pris sa retraite de médecin. « Ce n’est pas pour l’argent, c’est pour le plaisir », assure-t-il – un point de vue largement partagé par les interviewés. Daisy fait exception : à 73 ans, elle travaille pour l’argent. De 3 heures à 6 h 30 du matin, six jours sur sept, elle distribue des journaux, avec son chien, pour 950 euros brut par mois. Et comme cela ne suffit pas, elle donne un coup de main, cinq heures le mercredi, dans une cantine…

Le téléspectateur français n’est pas au bout de ses surprises. Au Danemark, où 80 % des salariés sont syndiqués, les syndicats ont approuvé la réforme des retraites de 2006, qui indexe l’âge légal de départ sur l’espérance de vie, avec révision tous les cinq ans. Et, pour une fois, une inquiétude pointe, et certains envisagent un âge plafond à 68 ans.

Autre cas, Tira, 63 ans, qui cherche un emploi depuis qu’elle a été « virée » pour maladie. « La loi au Danemark autorise le licenciement si vous êtes malade pendant cent vingt jours », précise-t-elle. Elle s’ennuie seule chez elle, mais ne trouve pas de travail. Ce qui pose un autre problème, au Danemark, celui de la discrimination des seniors à l’embauche.

Assise à sa table de cuisine devant un café et le journal, après avoir effectué sa tournée, Daisy s’interroge : « Mais que faites-vous à 62 ans à la retraite ? En France, j’ai vu des hommes jouer aux boules, assis au café, aller à la boulangerie, préparer à manger… Et voilà, ils ne font rien d’autre ! C’est très ennuyeux, je ne peux pas imaginer une vie pareille. » Le débat qui va suivre ce reportage devrait lui apporter quelques réponses.

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Les armes nucléaires prêtes à l'emploi se multiplient, alors que la guerre en Ukraine agite la menace atomique - Sud Ouest

Début 2023, les neuf puissances nucléaires officielles et officieuses détenaient 9 576 têtes nucléaires prêtes à l’emploi, soit une puissance équivalente « à plus de 135 000 bombes d’Hiroshima », indique le Nuclear Weapons Ban Monitor publié ce mercredi 29 mars par l’ONG norvégienne Norsk Folkehjelp. Cela représente une augmentation de 136 ogives opérationnelles en un an, à mettre sur le compte de la Russie, qui a le plus gros arsenal de la planète (5 889 têtes), ainsi que de la Chine, de l’Inde, de la Corée du Nord et du Pakistan.

« Cette hausse est préoccupante et prolonge une tendance qui a commencé en 2017 », a commenté une responsable du rapport, Grethe Lauglo Østern. Réalisé en collaboration avec la Fédération des scientifiques américains, le rapport émerge à un moment où la Russie agite la menace nucléaire en lien avec son invasion de l’Ukraine et les livraisons d’armes occidentales à Kiev.

Samedi, le président russe Vladimir Poutine a annoncé avoir eu l’accord de Minsk pour déployer des armes nucléaires « tactiques » en Biélorussie, un pays situé aux portes de l’Union européenne et dirigé depuis 1994 par Alexandre Loukachenko, son allié le plus proche. « Il n’y a rien d’inhabituel ici : les États-Unis font cela depuis des décennies. Ils déploient depuis longtemps leurs armes nucléaires tactiques sur le territoire de leurs alliés », a déclaré Vladimir Poutine lors d’une interview diffusée à la télévision russe.

Sur le même sujet

Une centaine d’armes américaines dites « tactiques » du fait de leur portée ou de leur puissance moindre sont déployées depuis des années en Belgique, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Turquie, selon les estimations des différents observateurs indépendants de l’arsenal nucléaire mondial, comme le Sipri en Suède. Cette annonce a été vertement critiquée par l’Ukraine et ses alliés occidentaux, l’Otan dénonçant une « rhétorique dangereuse et irresponsable » et l’UE menaçant Minsk de nouvelles sanctions si ce déploiement était réalisé.

Diminution du stock total

Dans l’ombre du conflit en Ukraine, la Corée du Nord multiplie de son côté les tirs de missiles balistiques, des tests susceptibles d’accentuer ses capacités à effectuer des frappes nucléaires. Dans cette situation géopolitique fortement dégradée, les craintes d’un recours à l’emploi de ces armes dévastatrices culminent aujourd’hui à des niveaux records depuis la fin de la Guerre froide il y a trois décennies, montrent des enquêtes d’opinion réalisées dans plusieurs pays.

Sur le même sujet

Six fois plus d’armes en 1986

Le stock total d’armes atomiques, qui inclut aussi celles retirées du service, continue en revanche, quant à lui, de baisser : leur nombre est passé de 12 705 à 12 512 en un an. « Cela n’est le cas que parce que la Russie et les États-Unis démantèlent chaque année un petit nombre de leurs ogives nucléaires les plus anciennes qui ont été retirées du service », a noté Hans Kristensen, un responsable de la Fédération des scientifiques américains.

À eux deux, la Russie et les États-Unis, deuxième puissance nucléaire avec 5 244 ogives, représentent environ 89 % de l’arsenal nucléaire total, précise le rapport. Si l’introduction de nouvelles ogives ne s’arrête pas, « le nombre total d’armes nucléaires dans le monde repartira aussi bientôt à la hausse pour la première fois depuis la Guerre froide », a renchéri Mme Lauglo Østern.

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Un infirmier poignardé dans un immeuble, alors qu'il se rendait chez une patiente près de Lyon - Ouest-France

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Un infirmier poignardé dans un immeuble, alors qu'il se rendait chez une patiente près de Lyon  Ouest-France
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Coupure de courant au parc des expositions alors que la foire de Béziers commence - Midi Libre

Ce jeudi matin, une coupure de courant a privé d'électricité le parc des expositions de Béziers. À l’extérieur, des manifestants sous des drapeaux CGT tractaient à l'entrée de la foire.   

Ce jeudi matin, alors que la foire de Béziers et le salon immobilier venaient d'ouvrir leurs portes au public pour leur première journée, une coupure de courant généralisée est venue priver le parc des expositions d'électricité.

À l’extérieur, des militants CGT tractaient pour annoncer la manifestation du jeudi 6 avril prochain, avec une voiture Enedis à leur côté. Mais ne revendiquaient pas cette coupure.

En fin de matinée, l'électricité n'était toujours pas revenue mais la manifestation n'était pas particulièrement perturbée, les visiteurs continuant d'arriver. Pour cette première journée, ce n'est, de toute façon, pas encore l'affluence de la fin de semaine. Seuls les points chauds s'inquiétaient pour leur fonctionnement à l'heure du déjeuner.    

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Wednesday, March 29, 2023

Les armes nucléaires prêtes à l'emploi se multiplient, alors que la guerre en Ukraine agite la menace atomique - Sud Ouest

Début 2023, les neuf puissances nucléaires officielles et officieuses détenaient 9 576 têtes nucléaires prêtes à l’emploi, soit une puissance équivalente « à plus de 135 000 bombes d’Hiroshima », indique le Nuclear Weapons Ban Monitor publié ce mercredi 29 mars par l’ONG norvégienne Norsk Folkehjelp. Cela représente une augmentation de 136 ogives opérationnelles en un an, à mettre sur le compte de la Russie, qui a le plus gros arsenal de la planète (5 889 têtes), ainsi que de la Chine, de l’Inde, de la Corée du Nord et du Pakistan.

« Cette hausse est préoccupante et prolonge une tendance qui a commencé en 2017 », a commenté une responsable du rapport, Grethe Lauglo Østern. Réalisé en collaboration avec la Fédération des scientifiques américains, le rapport émerge à un moment où la Russie agite la menace nucléaire en lien avec son invasion de l’Ukraine et les livraisons d’armes occidentales à Kiev.

Samedi, le président russe Vladimir Poutine a annoncé avoir eu l’accord de Minsk pour déployer des armes nucléaires « tactiques » en Biélorussie, un pays situé aux portes de l’Union européenne et dirigé depuis 1994 par Alexandre Loukachenko, son allié le plus proche. « Il n’y a rien d’inhabituel ici : les États-Unis font cela depuis des décennies. Ils déploient depuis longtemps leurs armes nucléaires tactiques sur le territoire de leurs alliés », a déclaré Vladimir Poutine lors d’une interview diffusée à la télévision russe.

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Diminution du stock total

Dans l’ombre du conflit en Ukraine, la Corée du Nord multiplie de son côté les tirs de missiles balistiques, des tests susceptibles d’accentuer ses capacités à effectuer des frappes nucléaires. Dans cette situation géopolitique fortement dégradée, les craintes d’un recours à l’emploi de ces armes dévastatrices culminent aujourd’hui à des niveaux records depuis la fin de la Guerre froide il y a trois décennies, montrent des enquêtes d’opinion réalisées dans plusieurs pays.

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À eux deux, la Russie et les États-Unis, deuxième puissance nucléaire avec 5 244 ogives, représentent environ 89 % de l’arsenal nucléaire total, précise le rapport. Si l’introduction de nouvelles ogives ne s’arrête pas, « le nombre total d’armes nucléaires dans le monde repartira aussi bientôt à la hausse pour la première fois depuis la Guerre froide », a renchéri Mme Lauglo Østern.

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L'Expresso du Coin : Alors, est-ce qu'on a bottom ? - Journal du Coin

À lire du Coin de l’œil ! – L’Expresso du Coin, la série dédiée à ceux qui sont pressés. Une lecture en un éclair, pour les débutants comme pour les experts, pour vous divertir le temps d’un café. Petites histoires, vocabulaire crypto et actus afin de s’éduquer tout en passant un bon moment. Dans l’Expresso d’aujourd’hui, nous allons tenter de répondre à la question que tout le monde se pose… On a enfin trouvé le bottom ou pas ?

Histoire au Coin de la rue

24 décembre 2022, réveillon de Noël.

— M’en fous ! Le BTC peut descendre à 10 000 dollars, je ne vendrai pas, s’exclame Arnold Heur avec force en tapant du poing sur la table.

Les membres de sa famille, jusqu’alors en pleine discussion sur les travaux dans la nouvelle maison de l’oncle Roger, se retournent soudain vers lui. Tous le dévisagent avec un air ahuri.

— Euh… Je… Je vendrai pas ma voiture parce que j’en ai besoin, tente maladroitement de se rattraper Arnold.

Ses parents l’observent d’un œil suspicieux, mais finissent par retourner à leur conversation avec Roger. Ouf !

Dans sa famille, son père est banquier, son grand-père était banquier, son arrière-grand-père l’était… Et ses ancêtres probablement aussi. D’ailleurs, il travaille lui-même chez Crédit Suisse. Alors forcément, dans la famille, ces cryptos « qui ne valent rien » et qui « polluent » un monde financier solide comme un roc, c’est tabou, forcément.

Arnold, le rebelle de la famille, a pourtant décidé, il y a maintenant près d’un an, de jeter un œil à ce curieux univers. Tout d’abord simplement pour contempler de ses yeux cette fameuse « blague financière » surgi de l’esprit maléfique de Satoshi Nakamoto. Un soi-disant inventeur japonais… Bien mal lui en a pris. À force de creuser, il a fini par réaliser l’ampleur de la transformation en devenir… et s’est même pris de passion pour le secteur. Misère ! Quelle erreur… car derrière la barrière défraîchie des préjugés se cache en réalité un immense champ de liberté. Du coup, Arnold est coincé, forcément.

Par delà les affres du bear market se trouve le bottom du tunnel

Coincé vis-à-vis de sa famille, certes, mais coincé surtout dans un bear market qui semble sans fin et qui commence sérieusement à peser sur son moral en ce soir de Noël.

— Enfin, bon… Croisons les doigts pour que 2023 s’ouvre sur de plus beaux auspices, murmure-t-il alors qu’il entend son père se réjouir.

— Au fait, fiston, une bonne nouvelle ça. Le passage du livret A à 3 % au mois de février prochain, non ?

Le bottom, une phase de marché aussi contrintuitive qu'insaisissable par les investisseurs.
Le bottom, l’opportunité du marché à déceler au milieu d’une tempête de déprime et d’abandon

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Dans un Coin de la tête – Bottom

Le bottomRecherché par tous les investisseurs, trouvé par peu d’élus. Ce qu’on appelle couramment bottom constitue le prix minimum d’un cours, action ou crypto, à partir duquel celui-ci se met à rebondir pour ensuite ne plus revenir à de tels prix. En d’autres termes, une opportunité d’investissement maximale. Un bottom constitue le prix le plus intéressant auquel vous auriez pu investir sur un actif. Acheter le bottom, c’est être immédiatement en bénéfices, sans jamais connaître aucune perte. Une situation rêvée et hautement improbable pour n’importe quel investisseur sur les marchés.

Évidemment, ces zones de prix ne sont jamais évidentes à déceler. Bien au contraire. Sinon, tous les traders en herbe la devineraient. Or, sur les marchés, il faut qu’une majorité perde afin de faire gagner la minorité. En ce qui concerne Bitcoin, le bottom, temporaire du moins, a été trouvé en novembre 2022, peu après la faillite de l’exchange FTX.

À ce moment-là, plus personne ne voulait entendre parler de crypto, ni en détenir d’ailleurs. Or, c’est justement lorsque tout le monde a baissé les bras et qu’il n’y plus de vendeurs, que le marché ne peut alors que remonter. Les meilleures affaires se font justement lors de ces phases d’abandon et de grande déprime, en allant justement à l’inverse du sentiment partagé par tous.

Restez dans le Coin !

Lors des bottoms, l’accumulation de mauvaises nouvelles pousse les investisseurs à rester en dehors des marchés. Il faut alors « être fou » pour s’y aventurer. À l’inverse, lors des phases de hausse, une pluie d’annonces plus réjouissantes les unes que les autres font soudain surface pour attirer le grand public.

Comme en ce moment même où soudain les banques, allemandes dans le cas présent, commence à montrer leur intérêt sur le secteur crypto. Bien que ces nouvelles soient encourageantes, le mariage des banques avec le secteur crypto n’est probablement pas pour tout de suite.

Bien que le cours du Bitcoin ne cesse de grimper au fur et à mesure des années, il passe à intervalles réguliers par des périodes de forte volatilité, à la hausse comme à la baisse. Et ces dernières sont si violentes qu’elles sont particulièrement difficiles à supporter pour l’investisseur lambda. Et c’est pourtant après ces phases de chute vertigineuse, souvent ponctuées de FUD, qu’il est souvent le moins risqué de s’exposer au marché.

Bitcoin et les cryptomonnaies sont là pour durer et vont changer le paysage de l’économie, tout le monde en convient. De votre côté, ne tardez pas trop et foncez vous inscrire sur AscendEX. Vous pourrez même y accumuler des satoshis gratuits ! De plus, profitez de 10 % de réduction sur les frais de trading (lien commercial, voir conditions sur site).

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Tuesday, March 28, 2023

Rodéo urbain : une octogénaire tuée alors qu'elle sortait ses poubelles à Brest - Le Figaro

Deux jeunes hommes de 16 ans ont fauché une dame âgée de 84 ans à moto le 22 mars. Après avoir pris la fuite, les suspects se sont rendus deux jours après les faits. Ils ont depuis été mis en examen.

Le drame s'est déroulé sur le trottoir en face de sa maison. Alors qu'elle sortait ses poubelles, Cécile Le Lirzin, âgée de 84 ans, a été mortellement percutée par un deux-roues, le 22 mars dernier à Brest. Deux jeunes hommes de 16 ans, l'un portant un casque à la visière fumée et l'autre une cagoule noire, se trouvaient sur la moto, selon une information du Parisien, confirmée au Figaro par le parquet de Brest.

Les suspects ont fauché la vieille dame vers 17 heures. Un choc d'une telle violence que la retraitée a été projetée à plusieurs mètres. L'un des deux jeunes sur la moto aurait fait un doigt d'honneur aux passants avant de prendre la fuite, d'après le voisinage interrogé par le quotidien parisien. Ils se sont finalement rendus à la police le 24 mars, soit deux jours après les faits.

Le conducteur de la moto a par la suite été mis en examen pour «homicide involontaire aggravé par deux circonstances aggravantes : délit de fuite et défaut de permis de conduire», selon le parquet de Brest. Le passager a quant à lui été mis en examen pour «non-assistance à personne en danger». «Les deux mis en examen présentent un casier judiciaire néant», ajoute le parquet au Figaro. L'autopsie de Cécile de Lirzin s'est tenue lundi 27 mars.

«La police n'intervient jamais»

L'octogénaire décédée résidait dans un quartier populaire, à proximité de la cité du Ponant réputée sensible et théâtre fréquent de rodéos urbains. «Le problème, c'est que la police ne rentre pas dans le quartier et n'intervient jamais, déplorent Laurence et Enora, la fille et la petite-fille de la victime au Parisien. Un noyau dur d'une grosse dizaine de jeunes entre 12 et 18 ans fait la loi et fout le bordel depuis des années. Voilà le problème.»

L'été dernier, à la demande du ministère de l'Intérieur Gérald Darmanin, la lutte contre ce phénomène dangereux des rodéos urbains s'est intensifiée à Brest, comme le détaille Ouest-France . Pour réduire au maximum le phénomène, la police nationale multiplie les contrôles et les fouilles. Les peines encourues pour ces délits routiers ont également été alourdies, allant de 1 an à 5 ans de prison et de 15.000 euros à 75.000 euros d'amende.

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Alors que son stock touche à sa fin, le Xiaomi Redmi Note 10 Pro reste à un prix fou ici - Ouest-France

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Paris: ambiance festive en fin de manifestation, alors que la police tente de disperser les participants - BFMTV

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« La France saborde son industrie plastique, alors que l'Europe ne nous demande rien ! » - Le Journal du dimanche

Le JDD. Sommes-nous en train de détruire l’industrie française du plastique ? Joseph Tayefeh. Nous mettons en place des mesures qu’aucun ...