L’affaire, qui a rattrapé certains élus et ex-élus européens, dont la Grecque Eva Kaili, a donné à l’exercice beaucoup plus de relief que d’ordinaire, jeudi matin à Bruxelles.
Correspondante à Bruxelles
D’ordinaire, l’échange ne suscite guère d’intérêt. Les sommets européens débutent toujours par une allocution et une courte discussion entre le président du Parlement européen et les Vingt-Sept. Une demi-heure, guère plus au cours de laquelle le chef du «cœur de la démocratie européenne» fait le point sur les dossiers législatifs, donne la température dans les rangs des eurodéputés et hausse le ton quand il voit des projets qui leur sont chers balayés. L’affaire du «Qatargate» qui a rattrapé certains élus et ex-élus européens, dont la Grecque Eva Kaili, a donné à l’exercice beaucoup plus de relief jeudi matin à Bruxelles. L’échange entre les leaders et Roberta Metsola a duré cette fois plus d’une heure. Il faut dire que la présidente du Parlement européen a mis les pieds dans le plat dès le début de son allocution. «La semaine a été difficile à Bruxelles, leur a-t-elle expliqué. Permettez-moi de dire que les informations que nous avons reçues des autorités belges…
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Europe: le scandale du «Qatargate» pollue la réunion des Vingt-Sept alors que les révélations s'enchaînent - Le Figaro
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