Bien entendu, ce couple de retraités, Chantal et Daniel Richard, qui ne s’est jamais déplacé en Italie avec ce véhicule ou un autre, refuse de s’acquitter de quoi que ce soit puisqu’il détient la preuve formelle qu’à cette époque le véhicule déposé chez un garagiste n’était pas en état de rouler.
La police locale annule dans un premier temps la verbalisation…
Chantal Richard, propriétaire du véhicule incriminé, est bien décidée à ne pas se laisser faire. « Pour moi, les tracasseries ont commencé le 1er juillet 2019, lorsque j’ai reçu un courrier de la police italienne de Pianura Reggiana. Il m’indiquait que j’avais fait l’objet de deux infractions à la vitesse le 1er mars à 10h15 et le 9 mars à 9h42 avec mon véhicule Fiat. » L’Aindinoise précise : « Lorsque j’ai vérifié l’immatriculation impliquée dans cette affaire, j’ai constaté que le numéro était identique au mien mais à la différence près qu’il n’y a pas de tirets entre les lettres et les chiffres. Bien sûr, avec mon conjoint nous avons contesté. Avec l’aide d’une professeure d’italien et de notre petite-fille, nous avons expliqué que nous ne nous sommes jamais rendus en Italie avec ce véhicule. Contact téléphonique pris avec le consulat de France pour débattre de cette situation sordide. Résultat, le 4 juillet 2019 à 16h02 un message de la police municipale de Correggio annulait la verbalisation. »
… mais les courriers continuent d’arriver
Malgré tout, l’affaire revient sur le devant de la scène avec un autre courrier d’une société de Firenze, mandatée par la commune de Pianura Reggiana et daté du 30 juillet 2021 pour une mise en demeure et le paiement de 434,10 euros.
Chantal Richard a cette fois décidé de déposer une plainte directement auprès du procureur de la République pour faire entendre sa voix et défendre ses intérêts.
Ain | Harcelée pour des infractions routières en Italie... alors que sa voiture était au garage - Le Progrès
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